Hector a écrit : ↑07 avr. 2019, 12:08:23
Papibilou a écrit : ↑07 avr. 2019, 10:23:05
La seule chose qui compte ce sont les décisions de Macron et elles n'interviendront que dans au minimum une semaine. Donc, d'ici là c'est meubler le temps qui passe.
Néanmoins on peut parier sur ces décisions. je parierais volontiers sur:
- une reindexation des retraites à compter de 2020.
- un coup de pouce aux familles monoparentales en dessous d'un certain revenu.
- un transfert de certaines décisions aux régions ou aux départements ( exemple, la vitesse sur les routes hors autoroutes). J'aimerais que le transfert se fasse aussi sur des activités et pas seulement sur des décisions, mais je crains que cela ne soit pas le cas.
- une annonce sur une part de proportionnelle aux élections (lesquelles ?).
- une réduction du nombre d'élus nationaux
- Voire une réduction de 0.5% de TVA sur les produits alimentaires (elle est à 5.5% et en principe sauf dérogation le minimum accepté par l'UE est 5%)
- une augmentation de l'IFI et une nouvelle tranche d'impôts pur les plus hautes revenus (pour faire plaisir aux gilets jaunes mais qui ne rapportera sans doute pas grand chose).
En voyez vous d'autres ?
Cassandre ...
En effet.
Je sens bien l'annonce bien pourrave comme en décembre et son allonge de 100 € pour les smicards, qui n'en est même pas une.
Je vois plutôt des annonces ridicules ou néfastes par leur effet comme :
- Instauration du même jour de carence pour tous
- Rétablissement du cumul des mandats "pour rétablir le dialogue entre les Français et leurs élus"
- Fusion des élus départementaux et régionaux, mais pas des conseils respectifs
- 1 % de proportionnelle, soit environ 5 élus.
- Suppression de la redevance audiovisuelle (mais remplacement par une taxe qui concernerait tous les écrans, mais ça on ne le dit pas ahah)
- Diminution des pouvoirs du Sénat parce qu'ils ont osé un affront contre le président dans l'affaire Benalla
- Augmentation du budget de la défense parce que, décidément, on n'est jamais trop protégé des "menaces"
- Intensification de la centralisation des pouvoirs parce que les Français se paluchent sur l'idée d'un homme providentiel qui "porte la voix de la France", y compris sur un char d'assaut par temps de pluie le 14 juillet