La consommation : le remède anti-crise ?
Il n'est pas question d'approuver ou non des dépenses, mais de reconnaître que seul, le payeur a vocation de le faire.
C'est aussi se demander d'où vient le qualificatif d'inconsidéré.
Etre libéral, ce n'est pas regarder dans l'assiette de son voisin.
C'est aussi se demander d'où vient le qualificatif d'inconsidéré.
Etre libéral, ce n'est pas regarder dans l'assiette de son voisin.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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"Parce que, dans unpays où les libertés ne sont plus qu'un souvenir, "
D'accord avec toi, et ce n'est pas l'arrivée du nain qui va améliorer les choses.
"Il semble d'ailleurs avéré qu'à l'inveerse de ses précédesseurs, Sarko ne fait pas de confusion entre dépenses profesionnelles et dépenses privées."
Ca c'est toi qui le dit . De Gaulle payait la facture EDF des ses appartements à l'Elysée.
D'accord avec toi, et ce n'est pas l'arrivée du nain qui va améliorer les choses.
"Il semble d'ailleurs avéré qu'à l'inveerse de ses précédesseurs, Sarko ne fait pas de confusion entre dépenses profesionnelles et dépenses privées."
Ca c'est toi qui le dit . De Gaulle payait la facture EDF des ses appartements à l'Elysée.
- wesker
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C'est exact et il avait une envergure ainsi qu'une politique étrangère autrement plus favorable à la grandeur nationale qu'actuellement.
Les propos d'ailleurs du Général serait aujourd'hui condamné pour incitation à la haine, je crois que cela est révélateur du glissement de l'échiquier qu'il convient desormais d'endiguer compte tenu du fait que les idées reformatrices et patriotes sont majoritaires dans le pays.
D'ailleurs, la droite s'en est servie aussi bien aux présidentielles qu'aux européennes où l'UMP a repris les thèmatiques nationales pour parvenir à remporter l'élection.
Les propos d'ailleurs du Général serait aujourd'hui condamné pour incitation à la haine, je crois que cela est révélateur du glissement de l'échiquier qu'il convient desormais d'endiguer compte tenu du fait que les idées reformatrices et patriotes sont majoritaires dans le pays.
D'ailleurs, la droite s'en est servie aussi bien aux présidentielles qu'aux européennes où l'UMP a repris les thèmatiques nationales pour parvenir à remporter l'élection.
Non, ce n'est pas moi qui le dit, c'est la Cour des Comptes !Ca c'est toi qui le dit . De Gaulle payait la facture EDF des ses appartements à l'Elysée.
Vois aussi que tu dois remonter à De Gaulle pour trouver une telle séparation des comptes (encore que je doute qu'il y ait un compteur électrique séparé pour les appartements privés à l'Elysée).
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
- politicien
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Bonjour,
Alors que le moral des industriels remonte, celui des ménages flanche. Après une hausse en juin, la consommation des Français, traditionnelle moteur de la croissance du pays, a baissé en juillet et en août, respectivement de -1,2% et -1%. Le textile et l'automobile sont particulièrement touchés, a annoncé mercredi l'Insee.
«Les achats des ménages en automobiles étaient dynamiques depuis le début de l'année, bénéficiant du dispositif de prime à la casse», rappelle l'Institut de statistiques, mais ils ont nettement baissé en juillet (-3,9%) et, dans une moindre mesure, en août (-1,2%). De la même manière, les dépenses en textile et cuir ont reculé de 3% en juillet, puis de 3,8% en août, après une hausse vigoureuse en juin. L'Insee et Bercy attribuent cette baisse à la modification du calendrier des soldes d'été, qui ont été raccourcis.
Les économistes estiment que la consommation des ménages, qui a résisté jusqu'ici face à la crise, risque de souffrir à son tour d'ici à la fin de l'année en raison d'un possible retour de l'inflation et de la flambée du chômage. Sur un an, cette consommation diminue de -1,3% en données corrigées des variations saisonnières.
Les industriels français, eux, vont un peu mieux. Leur moral a continué sa remontée en août et en septembre, gagnant six points par rapport au mois de juillet, mais demeure bas après sa chute historique du printemps, indique l'Insee. «Le redressement du climat des affaires en septembre confirme l'amélioration conjoncturelle en cours, surtout dans l'industrie», commente-t-on au ministère de l'Economie. Toutefois, la conjoncture demeure fragile et continue de nécessiter le soutien des pouvoirs publics, estime Bercy.
Vous en pensez quoi ? Car moi j'ai une interrogation, si la conjoncture s'améliore on devrait produit plus, donc embaucher plus non ?
A plus tard,
Alors que le moral des industriels remonte, celui des ménages flanche. Après une hausse en juin, la consommation des Français, traditionnelle moteur de la croissance du pays, a baissé en juillet et en août, respectivement de -1,2% et -1%. Le textile et l'automobile sont particulièrement touchés, a annoncé mercredi l'Insee.
«Les achats des ménages en automobiles étaient dynamiques depuis le début de l'année, bénéficiant du dispositif de prime à la casse», rappelle l'Institut de statistiques, mais ils ont nettement baissé en juillet (-3,9%) et, dans une moindre mesure, en août (-1,2%). De la même manière, les dépenses en textile et cuir ont reculé de 3% en juillet, puis de 3,8% en août, après une hausse vigoureuse en juin. L'Insee et Bercy attribuent cette baisse à la modification du calendrier des soldes d'été, qui ont été raccourcis.
Les économistes estiment que la consommation des ménages, qui a résisté jusqu'ici face à la crise, risque de souffrir à son tour d'ici à la fin de l'année en raison d'un possible retour de l'inflation et de la flambée du chômage. Sur un an, cette consommation diminue de -1,3% en données corrigées des variations saisonnières.
Les industriels français, eux, vont un peu mieux. Leur moral a continué sa remontée en août et en septembre, gagnant six points par rapport au mois de juillet, mais demeure bas après sa chute historique du printemps, indique l'Insee. «Le redressement du climat des affaires en septembre confirme l'amélioration conjoncturelle en cours, surtout dans l'industrie», commente-t-on au ministère de l'Economie. Toutefois, la conjoncture demeure fragile et continue de nécessiter le soutien des pouvoirs publics, estime Bercy.
Vous en pensez quoi ? Car moi j'ai une interrogation, si la conjoncture s'améliore on devrait produit plus, donc embaucher plus non ?
A plus tard,
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire »
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Quand les banques se sont effondrées, personne n'a perdu son emploi.
Il y a dans toute reprise trois stades : reprises financière, reprise entrepreneuriale, puis reprise de l'embauche. Avec quelques mois d'intervalle, chaque fois.
Mais une fois de plus, quel est ce "moral" des français, qui s'écroule perpétuellement. Parce que votre taux de chômage étant passé de pous de 5 % à moins de 10 %, cela ne fait tout de même de changements que pour 5 % des gens qui travaillent, ou 1% de l'ensemble ...
Il y a dans toute reprise trois stades : reprises financière, reprise entrepreneuriale, puis reprise de l'embauche. Avec quelques mois d'intervalle, chaque fois.
Mais une fois de plus, quel est ce "moral" des français, qui s'écroule perpétuellement. Parce que votre taux de chômage étant passé de pous de 5 % à moins de 10 %, cela ne fait tout de même de changements que pour 5 % des gens qui travaillent, ou 1% de l'ensemble ...
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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- Localisation : Village de Normandie
"Quand les banques se sont effondrées, personne n'a perdu son emploi.
Si des centaines de milliers, mais pas à la banque évidemment.
"Mais une fois de plus, quel est ce "moral" des français, qui s'écroule perpétuellement. Parce que votre taux de chômage étant passé de pous de 5 % à moins de 10 %, cela ne fait tout de même de changements que pour 5 % des gens qui travaillent, ou 1% de l'ensemble ..."
Parce qu'il pense bien, et surement à juste titre que d'ici 2012, les 10% seront largement franchi, et chacun d'entre eux d'être un de ceux-là.
Si des centaines de milliers, mais pas à la banque évidemment.
"Mais une fois de plus, quel est ce "moral" des français, qui s'écroule perpétuellement. Parce que votre taux de chômage étant passé de pous de 5 % à moins de 10 %, cela ne fait tout de même de changements que pour 5 % des gens qui travaillent, ou 1% de l'ensemble ..."
Parce qu'il pense bien, et surement à juste titre que d'ici 2012, les 10% seront largement franchi, et chacun d'entre eux d'être un de ceux-là.
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