Message non lu
par poésietoute » 15 févr. 2012, 08:25:07
Beaucoup de fêtes sont détournées, "achetées", certes.
Nous ne manquons jamais un moment, une date où nous nous exprimons mutuellement la sensation de vivre depuis un bon moment déjà, un frisson unique.
Comme tous les êtres tactiles, je ferme les yeux, et me laisse aspirer par le vertige.
Donc oui, je lui écris de petits textes, que je ne lui lis pas, car reprenant cette beauté de texte constituée, "ne me secoue pas, je suis plein de larmes".
A ma
Avant de te croiser
Le bonheur personnifié
J’en avais entendu parler
Mais ce n’était qu’une idée
Les dents serrées
Toujours contre les coups mauvais
A ne rien lâcher
Fière combattante dressée
Et commença l’odyssée
Intérieure de la beauté
Comme si le souffle premier
De l’humain en toi s’était posé
Tous ces jours captés
Avec toi m’ont semblé
Si bien ouvragés
Que je ne demanderai
Qu’à pouvoir longtemps les prolonger
Luciole adorée
Donc, voici le plus récent poème dédié, à celle qui , maintenue en l'air par un quasi-sortilège, et transformant tout ce qu'elle touche en lueur, décore et ouvrage mes jours, et non pas uniquement en extérieur.