Plusieurs pays frappent à la porte de la zone euro

[politicien]

Bonjour,

Non seulement « l'europhorie » des marchés est en train de balayer « l'europhobie » qui avait privé depuis plus de deux ans les Etats endettés de la zone euro de leur drogue favorite, l'argent des investisseurs ; mais la zone euro elle-même, critiquée de toute part et promise à une fin aussi rapide que douloureuse, retrouve peu à peu de la crédibilité et donc de l'attrait.

En temps que monnaie, la devise européenne n'a d'ailleurs pas démérité, loin de là. L'euro a parfaitement résisté à la tempête financière et économique qui s'est abattue sur l'Europe et n'a jamais été mis en danger, durant ces quatre années de crise. Elle est même, en partie à cause de la politique monétaire de la Banque centrale européenne, légèrement surévaluée compte tenu de la situation de quasi -récession de la zone euro. Mais au moins, celle-ci a tenu ses promesses de stabilité monétaire et de maîtrise de l'inflation. C'est pourquoi, plus que les opinions publiques, les grands acteurs économiques sont attachés à ces atouts de l'euro. C'est en tout cas ce qui motive la Lettonie et la Lituanie à mener rapidement à terme leur adhésion à la monnaie unique.

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L'intégralité de cet article à lire sur Les Echos.fr

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[FIFE]

Ils sont malades.

[Florian]

La machine infernale continue à avancer.

[Golgoth]

Ca me fait penser à une secte apocalyptique. Dans le rôle du gourou, mamie schpountz.

[Florian]

Ca me fait penser à une secte apocalyptique. Dans le rôle du gourou, mamie schpountz.

C'est sûr que bientôt il va falloir supprimer la République Française pour devenir le Länder de Frankreich. Ceci dit, en terme de bonne gestion, on y gagnerait.

[Nombrilist]

Tu partagerais le montant de ta retraite avec celui des allemands ? Tu es bien généreux je trouve.

[politicien]

Bonjour,

La Lituanie a adopté mercredi à minuit (22 heures GMT) l'euro, dans l'espoir de mieux s'arrimer à l'Ouest face à d'hypothétiques ambitions de Moscou et malgré le risque de voir les prix s'envoler. Quelques minutes après minuit, le Premier ministre lituanien Algirdas Butkevicius a retiré d'un distributeur un premier billet de 10 euros, en présence de plusieurs personnalités, alors que des feux d'artifice ont salué l'événement dans le ciel lituanien. "L'euro servira de garantie à notre sécurité économique et politique", a-t-il déclaré avant de lever le billet haut dans ses mains. Désormais, environ 337 millions d'Européens de 19 pays partagent la même monnaie, a souligné la Commission européenne.

Parachevant l'adhésion à l'euro des trois anciennes républiques soviétiques baltes - l'Estonie l'avait adoptée en 2011 et la Lettonie en 2014 -, la Lituanie y voit "un symbole d'une plus grande intégration économique et politique avec l'Occident", a déclaré la présidente lituanienne Dalia Grybauskaite. "Cela marque symboliquement l'étape finale de notre intégration dans l'UE", a-t-elle déclaré. L'événement coïncide avec l'affirmation du rôle des jeunes membres de l'UE : l'ancien Premier ministre polonais Donald Tusk préside depuis quelques semaines le Conseil européen, tandis que la Lettonie a pris le 1er janvier la présidence semestrielle de l'UE.

Les pays baltes, sortis d'un demi-siècle d'occupation soviétique au début des années 90, ont rejoint l'UE et l'Otan en 2004. Aujourd'hui, ils observent avec inquiétude la politique du Kremlin en Ukraine et l'activité intensifiée des forces armées russes à proximité de leurs frontières.
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L'intégralité de cet article à lire sur Le Point.fr[/align]

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[pierre30]

La Lituanie est un petit pays. La surface de l'euro rassurera les investisseurs et lui offrira des taux plus bas. Du moins ils l'espèrent.

[albert]

Le Titanic prend des nouveaux passagers et l'orchestre joue toujours. La nuit sera longue...

[wesker]

Les perspectives de subventions européennes, l'attitude d'investisseurs qui seraient rassurés par la solidité de la monnaie unique sur leurs titres de créances peuvent être des éléments qui invitent ces pays à réclamer leurs adhésions à l'euro.

Cela confirme également que cela ne repose pas sur une volonté de construire une union européenne et une zone commune, solide et moderne d'échanges et de partenariats commerciaux, c'est plutôt une mauvaise publicité pour une monnaie dont les élites qui en faisaient la promotion affirmaient qu'elle unirait nos peuples et favoriserait les projets industriels, économiques etc...En réalité, ils n'y voient qu'une opportunité économique.

[Narbonne]

La Lituanie veut se détacher du grand frère et cherche le parapluie européen.

[wesker]

Chacun a ses raisons, ses motivations...En dépit du fait que l'euro apparaît comme rigide, il s'accompagne de dotations budgétaires, pour les pays qui l'adoptent. Mais la France et surtout l'Allemagne accepteront elles de payer ? La France le peut elle encore ?