L'arnaque du financement de la dette par les marchés financi

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mps
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Message non lu par mps » 15 juin 2011, 21:36:00

Je cherche à te comprendre ...

Prends une banque européenne normalement gérée.
Arrive la révélation des escroqueries américaines, qui ont essentiellement consisté à entrer des valeurs pourries dans d'excellents fonds pour les dissimuler. Oui, mais les quels ?
C'est comme si on mettait de l'arsenic dans l'eau.
Du coup, et en attendant des inventaires plus précis, tous les fonds sont suspects, même si 90 % d'entr'eux sont blancs-bleus.
Les marchés sont à l'arrêt, les arbitrages suspendus, les déposants anxieux. Les Etats rassurent, assurent des crédits de pont, annoncent des garanties (qui ne seront jamais sollicitées, mais appaisent les inquiétudes).
Au fur et à mesure où les informations concernant  ces fonds vérolés arrivent, les banques les trient avec le même sérieux que les concombres espagnols.

Sauf qu'au lieu de les détruire, ils sont confinés et inscrits en valeur comptable zéro. Une fois clarifiée la situation, on verra que les fonds contaminés étaient sains en grande partie, et qu'une fois débarrassés de leurs "taches", ils peuvent retrouver une valeur nominale très convenable.

En qoi nos banques sont-elles plus responsables que les grossistes dont les légumes ont oudain été soupçonnés de contenir des bactérie Ecoli ?

Demande-t-on à ces grossistes de réparer un préjudice dont ils ont d'ailleurs été les premières et les seules victimes ?
Modifié en dernier par mps le 15 juin 2011, 13:10:00, modifié 1 fois.
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un artisan
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Message non lu par un artisan » 15 juin 2011, 21:44:00

A ma connaissance les producteurs de concombres n'ont pas sollicité l'état pour risque de faillite antérieurement. Ils ne sont pas les responsables... Qu'en est il des banques , certaines ont placé chez Madof ,d'autres dans des fonds pourris ...Rien que le fait de subventionner la grèce est une idiotie pure ,car tôt ou tard ,la cessation de paiement interviendra .....
Modifié en dernier par un artisan le 15 juin 2011, 13:10:00, modifié 1 fois.
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lancelot
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Message non lu par lancelot » 15 juin 2011, 23:07:00

 
Demande-t-on à ces grossistes de réparer un préjudice dont ils ont d'ailleurs été les premières et les seules victimes ?

N'inverse pas les rôles. Le producteur de concombre (surtout espagnol)  est victime et personne ne va le sauver.

Les banques on joué au casino et connaissaient le coté toxique de certains achats. ils ont joué au poker.

Les conséquences furent nombreuses et touchent depuis 2008 les autres secteurs d'activité qui n'y sont pour rien, un peu comme si un particulier payait un acompte de 50% sur des travaux a effectuer puis voyait un mandataire liquidateur confisquer son acompte .....

Dans ce cas ... , même si elle spolie au passage, l'entreprise est liquidée. pour le secteur financier, on les a sauvé et on en subit les conséquences.

Il y a bien des règles différentes, suivant le secteur d'activité.

Le capitalisme a engendré un monstre. il faut être aveugle pour ne pas le voir.
Modifié en dernier par lancelot le 15 juin 2011, 13:10:00, modifié 1 fois.

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Francis XV
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Message non lu par Francis XV » 16 juin 2011, 04:42:00

mps a écrit :Avant  de lire le reste, je hoquète en lisant ceci :

mps, une banque ne prend jamais de risque puisque les Etats se portent de toute façon garants de leurs pertes.

C'est avec des vannes pareilles qu'on construit ses convictions ?  L'Etat se porte garant des entreprises publiques, mais jamais des banques privées, évidemment.

S'il s'est porté garant pour les dépots des épargnants, ce n'est pas parce qu'ils étaint menacés, mais bien pour éviter des paniques de troupeau affolé.

En outre, il a consenti  des prêts aux banques pendant le bref moment où chacune se méfiait des autres, et que les échanges interbancaires et autres arbitrages étaient suspendus.

Certaines banques s'en sont tirées sans une égratignure, d'autres ont bu la tasse, mais l'Etat n'en a ressenti aucune effet,sauf peut-être une moins-value fiscale, bien entendu.
Non mais ...

Les banques privées dont le pouvoir économique et énorme et dépasse souvent celui de pleins d'états, accumulent les conneries, spéculent font des bulles ,immobilier, matières premières, produits alimentaires, les plus pauvres (ceux qui ne peuvent épargner) paient tout ce jeu casino auquels seuls les épargnants les plus fortunés gagnent vraiment.

Quand les banques font faillite l'état vient les sauver, OK elles remboursent l'état, mais elles continuent alors de spéculer créant ainsi chomage, précarité, pauvreté et rebelotte et les plus riches deviennent encore plus riches les pauvres encore plus pauvres et les autres ça dépend s'ils ont de la chance.

Comme tu dis une banque privée c'est pas un organisme philanthropique, donc je vois pas pourquoi un état devrait les sauver même si elles remboursent. Il y a un problème au niveau de l'état il est complétement "soumis" aux banques privées c'est le moins qu'on puisse dire !

Faudrait quand même des fois recadrer les choses avec les banques privées et montrer qui est le patron !
Modifié en dernier par Francis XV le 15 juin 2011, 13:10:00, modifié 1 fois.

pierre30
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Message non lu par pierre30 » 16 juin 2011, 10:26:00

mps, j'ai rien contre les banques, mais il faut quand même pas oublier que les anglais, irlandais, islandais (et j'en oublie) ont recapitalisé ou nationalisé certaines banques qui menaçaient de plonger. Là, il n'y a pas de remboursement de prêt à attendre.

Certaines banques ont fait n'importe quoi en spéculant et ont mis le bazar.

Les banques doivent faire leur boulot : prêter de l'argent à des clients capables de rembourser. Mais quand elles spéculent (avec la bénédiction de l'état), elles sont responsables des crises qu'elles engendrent (avec les états). Malheureusement, elles ne subissent pas toutes les conséquences de leurs aneries.

La spéculation délirante est la plaie du capitalisme.
Modifié en dernier par pierre30 le 15 juin 2011, 13:10:00, modifié 1 fois.

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mps
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Message non lu par mps » 16 juin 2011, 18:11:00

N'inverse pas les rôles. Le producteur de concombre (surtout espagnol)  est victime et personne ne va le sauver.

Les banques on joué au casino et connaissaient le coté toxique de certains achats. ils ont joué au poker.

Deux erreurs, élève Lancelot icon_confused

Les producteurs de concombre seront bien entendu indemnisés, en partie par l'allemagne,en partie par un Fonds européen.

Si les banques avaient connu les pièges sournois des excellents fonds qu'elles avaient acquis, pourquoi crois-tu qu'elles auraient tout confiné, pour les ressortir un à un après des analyses qui ont pris un temps fou ?  Dans ces fonds douteux, 80 à 95 % est du "blue chips", et les qq % vérolés ont  été introduits via des entreprises ne posant pas de problèmes à première vue. C'est chaque fois un long travail de détective, qui n'est d'ailleurs pas tout à fait terminé, malgré les bataillons de gens qui y travaillent.
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Francis XV
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Message non lu par Francis XV » 17 juin 2011, 04:42:00

mps a écrit :
N'inverse pas les rôles. Le producteur de concombre (surtout espagnol)  est victime et personne ne va le sauver.

Les banques on joué au casino et connaissaient le coté toxique de certains achats. ils ont joué au poker.

Deux erreurs, élève Lancelot icon_confused

Les producteurs de concombre seront bien entendu indemnisés, en partie par l'allemagne,en partie par un Fonds européen.

Si les banques avaient connu les pièges sournois des excellents fonds qu'elles avaient acquis, pourquoi crois-tu qu'elles auraient tout confiné, pour les ressortir un à un après des analyses qui ont pris un temps fou ?  Dans ces fonds douteux, 80 à 95 % est du "blue chips", et les qq % vérolés ont  été introduits via des entreprises ne posant pas de problèmes à première vue. C'est chaque fois un long travail de détective, qui n'est d'ailleurs pas tout à fait terminé, malgré les bataillons de gens qui y travaillent.
Et bien comme dit le proverbe "qui vivra verra", dans 5 ans on sera fixé de savoir si on a eu raison ou non de sauver les banques.
Modifié en dernier par Francis XV le 15 juin 2011, 13:10:00, modifié 1 fois.

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Message non lu par GIBET » 17 juin 2011, 15:27:00

D'accord avec mps sur le processus qu'elle décrit
L'erreur de l'Etat n'a pas été de sauver des banques qui tiennent elles mêmes des pme nombreuses (notamment sur leur trésorerie) ...le tout plongeant en cas de faillite bancaire. Mais de ne pas avoir mis en place des contrôles plus pointus comme ce devait être fait
Là c'est un faute du créancier public
GIBETe
Modifié en dernier par GIBET le 15 juin 2011, 13:10:00, modifié 1 fois.
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Message non lu par mps » 17 juin 2011, 16:19:00

En Belgique, la Commission bancaire n'a rien vu venir, et je crois que cela a été pareil partout ...

N'oublie pas que les fonds contaminés étaient finalement peu nombreux, et que la panique a fait plus de ravages que ces produits très partiellement foireux.
Modifié en dernier par mps le 15 juin 2011, 13:10:00, modifié 1 fois.
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Message non lu par racaille » 17 juin 2011, 16:21:00

Il faut quand même rappeler que les banques européennes qui ont fait faillite (avant que les Etats ne les sauvent généreusement) ne se sont mise dedans que de leur propre chef. J'écoutais un observateur suisse avant hier, il précisait que la crise des subprimes a commencé début 2007 aux USA et qu'en Juillet 2008, près d'un an et demi après le premier signal d'alarme, la BNP et SocGen continuaient à s'en donner à coeur joie en pataugeant dans les créances pourries. A ce niveau là c'est de l'autisme ! Le sauvetage de ces banques tenues par des malades mentaux aurait du se faire en exigant des contre-parties bien plus conséquentes qu'un simple remboursement (qui n'est en aucun cas une forme de justice).

Au fait, quel est l'intérêt pour les pays européen, déjà sur-endettés, d'acheter de la dette grecque et donc d'être obligé d'emprunter d'autant plus sur les marchés financiers ? Ca ressemble vachement à une chaine de Ponzi qui par nature ne peut rien apporter de bon... sauf à celui qui a mis la chaine en place^^
Modifié en dernier par racaille le 15 juin 2011, 13:10:00, modifié 1 fois.
Ce qui distingue principalement l'ère nouvelle de l'ère ancienne, c'est que le fouet commence à se croire génial. K M

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Message non lu par johanono » 14 juil. 2011, 23:35:00

Grèce, Italie : à qui profite la dette ?

La situation des pays surendettés n'est pas synonyme de crise pour tout le monde.

Alors que l'Europe se déchire autour des plans de sauvetage, les fonds d'investissement internationaux spéculent sur l'avenir incertain de la Grèce, de l'Italie ou encore de l'Irlande. En face, les détenteurs de Credit Default Swaps (CDS) misent sur la faillite.

Les "PIIGS" en ligne de mire

Cet acronyme peu flatteur désigne cinq membres de l'Eurozone (Portugal, Italie, Irlande, Grèce, Espagne) gravement touchés par la crise et considérés comme "plus faibles" économiquement. Leurs finances au bord de la faillite sont au coeur du débat européen. Cette instabilité résulte principalement d'un manque de souplesse de leurs mécanismes d'ajustement face à un euro fluctuant. D'autre part, ces pays souffrent d'une situation sociale conflictuelle née d'un taux de chômage élevé.

Spéculations contraires

Les banques d'un État surendetté craignent pour leurs propres finances. Elles cherchent donc à se défaire rapidement de leurs dettes. Entrent alors en jeu de nouveaux investisseurs prêts à prendre des risques. C'est le créneau des hedge funds. Ils rachètent cette dette à moindre coût en pariant sur une amélioration de la situation. Selon le Sunday Telegraph cité par lemonde.fr, des fonds spéculatifs américains, français, suisses et allemands auraient ainsi racheté près de 150 millions d'euros de dette à la Grèce, presque à moitié prix.

Rien de scandaleux à cela, selon les investisseurs. "Ce n'est pas de la spéculation, mais une réaction normale aux signaux du marché. Ceux qui sont à blâmer sont les gouvernements de ces pays qui ont laissé filer leur déficit. Si cette situation se présentait dans le cadre d'une entreprise, celle-ci aurait fait faillite depuis longtemps", nous confie le président d'une société d'investissement française.

Autres profiteurs potentiels, les détenteurs de CDS. Cette prime à l'assurance peut s'avérer extrêmement rentable si l'acheteur a anticipé les difficultés financières de l'État. Il touchera cette prime et les bénéfices liés en cas de rupture de contrat si le pays fait défaut.

Le scénario gagnant

Les fonds d'investissement sont souvent montrés du doigt, accusés d'avoir un comportement opportuniste face aux pays en crise. S'il est clair qu'ils ont gros à jouer dans les pays endettés, les conséquences de leur implication ne sont pas forcément néfastes.

La participation du secteur privé dans le rachat de la dette profite indirectement aux institutions financières, notamment au FMI et à l'UE, qui voient le montant qu'elles auront à déverser, si le pays fait défaut, diminuer à vue d'oeil. Selon lesechos.fr, les fonds privés devraient racheter près de 35 milliards d'euros de dette grecque d'ici 2014. L'UE et le FMI n'auront alors à débourser "que" 80 milliards d'euros.

À l'inverse, les détenteurs de CDS tentent d'influer sur la confiance des investisseurs en soulignant les faiblesses du pays concerné afin de le conduire à la faillite.

Les agences de notation, des arbitres polémiques

"Si je vous demande d'évaluer la taille d'un immeuble, vous allez me donner votre avis, peut-être vous tromper, mais votre réponse ne changera pas la taille de l'immeuble. A contrario, évaluer la solvabilité d'un État influe directement sur la solvabilité de l'État en question", explique Gunther Capelle-Blancard, responsable du master banque-finance à l'université de Paris 1 (Panthéon-Sorbonne). Les notes attribuées à chaque pays par les agences de notation pèsent directement sur la confiance des investisseurs. Or, les anticipations de ces derniers sont auto-réalisatrices. S'ils jugent qu'un pays est en passe de faire faillite, ce pays fera effectivement faillite. "Le résultat dépendra donc de celui qui aura été le plus convaincant."

La crise de la dette se résumerait donc à un vaste terrain d'affrontement entre des agents économiques aux intérêts opposés. Le jeu d'influence des deux parties explique notamment les difficultés rencontrées par les institutions financières et l'Union européenne pour trouver un accord et le mettre en pratique. Leur décision de sauver ou non les pays endettés sonnera la fin du combat. Et comme dans toutes les guerres, il y aura un gagnant.
http://www.lepoint.fr/economie/grece-it ... 465_28.php
Modifié en dernier par johanono le 15 juin 2011, 13:10:00, modifié 1 fois.

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Message non lu par mps » 15 juil. 2011, 12:27:00

J'aime beaucoup ces "fonds internationaux" mystérieux et redoutables.
Si on leur donnait un nom, on verrait plus clair.

C'est la BCE, les grandes banques privées,les banques centrales de tous les pays européens, les Fonds de Retraite norvégiens (qui y sont jusqu'au cou !), bref, ce sont vous et moi !

Qui tous luttent pour leur survie, pas pour d'ignobles combines comme vous le vend une presse crétine.

A cela s'ajoutent les agitateurs :

- les agences de notation, pour dévier l'attention des difficultés US, mais dont la gloire est déclinante : l'UE a déjà en chantier une agence de notation officielle européenne.

- les brokers, qui jouent à la hausse et à la baisse, imprimant une instabilité à court terme aux marchés, et d'autant plus facile en raison du faible taux d'échange, donc volatilité maximale.

Le reste est tout à fait normal : tout placement d'argent a un coût variable, selon que ce placement est appétissant ou non. Quand l'offre est gravement avariée, comme la Grèce, les taux grimpent évidemment en flèche, sans toutefois convaincre l'investisseur.
Modifié en dernier par mps le 15 juin 2011, 13:10:00, modifié 1 fois.
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pierre30
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Message non lu par pierre30 » 15 juil. 2011, 12:59:00

Dernière rumeur à la mode : les agences de notation seraient de mèche avec le gouvernement US et quelques gros financiers détenteurs de dette US pour enfoncer l'euro afin que les investisseurs se débarassent des dettes européennes et ainsi soutiennent l'économie US en achetant sa dette (et par la même occasion fassent gagner de la valeur aux obligations US déjà détenues).

Tout ça alors que ça va plus mal pour l'économie US que pour l'économie européenne.

C'est pas machiavélique ? ou alors c'est n'importe quoi ?
Modifié en dernier par pierre30 le 15 juin 2011, 13:10:00, modifié 1 fois.

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Golgoth
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Message non lu par Golgoth » 15 juil. 2011, 13:18:00

"La planche à billet" fait peser le poids des investissements étatiques sur les rentiers alors que le financement par le marché le fait peser sur les actifs salariés. En résumé icon_mrgreen
Modifié en dernier par Golgoth le 15 juin 2011, 13:10:00, modifié 1 fois.
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI. :mrgreen2:

pierre30
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Message non lu par pierre30 » 15 juil. 2011, 13:28:00

 alors que le financement par le marché le fait peser sur les actifs salariés.

 tu peux expliquer ?
Modifié en dernier par pierre30 le 15 juin 2011, 13:10:00, modifié 1 fois.

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