Les entrepreneurs créent de la richesse grâce à leur salariat. Le reste c'est des clopinettes. On sait très bien que ceux qui aiment le moins le risque sont les gros entrepreneurs, qui peuvent se payer le luxe de contrevenir à toute possibilité de faillite grâce à leurs bataillons d'avocaillons et de conseils en tous genres.mps a écrit :Tes mammouths se sont complètement planté ! En fait, tu as des entrepreneurs, acrobates qui travaillent sans filet et créent la richesse, et ceux qui en profitent directement (salaires) ou indirectement (resdistribution par l'impôt).
Et que fais-tu du risque - réel celui-ci - du risque de perdre son emploi à tout instant pour le salarié ?
D'autre part, rien jusqu'ici n'est venue invalider les théories de la plus-value et de la force collective de travail, mammouth ou pas. Comment pourrait-on le faire d'ailleurs ?
Si tu veux un point de vue consensuel sur la société française, statique par excellence, il te suffit d'acheter le N° annuel du magazine Challenge, dénombrant les 500 plus grosses fortunes de France. Toujours très peu de mouvement dans ce classement, une fois qu'on y est - ce qui arrive aussi souvent qu'un passage de la comète de Halley (j'exagère presque) - il est difficile d'en sortirmps a écrit :La légende de la société statique est bien confortable pour ceux qui préfèrent gémir que se magner le popotin. Sur 10 "riches" que je connais, 7 ne l'étaient pas à 20 ans. Exemples à ta disposition.