Une deuxième restructuration de la dette grecque envisagée
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Re: Une deuxième restructuration de la dette grecque envisagée
Mais bordel, qu'est ce qu'on attend pour les envoyer paître les schleux.
Re: Une deuxième restructuration de la dette grecque envisagée
La solution viendra quand les grecs reprendront le contrôle de leur politique monétaire et sortiront de l'Euro.
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- Nombrilist
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Re: Une deuxième restructuration de la dette grecque envisagée
Pour ça faudrait que les grecs virent toute leur caste dirigeante.
Re: Une deuxième restructuration de la dette grecque envisagée
Ils vont négocier comme toujours.
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Re: Une deuxième restructuration de la dette grecque envisagée
Bonjour,
Qu'en pensez vous ?Grèce : une facture de 600 millions par an pour la France
L'accord sur la Grèce coûterait quelque 600 millions d'euros par an aux finances publiques françaises. Dans un premier temps.
Comment renvoyer aux calendes grecques le remboursement d'une partie substantielle de la dette d'Athènes sans que cela coûte apparemment aux créanciers? C'est la quadrature du cercle à laquelle sont parvenus cette nuit les ministres des Finances de l'Eugroupe, avec la participation de Christine Lagarde pour le FMI et de Mario Draghi pour la BCE.
«L'accord est habile dans la mesure où il conduit à une véritable restructuration des engagements d'Athènes vis-à-vis de ses créanciers publics, sans qu'à aucun moment on ne parle d'effacement du principal», analyse un économiste de banque. «Pour les finances publiques françaises, cela devrait correspondre à un surcoût de l'ordre de 600 millions d'euros par an, dans un premier temps», poursuit cet analyste spécialiste de la zone euro.
Dans la kyrielle de décisions prises pour alléger le fardeau grec d'une quarantaine de milliards d'euros, sur les 150 à 180 milliards de la dette souveraine actuellement détenus par des opérateurs publics étrangers, deux mesures devraient impacter le budget de l'État français.
Tout d'abord, en tant que prêteur direct à la Grèce à hauteur d'environ 12 milliards d'euros effectivement tirés depuis mai 2010, la France consent à réduire de 1 % le taux d'intérêt sur ces prêts. Cette mesure concerne l'ensemble des États créanciers. Soit au total 120 millions d'euros, que Bercy pourra présenter comme un simple «manque à gagner», même si ces rentrées auxquelles on renonce avaient été prises en compte dans les recettes du projet de loi de finances 2013.
(...)
Au total, c'est à 2 milliards d'euros environ, et donc 500 millions pour la Banque de France et indirectement le Trésor français, son actionnaire unique, que nous renonçons. Précisons que ce chiffre de 500 millions correspond à la part française - soit le cinquième de toutes les opérations d'aide à la Grèce (ou plus exactement 20,3 %, qui est le quota de la France au capital de la BCE et donc dans l'euro).
Ces chiffrages, qui s'élèvent à un peu plus de 600 millions d'euros annuellement pour les finances publiques françaises, ne sont bien sûr que la partie émergée de l'iceberg.
(...)
la France, dont les engagements publics vis-à-vis d'Athènes s'élèvent à 50 milliards d'euros dans les estimations les plus basses, ne devra payer qu'environ le centième de cette somme par an pour maintenir la Grèce dans la zone euro. Une bonne affaire?
L'intégralité de cet article à lire sur Le figaro.fr
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Re: Une deuxième restructuration de la dette grecque envisagée
On va nous expliquer que c'est gratuit : pas de soucis icon_lol
Re: Une deuxième restructuration de la dette grecque envisagée
Mais c'est ce que je dis depuis longtemps : à défaut de pouvoir monétiser ou dévaluer, cette crise ne pourra se terminer que par un effacement (au moins partiel) de la dette grecque, et cet effacement aura un coût pour les contribuables des autres pays européens...
Re: Une deuxième restructuration de la dette grecque envisagée
La grèce est spécialiste du défaut de paiement avec cette fois,je crois que ce sera la quatrième,il y en a marre de ces ******
- Lucas
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Re: Une deuxième restructuration de la dette grecque envisagée
Il doit y avoir l'effort de solidarité au sein de l'UE, mais 600 millions d'euros par an ça n'est pas très raisonnable quand dans le même temps on demande de plus en plus d'effort au Français.
Re: Une deuxième restructuration de la dette grecque envisagée
Alors que dans le même temps il n'y a pas de cadastre en Grèce^^ merveilleux quelle belle idée cet Europe dans ces conditions.
Re: Une deuxième restructuration de la dette grecque envisagée
surtout si ça tombe toujours sur le même ... icon_cheesygrinLucas a écrit :Il doit y avoir l'effort de solidarité au sein de l'UE, mais 600 millions d'euros par an ça n'est pas très raisonnable quand dans le même temps on demande de plus en plus d'effort au Français.
- Lucas
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Re: Une deuxième restructuration de la dette grecque envisagée
Ah le "x" est pas passé ^^ Bon tu avais compris , tu devrais plutôt me dire ce que tu en penses.
- Nombrilist
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Re: Une deuxième restructuration de la dette grecque envisagée
"La grèce est spécialiste du défaut de paiement avec cette fois,je crois que ce sera la quatrième,il y en a marre de ces ******"
Cobalt, c'est nous et les allemands qui leur maintenons la tête sous l'eau, et ça fait 3 ans que nous dirigeons leur programme économique avec le FMI. Cela signifie que l'état dans lequel ils sont actuellement, c'est notre faute.
Cobalt, c'est nous et les allemands qui leur maintenons la tête sous l'eau, et ça fait 3 ans que nous dirigeons leur programme économique avec le FMI. Cela signifie que l'état dans lequel ils sont actuellement, c'est notre faute.
Re: Une deuxième restructuration de la dette grecque envisagée
Oui, quand on détruit les sources de revenus d'un emprunteur, il ne faut pas se plaindre s'il fait défaut sur sa dette.
Dieu est mort. Marx est mort. Et moi-même je ne me sens pas très bien ... (Woody Allen)
Re: Une deuxième restructuration de la dette grecque envisagée
Dans ce cas ça devrait nous rapporter ? c'est peut être le cas d'ailleurs ?Nombrilist a écrit :"La grèce est spécialiste du défaut de paiement avec cette fois,je crois que ce sera la quatrième,il y en a marre de ces ******"
Cobalt, c'est nous et les allemands qui leur maintenons la tête sous l'eau, et ça fait 3 ans que nous dirigeons leur programme économique avec le FMI. Cela signifie que l'état dans lequel ils sont actuellement, c'est notre faute.
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