Le plan de soutien aux constructeurs rapporte 715 millions d
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Bonjour,
Le prêt public octroyé aux constructeurs automobiles face à la crise, et dont PSA Peugeot Citroën et Renault ont remboursé le solde ce mardi, a rapporté 715 millions d'euros d'intérêts à l'Etat, a annoncé Christine Lagarde. PSA Peugeot Citroën et Renault ont remboursé chacun ce mardi le dernier tiers d'un milliard d'euros du prêt à 6% que l'Etat leur avait consenti pour traverser la tempête que le secteur a essuyée fin 2008 et début 2009. Renault Trucks, aujourd'hui filiale du suédois Volvo, avait pour sa part soldé en novembre dernier le prêt de 250 millions d'euros qu'il avait touché. "Ainsi, les 6,250 milliards d'euros octroyés par l'Etat aux constructeurs automobiles en 2009 sont intégralement remboursés", a déclaré la ministre de l'Economie dans un communiqué. "Ces prêts auront rapporté au total 715 millions d'euros d'intérêts à l'Etat, sur une durée moyenne de vingt-et-un mois." Christine Lagarde a estimé que le remboursement du prêt avec trois ans d'avance sur le calendrier a démontré l'efficacité du plan mis en place pour aider la filière.
"Pour autant, l'Etat reste extrêmement attentif à cette filière stratégique et y maintient ses efforts", a-t-elle ajouté. Le prêt public était assorti d'engagements des constructeurs sur l'emploi et sur la pérennité des sites en France et en Europe. Dans son communiqué, la ministre plaide pour que le soutien public aux investissements dans des projets innovants - véhicules décarbonés et batteries - débouche rapidement sur des programmes industriels, des nouvelles activités et de nouveaux emplois. Qu'en pensez vous ? A plus tard,
Le prêt public octroyé aux constructeurs automobiles face à la crise, et dont PSA Peugeot Citroën et Renault ont remboursé le solde ce mardi, a rapporté 715 millions d'euros d'intérêts à l'Etat, a annoncé Christine Lagarde. PSA Peugeot Citroën et Renault ont remboursé chacun ce mardi le dernier tiers d'un milliard d'euros du prêt à 6% que l'Etat leur avait consenti pour traverser la tempête que le secteur a essuyée fin 2008 et début 2009. Renault Trucks, aujourd'hui filiale du suédois Volvo, avait pour sa part soldé en novembre dernier le prêt de 250 millions d'euros qu'il avait touché. "Ainsi, les 6,250 milliards d'euros octroyés par l'Etat aux constructeurs automobiles en 2009 sont intégralement remboursés", a déclaré la ministre de l'Economie dans un communiqué. "Ces prêts auront rapporté au total 715 millions d'euros d'intérêts à l'Etat, sur une durée moyenne de vingt-et-un mois." Christine Lagarde a estimé que le remboursement du prêt avec trois ans d'avance sur le calendrier a démontré l'efficacité du plan mis en place pour aider la filière.
"Pour autant, l'Etat reste extrêmement attentif à cette filière stratégique et y maintient ses efforts", a-t-elle ajouté. Le prêt public était assorti d'engagements des constructeurs sur l'emploi et sur la pérennité des sites en France et en Europe. Dans son communiqué, la ministre plaide pour que le soutien public aux investissements dans des projets innovants - véhicules décarbonés et batteries - débouche rapidement sur des programmes industriels, des nouvelles activités et de nouveaux emplois. Qu'en pensez vous ? A plus tard,
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- pwalagratter
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Les Etats ontparfaitement joué durant la crise, sauvé leurs banques etleurs entreprises, et enrichi les contribuables.
La prime à la casse était une moins bonne idée,dans la mesure oùelle a concentré une bonne partie du renouvellement du parc automobilie sur une petite période.
Du coup, tout lemonde est servi !
En Belgique,où il n'y a eu aucune mesure incitative,le marché s'est très bien tenu, et est en croissance constante
http://trends.rnews.be/fr/economie/actu ... e-vente-de…
La prime à la casse était une moins bonne idée,dans la mesure oùelle a concentré une bonne partie du renouvellement du parc automobilie sur une petite période.
Du coup, tout lemonde est servi !
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C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
- pwalagratter
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Exact, du coup les banques ont de quoi redéstabiliser les pays qui les ont sauvés et se frottent les mains sur les futures restructurations de dettes,Les Etats ontparfaitement joué durant la crise, sauvé leurs banques etleurs entreprises,
les grandes entreprises sont ravies, surtout celle du CAC40 (voir les derniers articles sur la rémunération de leurs patrons), les petites et moyennes ont déposé beaucoup de bilans mais c'est pas grave
Si c'est une blague belge elle est particulièrement mauvaise icon_eeket enrichi les contribuables.
Il y a peu d'élus dans le petit clan de nos dirigeants
Pfff ...Quand les banques paient leurs intérêts (ou lesusinesde bagnole) ce n'est pas bénéfice pur pour l'etat, c'est à dire le contribuable ?
et quandles banques,après avoir payé leurs énormes impôts, doivent à présent encore verser une somme énorme et annuelle à l'Etat, à titre d'asurance pour la couverture dont ellesont bénéficié, ce racket ne rapporte-t-il pas aussi au contribuable ?
http://www.courrierinternational.com/br ... -paieront-…
Quant au nucléaire, sa prolongation lui coûtera en Belgique ... 500 millions par an (encore dans lafouilledu contribuable)
Cesse de fantasmer sur les privilèges des riches, et dis-moi combien tu paies d'impôts ...
et quandles banques,après avoir payé leurs énormes impôts, doivent à présent encore verser une somme énorme et annuelle à l'Etat, à titre d'asurance pour la couverture dont ellesont bénéficié, ce racket ne rapporte-t-il pas aussi au contribuable ?
http://www.courrierinternational.com/br ... -paieront-…
Quant au nucléaire, sa prolongation lui coûtera en Belgique ... 500 millions par an (encore dans lafouilledu contribuable)
Cesse de fantasmer sur les privilèges des riches, et dis-moi combien tu paies d'impôts ...
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
- pwalagratter
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Pwalagratter c'est comme ça qu'un post dérive, et je trouve ça dommage, donc restons sur le sujet, ça sera mieux pour tout le monde.
Pour les ventes de voiture en 2011, voici un article des Echos
Pour les ventes de voiture en 2011, voici un article des Echos
A défaut d'être franchement bonne, la nouvelle est quand même encourageante. Au lieu de chuter de 10 %, le marché automobile français ne devrait reculer que de quelque 8 % cette année, a estimé ce vendredi Patrick Blain le président du Comité des constructeurs français d'automobiles CCFA. Raison de cette légère bouffée d'optimisme : la bonne tenue des immatriculations dans l'Hexagone au premier trimestre. Selon les chiffres publiés par le même comité, celles-ci ont en effet augmenté de 8,9 % , à 647.552 millions unités sur les trois premiers mois de 2011. Et ce, malgré la disparition définitive au 31 décembre dernier de la prime à la casse instaurée deux ans plus tôt pour pallier la crise. Ou plutôt à cause de cette disparition et du boom des commandes enregistré par les constructeurs à son annonce.
Depuis, les constructeurs qui avaient jusqu'à fin mars pour livrer les véhicules primés commandés, ont en effet essentiellement vécu sur ce boom de décembre et les promotions financées par les constructeurs pour compenser cette disparition. Car si en mars, les immatriculations ont encore bondi de 6,1% sur un an, à 257.631 unités, après avoir déjà progressé de 13,7 % février et de 8,2 % en janvier, l'appétit des acheteurs particuliers pour les nouvelles voitures accuse un sérieux fléchissement.
(...)
En mars, le Groupe Renault enregistre toutefois un coup de mou (-12,4 %) dû, selon lui, à des retards de livraisons notamment sur ses Clio Campus. 3000 de ces modèles d'entrée de gamme qui bénéficiaient des aides gouvernementales (PAC et bonus écologique de fin 2010) n'ont pu être immatriculées avant la date butoir de fin mars, a expliqué le constructeur qui s'engage toutefois à faire bénéficier ses clients des avantages prévus initialement par la loi mais du coup achève le trimestre sur un recul de 1,6 % « Compte tenu du niveau de commandes et de la dynamique commerciale dans les affaires du réseau, nous gardons comme cap l'atteinte de l'objectif que nous nous sommes fixés en début d'année pour l'exercice 2011, à savoir : une part de marché proche de celle de 2010, dans un marché en baisse», a cependant tenu à rassurer Bernard Cambier, directeur commercial France.
PSA lui résiste beaucoup mieux : +13,5 en mars , soit +5,7 % sur le trimestre. Un succès tiré par les modèles d'accès chez Peugeot dont les 206+ et 207 s'octroient à elles seules 8,6 % du marché français à fin mars, culminant ainsi toujours en tête des véhicules les plus vendus dans l'Hexagone. Autre bonne surprise chez Peugeot le 3008 qui entre dans le classement des 10 meilleures ventes du trimestre avec un total de 13.800 livraisons. Mais qui doit aussi largement à Citroën dont la DS3 de Citroën, s'offre notamment le luxe de doubler la Mini.
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire »
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Il était donc tout à fait fallacieux d'affirmer, comme certains l'ont fait, que l'Etat a dépensé des milliards pour aider les constructeurs automobiles ou les banques...politicien a écrit : Bonjour,
Le prêt public octroyé aux constructeurs automobiles face à la crise, et dont PSA Peugeot Citroën et Renault ont remboursé le solde ce mardi, a rapporté 715 millions d'euros d'intérêts à l'Etat, a annoncé Christine Lagarde. PSA Peugeot Citroën et Renault ont remboursé chacun ce mardi le dernier tiers d'un milliard d'euros du prêt à 6% que l'Etat leur avait consenti pour traverser la tempête que le secteur a essuyée fin 2008 et début 2009. Renault Trucks, aujourd'hui filiale du suédois Volvo, avait pour sa part soldé en novembre dernier le prêt de 250 millions d'euros qu'il avait touché. "Ainsi, les 6,250 milliards d'euros octroyés par l'Etat aux constructeurs automobiles en 2009 sont intégralement remboursés", a déclaré la ministre de l'Economie dans un communiqué. "Ces prêts auront rapporté au total 715 millions d'euros d'intérêts à l'Etat, sur une durée moyenne de vingt-et-un mois." Christine Lagarde a estimé que le remboursement du prêt avec trois ans d'avance sur le calendrier a démontré l'efficacité du plan mis en place pour aider la filière.
"Pour autant, l'Etat reste extrêmement attentif à cette filière stratégique et y maintient ses efforts", a-t-elle ajouté. Le prêt public était assorti d'engagements des constructeurs sur l'emploi et sur la pérennité des sites en France et en Europe. Dans son communiqué, la ministre plaide pour que le soutien public aux investissements dans des projets innovants - véhicules décarbonés et batteries - débouche rapidement sur des programmes industriels, des nouvelles activités et de nouveaux emplois. Qu'en pensez vous ? A plus tard,
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En fait, le problème c'est qu'on ne connait pas le taux avec lequel l'état s'est refinancé et le coup de ces emprunts à terme par rapport à ces prêt à courte échéance (6%).
Je pense que l'état n'a pas, en soit dépensé des milliards, et s'il n'est pas positif, il doit être équilibré, je me plais à penser qu'aussi nuls soient nos dirigeants, ils savent compter.
Maintenant, le problème c'est que ce prêt à court terme a été financé par du long terme. De ce fait, on a transféré les problèmes du privé (les entreprises) vers l'état et donc les contribuables. L'autre problème c'est la faiblesse ou l’absence de contrepartie, et surtout la non participation de l'Etat au capital de l'entreprise. Regarde, le sauvetage de GM : aujourd'hui il rapporte énormément alors même que GM est en train de refaire des bénefices.
Pour ma part ce n'est pas le sauvetage que je déplore, c'est la forme du sauvetage.
Je pense que l'état n'a pas, en soit dépensé des milliards, et s'il n'est pas positif, il doit être équilibré, je me plais à penser qu'aussi nuls soient nos dirigeants, ils savent compter.
Maintenant, le problème c'est que ce prêt à court terme a été financé par du long terme. De ce fait, on a transféré les problèmes du privé (les entreprises) vers l'état et donc les contribuables. L'autre problème c'est la faiblesse ou l’absence de contrepartie, et surtout la non participation de l'Etat au capital de l'entreprise. Regarde, le sauvetage de GM : aujourd'hui il rapporte énormément alors même que GM est en train de refaire des bénefices.
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http://zestedesavoir.com une association pour la beauté du zeste.
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dans l'immobilier. tu paies presque le double ta maison... en fait tu ne paies pas X% d'intérêt sur le total, mais chaque mois tu paies X% d'intérêt sur le capital restant.
Sans compter que le prêt initial était de 6.5 milliards, pas de 1 milliard
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Si t'avais tout lu, tu aurais vu qu'on parle de 6.25 milliards à 6% , et sur une durée de 2.0 ans (environ), ceci explique celà.un artisan a écrit : 1 milliard de prêt aurait donc produit 715 millions d'intérêt ? Un peu de sérieux ,ce sont des taux qui n'existent nulle part.....
Cette information ne fait qu'illustrer la pertinence des décisions prises par Sarkozy à cette époque.
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Tout à fait fallacieux, mais l'honnêteté intellectuelle n'est pas du monde gauchiste, ni frontiste d'ailleurs.johanono a écrit :Il était donc tout à fait fallacieux d'affirmer, comme certains l'ont fait, que l'Etat a dépensé des milliards pour aider les constructeurs automobiles ou les banques...politicien a écrit : Bonjour,
Le prêt public octroyé aux constructeurs automobiles face à la crise, et dont PSA Peugeot Citroën et Renault ont remboursé le solde ce mardi, a rapporté 715 millions d'euros d'intérêts à l'Etat, a annoncé Christine Lagarde. PSA Peugeot Citroën et Renault ont remboursé chacun ce mardi le dernier tiers d'un milliard d'euros du prêt à 6% que l'Etat leur avait consenti pour traverser la tempête que le secteur a essuyée fin 2008 et début 2009. Renault Trucks, aujourd'hui filiale du suédois Volvo, avait pour sa part soldé en novembre dernier le prêt de 250 millions d'euros qu'il avait touché. "Ainsi, les 6,250 milliards d'euros octroyés par l'Etat aux constructeurs automobiles en 2009 sont intégralement remboursés", a déclaré la ministre de l'Economie dans un communiqué. "Ces prêts auront rapporté au total 715 millions d'euros d'intérêts à l'Etat, sur une durée moyenne de vingt-et-un mois." Christine Lagarde a estimé que le remboursement du prêt avec trois ans d'avance sur le calendrier a démontré l'efficacité du plan mis en place pour aider la filière.
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