Délires féministes : suite et pas fin
Re: Délires féministes : suite et pas fin
C'est vrai que l'académie n'y avait pas pensé. Heureusement que les féministes veillent.
Re: Délires féministes : suite et pas fin
J'ai toujours été étonnée par le fait que des femmes acceptent de mutiler leurs oreilles également.
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Une belle langue qui correspond tout à fait à la mentalité française: pourquoi faire simple si l'on peut faire compliqué, de préférence dans de nombreux domaines!! Pourtant en simplifiant un peu, elle restera toujours aussi belle!Cheshire cat a écrit : ↑11 oct. 2017, 16:40:34Compliquer la langue est l'essence même de la langue française.
- Cheshire cat
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Re: Délires féministes : suite et pas fin
Surtout si on veut lire à haute voix ...Yakiv a écrit : ↑27 sept. 2017, 20:26:17C'est vrai que ce genre de trucs est illisible.johanono a écrit : ↑27 sept. 2017, 12:21:35Nouvel exemple, d'autant plus grave qu'il frappe l'école :
Prêt·e·s à utiliser l'écriture inclusive ?
Un manuel scolaire rédigé en se basant sur des règles orthographiques plus neutres et égalitaires provoque la polémique. Un type d'écriture porté par les courants féministes qui questionne la primauté du masculin sur le féminin.
«Agriculteur·trice·s» ou encore «artisan·e·s», cette drôle de façon d’écrire fait hurler certains défenseurs de la langue française. Et ce, surtout depuis que les éditions Hatier ont sauté le pas : en mars 2017, elles ont publié un manuel scolaire rédigé avec une écriture dite «inclusive» qui vise à respecter l’égalité des sexes. Dans Questionner le monde, destiné aux élèves de CE2, les métiers sont écrits à la fois au masculin et au féminin en utilisant des points pour entrecouper.
suite
“On commence par se tromper soi-même ; et ensuite on trompe les autres. ”
Oscar Wilde
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Re: Délires féministes : suite et pas fin
je ne vois pas la différence par rapport à avant "Les agriculteurs et agricultrices au moyen âge" c'est très compréhensible.Surtout si on veut lire à haute voix ...
Et une nouvelle fois, la "grammaire inclusive" c'est plus qu'une grammaire : choisir des mots neutres quand on parle d'un groupe de personnes, accorder avec le derniers mots d'une énumération, ou encore énumérer "ceux et celles" c'est ça être inclusif. C'est tout à fait français.
Alors, oui, pour être encore plus neutres, des mots ont été créés comme "celleux" ou "auteurices" (j'insiste : ce sont des mots, pas des trucs entrecoupés de points médians). Ces mots sont encore trop ésotériques pour atteindre le premier but de la langue : transmettre un message. Mais comme la langue est vivante ça viendra (ou pas) et c'est pas un drame ni un "délire".
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Re: Délires féministes : suite et pas fin
Oui, mais pour reprendre l'exemple de l'article agriculteur.trice.s devra se lire "agriculteurs et agricultrices" on introduit un écart de plus entre la langue écrite et la langue parlée.
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Re: Délires féministes : suite et pas fin
Plouz a écrit : ↑27 sept. 2017, 21:24:17Vous verrez , un jour elles conduiront des voitures .
https://www.alg24.net/larabie-saoudite- ... -voitures/
A Londres, des juifs ultra-orthodoxes interdisent aux femmes de conduire
http://www.aufeminin.com/news-societe/l ... 12996.html
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Re: Délires féministes : suite et pas fin
Il y a 60 ans, c'était mal vu qu'une femme porte un pantalon dans certains pays d'Europe.....Cheshire cat a écrit : ↑23 oct. 2017, 22:28:23Plouz a écrit : ↑27 sept. 2017, 21:24:17Vous verrez , un jour elles conduiront des voitures .
https://www.alg24.net/larabie-saoudite- ... -voitures/A Londres, des juifs ultra-orthodoxes interdisent aux femmes de conduire
http://www.aufeminin.com/news-societe/l ... 12996.html
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Vous avez aimé l'écriture inclusive, vous adorerez la règle de l'accord de proximité :
Et le ministère ne dit rien ?
Je crois que je n'hésiterais pas à retirer mon fils de son école si j'apprenais qu'un prof bizarre expérimente ses délires sur lui. Et j'irai dire à ce fou furieux ma façon de penser !
Non mais qu'est-ce que c'est que ces profs qui modifient de leur propre chef les règles de grammaires pour satisfaire leurs propres délires politiques ?Pourquoi des profs s’engagent en faveur de «l’accord de proximité»
Ce 7 novembre, 314 membres du corps professoral de tous niveaux et tous publics s'engagent à ne plus enseigner la règle de grammaire du «le masculin l'emporte sur le féminin». Voici leurs motivations.
Article complet sur http://www.slate.fr/story/153483/ecritu ... nseignants
Et le ministère ne dit rien ?
Je crois que je n'hésiterais pas à retirer mon fils de son école si j'apprenais qu'un prof bizarre expérimente ses délires sur lui. Et j'irai dire à ce fou furieux ma façon de penser !
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Re: Délires féministes : suite et pas fin
1) en quoi est-ce un délire?
Non mais qu'est-ce que c'est que ces profs qui modifient de leur propre chef les règles de grammaires pour satisfaire leurs propres délires politiques ?
2) c'est qui ces académiciens du XIXème qui ont retiré cette règles pour satisfaire leurs propres délires politiques?
il n'a rien à dire, le ministère ne décide pas de la langue.Et le ministère ne dit rien ?
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Re: Délires féministes : suite et pas fin
300 profs non plus, ne décident pas de la langue. La langue est ce qu'elle est, telle que nous l'avons apprise. On demande aux profs d'enseigner aux gamins la langue telle qu'elle existe, pas de faire de la propagande politique.
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Re: Délires féministes : suite et pas fin
non, la langue évolue. Et l'abandon de la règle de proximité a été justement un truc bien politique. Donc d'un côté tu es d'accord pour apprendre une règle qui est un truc politique mais qui complexifie inutilement langue tant écrite qu'orale mais attention faut surtout pas apprendre une règle plus simple car c'est de la politique.La langue est ce qu'elle est, telle que nous l'avons apprise.
Une nouvelle fois, une langue ça évolue, tant dans son vocabulaire que dans sa grammaire. L'exemple le plus frappant est la négation. On démarre avec le simple "ne" pour marquer la négation, puis on la double (ne/pas, ne/plus, ne/point...) et maintenant on va de plus en plus vers simplement "pas" ou "plus". Faudra t'y faire c'est la vie d'une langue vivante.
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Re: Délires féministes : suite et pas fin
Le magazine "Slate" s'engage a utiliser l'accord de proximité.
https://www.slate.fr/story/153501/ecrit ... -proximite
Alors c'est vrai qu'autant l'écriture inclusive paraît absurde, autant l'accord de proximité me paraît au contraire relever d'un certain bon sens tout en étant très facile à utiliser.
Je soutiens donc plutôt cette initiative.
https://www.slate.fr/story/153501/ecrit ... -proximite
Alors c'est vrai qu'autant l'écriture inclusive paraît absurde, autant l'accord de proximité me paraît au contraire relever d'un certain bon sens tout en étant très facile à utiliser.
Je soutiens donc plutôt cette initiative.
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Re: Délires féministes : suite et pas fin
Ah oui en effet ça serait plutôt une bonne chose : «Les pays et les villes étrangères» plutôt que «les pays et les villes étrangers», je trouve que la première tournure sonne plus naturelle. Adopté !
If the radiance of a thousand suns were to burst into the sky, that would be like the splendor of the Mighty One— I am become Death, the shatterer of Worlds.
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Ces initiatives sont totalement irresponsables.
Qu'on ouvre un débat c'est une chose, que chacun se crée sa nouvelle variante de français.
En espérant qu'elle s'impose aux autres, c'est du grand n'importe quoi.
Ça sera déjà difficile pour les adultes de jongler avec ces variantes selon le contexte (boulot, services publics, ..)
Mais imaginez un jeune qui a appris le français "courant" en primaire. A qui on impose l'inclusif au Collège.
La règle de proximité au Lycée. A nouveau le français classique en Fac... Et encore une nouvelle variante en entreprise !
A l'échelle de l'Etat c'est encore plus anormal. Chaque ministère et chaque fonctionnaire n'a pas à choisir sa propre
langue administrative ! Si Macron a vraiment l'autorité qu'il prétend, c'est à lui à siffler la fin de la récréation.
Qu'on ouvre un débat c'est une chose, que chacun se crée sa nouvelle variante de français.
En espérant qu'elle s'impose aux autres, c'est du grand n'importe quoi.
Ça sera déjà difficile pour les adultes de jongler avec ces variantes selon le contexte (boulot, services publics, ..)
Mais imaginez un jeune qui a appris le français "courant" en primaire. A qui on impose l'inclusif au Collège.
La règle de proximité au Lycée. A nouveau le français classique en Fac... Et encore une nouvelle variante en entreprise !
A l'échelle de l'Etat c'est encore plus anormal. Chaque ministère et chaque fonctionnaire n'a pas à choisir sa propre
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