2011, une année catastrophique pour la Bourse
Re: 2011, une année catastrophique pour la Bourse
Une petite question sur la Bourse.
Les actions sont une partie de capital des entreprises c'est ca ? Que les actionnaires achètent et revendent en fonction de la santé commerciale de l'entreprise.
Si je dis une connerie qu'on m'arrete.
Ces hausses et baisses du cours des actionsa t'il une répercution sur le capital final de l'entreprise ?
Si oui quel intéret avec ces années de mettre son capital en bourse si chaque année il perd de la valeur ?
Les actions sont une partie de capital des entreprises c'est ca ? Que les actionnaires achètent et revendent en fonction de la santé commerciale de l'entreprise.
Si je dis une connerie qu'on m'arrete.
Ces hausses et baisses du cours des actionsa t'il une répercution sur le capital final de l'entreprise ?
Si oui quel intéret avec ces années de mettre son capital en bourse si chaque année il perd de la valeur ?
En vadrouille.
Re: 2011, une année catastrophique pour la Bourse
Oui, les entreprises qui ont besoin de capitaux se les procurent (ou essaient) en émettant des actions que des investisseurs peuvent acheter, entrant ainsi dans le capital de ces sociétés.
Au contraire d'un prêt, dont les intérêts sont fixes, les émissions d'actions proposent une rémunération variable de ces capitaux, en fonction des bénéfices dégagés. Soit de rien à beaucoup ...
Une société qui ne fait que peu ou pas de bénéfices peine évidemment à trouver des capitaux, et ses actions se vendent pour pas cher, puisqu'il y a peu de dividendes à attendre.
Mais l'intérêt de l'investisseur se trouve sur le long terme, quoique sans garantie : un action achetée à 100 euros aujourd'hui peut très bien en valoir 350 dans 5 ans. C'est généralement le cas des "blue chips", ces actions de sociétés solides et bien gérées, dont la décote momentannée est plus psychologique que correspondant à la réalité économique.
Les marchés déprimés sont des marchés d'acheteurs, ... à condition de ne pas jouer le mauvais canasson.
Au contraire d'un prêt, dont les intérêts sont fixes, les émissions d'actions proposent une rémunération variable de ces capitaux, en fonction des bénéfices dégagés. Soit de rien à beaucoup ...
Une société qui ne fait que peu ou pas de bénéfices peine évidemment à trouver des capitaux, et ses actions se vendent pour pas cher, puisqu'il y a peu de dividendes à attendre.
Mais l'intérêt de l'investisseur se trouve sur le long terme, quoique sans garantie : un action achetée à 100 euros aujourd'hui peut très bien en valoir 350 dans 5 ans. C'est généralement le cas des "blue chips", ces actions de sociétés solides et bien gérées, dont la décote momentannée est plus psychologique que correspondant à la réalité économique.
Les marchés déprimés sont des marchés d'acheteurs, ... à condition de ne pas jouer le mauvais canasson.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
- politicien
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Re: 2011, une année catastrophique pour la Bourse
Bonjour,
Les grandes entreprises vont verser un peu moins de dividendes que l'an dernier.
Malgré la crise, les grandes entreprises françaises tentent de chouchouter leurs actionnaires pour ne pas les voir partir. Les dividendes que vont verser les entreprises du CAC 40 au titre de l'exercice 2011 devraient s'élever à 37,4 milliards d'euros, annoncent Les Echos.
(...)
Pas ou peu de dividendes pour les banques
La Société Générale et le Crédit Agricole, fortement affectés par la crise financière, ont en revanche déjà prévenu qu'ils ne verseraient rien. La BNP Paribas de son côté versera un dividende en baisse.
(...)
Retrouvez l'intégralité de cet article sur Europe1.fr => http://www.europe1.fr/Economie/37-milli ... 40-891381/
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Re: 2011, une année catastrophique pour la Bourse
Le plus amusant est de lire certains qui croient encore que les banques s'en mettent plein les poches.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
Re: 2011, une année catastrophique pour la Bourse
J'ai quand même du mal à croire que les banques sont si pauvres qu'elles vivent mal. Je vois vachement plus de mec avec de grosses bagnoles qui sortent des banques que d'autres qui sortent des fermes ou des usines.
En vadrouille.
- Nombrilist
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Re: 2011, une année catastrophique pour la Bourse
"Le plus amusant est de lire certains qui croient encore que les banques s'en mettent plein les poches."
Les banques, c'est évident, et les banquiers, je n'ai aucun doute sur la question.
Les banques, c'est évident, et les banquiers, je n'ai aucun doute sur la question.
- wesker
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Re: 2011, une année catastrophique pour la Bourse
Sur quelles valeurs investirais tu, mps.
Se positionner sur le marché secondaire est quelques peu spéculatifs et précisément, le Président tend à vouloir fiscaliser les transactions financières.
Il est vrai qu'un investisseur sérieux doit s'inscrire dans le long terme et participer à la stratégie d'une entreprise.
Se positionner sur le marché secondaire est quelques peu spéculatifs et précisément, le Président tend à vouloir fiscaliser les transactions financières.
Il est vrai qu'un investisseur sérieux doit s'inscrire dans le long terme et participer à la stratégie d'une entreprise.
Re: 2011, une année catastrophique pour la Bourse
Là, c'est la question à 1.000 balles !
L'or est trop cher, les marchés financiers instables, l'immobilier dans le colimateur des rapaces, tandis que les carnets d'épargne, bons de caisse et obligations offrent des rendements nets inférieurs à l'inflation. Il faut donc de l'imagination.
Premier conseil : investir dans tout ce qui procure des économies : une énorme citerne d'eau de pluie (l'eau de distribution ne va cesser d'augmenter), une isolation maniaque de l'habitation (toujours plus chère à chauffer), ce sont des plus values à terme, et un "intérêt" de l'ordre de 10 à 20 % : imbattable ! Par contre, pour les voitures, attendre : les progrès sont constants.
Puis, place à l'idée de génie. En aucune circonstances ont ne crée autant de fortunes qu'en temps de crise. Observer, trouver le chaînon manquant, ... et bosser ! Le tout nécessite des talents.
Sinon, fragmenter ses placements : une touche d'emprunts d'Etats solides (mais peu lucratifs), quelques risques modérés dans des entreprises en croissance, européennes ou exotiques, un terrain à bâtir bien orienté dans une zone encore peut demandée, bref, jouer sur tout le tableau dans l'espoir que les gains équilibrent les pertes. Et savoir que le bine-fondé d'un investissement se constate après 5 ou 10 ans.
Autre possibilité, qui rapporte directement et beaucoup, l'Euromillions, mais avec un certain taux de déceptions :-)
L'or est trop cher, les marchés financiers instables, l'immobilier dans le colimateur des rapaces, tandis que les carnets d'épargne, bons de caisse et obligations offrent des rendements nets inférieurs à l'inflation. Il faut donc de l'imagination.
Premier conseil : investir dans tout ce qui procure des économies : une énorme citerne d'eau de pluie (l'eau de distribution ne va cesser d'augmenter), une isolation maniaque de l'habitation (toujours plus chère à chauffer), ce sont des plus values à terme, et un "intérêt" de l'ordre de 10 à 20 % : imbattable ! Par contre, pour les voitures, attendre : les progrès sont constants.
Puis, place à l'idée de génie. En aucune circonstances ont ne crée autant de fortunes qu'en temps de crise. Observer, trouver le chaînon manquant, ... et bosser ! Le tout nécessite des talents.
Sinon, fragmenter ses placements : une touche d'emprunts d'Etats solides (mais peu lucratifs), quelques risques modérés dans des entreprises en croissance, européennes ou exotiques, un terrain à bâtir bien orienté dans une zone encore peut demandée, bref, jouer sur tout le tableau dans l'espoir que les gains équilibrent les pertes. Et savoir que le bine-fondé d'un investissement se constate après 5 ou 10 ans.
Autre possibilité, qui rapporte directement et beaucoup, l'Euromillions, mais avec un certain taux de déceptions :-)
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- wesker
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Re: 2011, une année catastrophique pour la Bourse
Autrement dit, tu n'as aucune réponse.
Et bien, j'estime que l'immobilier constitue aujourd'hui le moyen de se constituer un patrimoine solide dont la rentabilité à long terme est certaine compte tenu de la disparition des loyers qui compensent amplement les fiscalités, nombreuses et travaux qui doivent être effectués. Acquérir un petit appartement dans une résidence sécurisée par exemple est relativement intéressant et sécurisant, l'assurance vie à condition que les investissements soient fragmentés entre d'une part des unités de compte sur les pays émergents et d'autres part sur des fonds en euros qui seront investis dans des emprunts d'entreprises ou d'Etats dont les fondamentaux sont sains.
Et bien, j'estime que l'immobilier constitue aujourd'hui le moyen de se constituer un patrimoine solide dont la rentabilité à long terme est certaine compte tenu de la disparition des loyers qui compensent amplement les fiscalités, nombreuses et travaux qui doivent être effectués. Acquérir un petit appartement dans une résidence sécurisée par exemple est relativement intéressant et sécurisant, l'assurance vie à condition que les investissements soient fragmentés entre d'une part des unités de compte sur les pays émergents et d'autres part sur des fonds en euros qui seront investis dans des emprunts d'entreprises ou d'Etats dont les fondamentaux sont sains.
Re: 2011, une année catastrophique pour la Bourse
Pour l'immobilier, investir dans son logement, à condition que ce soit modestement "pour ne pas se faire remarquer".
Pour l'immobilier locatif, prudence ! Dans des pays en difficultés, les tentations sont fortes de bloquer les loyers, d'augmenter le revenu cadastral ou le précompte, bref, de plumer le pigeon.
L'assurance-vie, encore oui, mais surtout avec montant garanti à l'échéance.
Pour l'immobilier locatif, prudence ! Dans des pays en difficultés, les tentations sont fortes de bloquer les loyers, d'augmenter le revenu cadastral ou le précompte, bref, de plumer le pigeon.
L'assurance-vie, encore oui, mais surtout avec montant garanti à l'échéance.
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Re: 2011, une année catastrophique pour la Bourse
Les actionnaires ce sont tout de même partagé 80 milliards de dividendes, qu'est-ce que cela aurait été si l'année avait été bonne.
Re: 2011, une année catastrophique pour la Bourse
80 milliards de dividendes par rapport à quels montants investis ?
Le chiffre détaché de son contexte ne veut rien dire.
Le chiffre détaché de son contexte ne veut rien dire.
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- Nombrilist
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Re: 2011, une année catastrophique pour la Bourse
Un petit peu quand même.
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Re: 2011, une année catastrophique pour la Bourse
Viens voir à la défense chez la Société Générale, il y a 850 gus de leur filiale de trading qui sont virés ...Aska a écrit :J'ai quand même du mal à croire que les banques sont si pauvres qu'elles vivent mal. Je vois vachement plus de mec avec de grosses bagnoles qui sortent des banques que d'autres qui sortent des fermes ou des usines.
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Re: 2011, une année catastrophique pour la Bourse
S'ils sont pas trop c... ils auront placé leurs bonus plutôt que de se payer de la coke et des escort girls.
If the radiance of a thousand suns were to burst into the sky, that would be like the splendor of the Mighty One— I am become Death, the shatterer of Worlds.
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