Les paradis fiscaux

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Cobalt

Message non lu par Cobalt » 24 oct. 2010, 09:07:00

Nos journaux regorgent depuis peu de questions sur les paradis fiscaux Un journal du soir et une émission de télévision traitant des paradis fiscaux se demandaient : quel peut -être le nombre banques françaises et de filiales installées dans ces paradis ? et aussi, quel est le poids de ces Paradis dans la finance mondiale ? Questions essentielles auxquelles il est vital d’apporter des réponses. Si les journalistes ne peuvent répondre, le Forum Pour la France va apporter un certain nombre d’éléments susceptibles d’apporter les réponses aux questions posées. Le Forum Pour la France a en effet participé à plusieurs colloques sur le sujet, effectué une étude à partir de nos archives, mais en prenant surtout compte du rapport d’information 1934 émis par les députés Madame Elisabeth Guigou et Monsieur Daniel Garrigue qui fut mon invité lors de ma dernière émission de radio, que j’ai invité pour venir à ma place traiter du sujet, mais qui malheureusement est pris autre part.
 Alors que pouvons nous dire sur ces paradis ? Premièrement et en ce qui concerne notre pays :
Le nombre de banques françaises et leurs filiales installées dans les paradis fiscaux :
(Source FMI ) = 100 filiales et 84 succursales.
Autre réponse à une question que nous devons nous poser sur le poids des banques françaises dans les Paradis fiscaux : selon l’hebdomadaire Marianne, en mars 2009 : 532. 577 millions de dollars avec une progression de (+308% en 5 ans)
Après ces chiffres français, et alors que notre nation est loin d’être dominée par cette passion dévorante pour l’argent, dont sont atteints certains autres groupes, nous pouvons craindre du degré de contamination dont est affligé la planète.
Car le poids des paradis dans la finance mondiale est énorme, ils hébergeaient, d’après les derniers chiffres du FMI, 10 000 milliards de dollars, mais quelques semaines plus tard les chiffres selon le rapport d’information de l’AN n° 1834 , page 12) ils étaient estimés à 12 000 milliards de dollars, c’est à dire plus de 25% du PIB mondial. Ces paradis fiscaux représentent aussi dans l’année, la moitié des transactions financières internationales.
Selon les chiffres du FMI, les Paradis Fiscaux , hébergent 4 000 banques et deux millions de sociétés écrans. Lorsque nous savons que ces sociétés protèges des sociétés de fonds alternatifs (fonds non réglementés) comme les hedges funds qui achètent nos propres sociétés en souscrivant des crédits souvent auprès de banques dissimulées dans les Paradis fiscaux, il faut bien que tout argent se blanchisse. Ce secteur, rien que pour la zone de l’UE, représente 2 000 milliards d’euros.
Une directive européenne tente d’éradiquer le problème en proposant une sorte de Label de qualité, mais il faut savoir qu’elle permet, et seule la France le dénonce, d’attribuer ce label à des fonds domiciliés dans des paradis fiscaux.
Regardons maintenant ce qui se passe au niveau des banques, quel est leur poids dans les paradis fiscaux : (d’aprés le rapport de la BRI) ce poids est d’environ 8 000 milliards de dollars pour le passif (dettes et dépôts) et 7 000 milliards de dollars pour l’actif (contre pratiquement 0 en déc 1977).
Ce poids déterminé et que nous pouvons estimer comme « officiel » des paradis fiscaux dans l’économie et dans la finance mondiale est donc énorme, mais très en dessous de la vérité, car la Banque des règlements internationaux n’a pas inscrit comme paradis fiscaux (PF) les Places de Londres Singapour, Luxembourg, Dublin, Hong Kong et des Pays Bas, je n’ai rien trouvé concernant la Belgique, nous verrons tout à l’heure qu’elle peut dans divers domaines être considérée elle aussi comme un paradis fiscal. Alors le poids « officiel » des PF est désormais égal à 25% de l’économie mondiale pour la position internationale en passif, et 20% pour les actifs.
A la vue de ces chiffres, nous comprenons que l’élimination des paradis fiscaux à laquelle les Chefs d’Etat et de Gouvernement réunis à Pisttburg déclaraient vouloir s’attaquer était un pieux mensonge.
Déjà dans les Paradis fiscaux, les fonds déposés représentent jusqu’à 60 fois le PNB des Etats qui les hébergent. Ces derniers ne vont donc pas se laisser démunir, et qui plus est, la plupart des autres Etats, possèdent ou pour le moins travaillent avec ces PF, la question ne sera pas résolue de sitôt.
Mais aussi, n’oublions pas dans cette description, le blanchiment de l’argent du crime organisé, qui passe presque obligatoirement par les PF et dont je disais lors de notre dernière réunion, que la mafia représentait la cinquième puissance financière mondiale : Sur un PIB planétaire en 2007, de 54 584 milliards de dollars, il a été détecté que 2 729 milliards de dollars ont été « blanchis » par les mafias et qu’un cinquième des sommes hébergées a servi pour la corruption. Ce blanchiment passe par toutes sortes de supports : Football avec le transfert indirect d’argent blanchi grâce à une augmentation fictive des ventes de billets ou des autres recettes et qui vont vers les P.F, Une étude très sérieuse a permis de découvrir comment l’argent des bananes en provenance d’Amérique du Sud permettait de blanchir de l’argent et d’alimenter les P.F, pendant que les vrais producteurs mouraient de ne plus pouvoir vendre leurs bananes et surtout comme nous pouvons le craindre, étant donné que l’argent des mafias n’est déclaré nulle part, il doit être plus volumineux que celui qui est estimé
Il faut qu’une question soit posée : Comment et pourquoi les P.F fonctionnent si bien ?
C’est d’abord grâce à une fiscalité nulle ou très faible, qui forme ainsi la mise en place d’une véritable incitation à la fraude. Plus d’ 1/5ème du P.I.B mondial qui transite par les PF, c’est une fraude de plus d’un cinquième du C.A réalisé dans le monde entier. Nous devons nous rendre compte que ce cinquième manquant permettrait de soulager bien des misères, d’apporter des possibilités de soigner, d’éduquer un cinquième de la population mondiale, c’est à dire pour 2009, prés d’un milliard cinq cents millions d’être humains.
Comme tout le laisse supposer, très peu d’hommes possèdent les moyens de transiter par les PF et que nombre d’autres ne le veulent pas.
Nous pouvons donc en conclure qu’en dehors du crime organisé, ceux qui utilisent les PF sont en nombre infime, riches à n’en plus pouvoir et désireux quand même de s’empiffrer davantage sur le dos des autres.
Il est nécessaire de mettre un terme à de telles pratiques, qui ne viennent pas du fond des âges, mais des années Tatacher-Reagan, comme nous allons le découvrir
D’abord pour défendre leur compétitivité les PF déploient une sous réglementation :
  • les juridictions des PF ne transmettent pas les informations, ce qui permet aux mafias et aux spéculateurs de s’y vautrer dans l’aisance et la sécurité. Ce qui a favorisé les paradis fiscaux c’est la libre circulation des capitaux, imposée par les Etats-Unis pour appliquer les principes de l’ultra libéralisme dictés par Madame Thatcher et Monsieur Reagan qui ne voyaient ni l’un ni l’autre plus loin que le bout de leur nez. [/list:u]
    Mais ils ne sont pas les seuls responsables, Pinochet avant eux avait expérimenté la chose, et ces principes ultra libéraux étaient entièrement inscrits dans le traité de Rome : La liberté des mouvements de capitaux faisait partie de l’une des quatre libertés fondamentales, même si cette liberté des mouvements de capitaux s’arrêtait aux frontières de l’Union. Ceci prouve que l’Europe, telle que voulue par Jean Monnet, VRP de l’Amérique, était bien le laboratoire d’un mondialisme en cours d’expérimentation.
    Rappelons que l’origine des PF et leur développement proviennent de la monétisation des déficits commerciaux américains à partir des années 1960 (marché des eurodollars) la Titrisation ne date donc pas d’hier, la première puissance mondiale en est bien l’initiatrice et elle a collé sa maladie honteuse au monde entier par l’intermédiaire des paradis fiscaux. Annoncer les Traders comme les sauveurs du monde et les récompenser comme tels est quand un détournement de nos valeurs ancestrales, en d’autres époques ils auraient eu la gorge tranchée.
    Qu’est ce qu’un paradis fiscal ?
    « Un endroit ou la fiscalité est inexistante ou insignifiante, ou une absence de transparence a été organisée dans les structures bancaires (sociétés écrans) ou des lois bancaires ou des pratiques administratives empêchent l’échange de renseignements, et ou sont admis des sociétés ou des structures sans activité substantielle ».
    Voyons un peu l’énormité de la chose : Juste à coté de chez nous, à Jersey, en ce qui concerne la fiscalité, chaque personne paye 20% sur leur premier demi million, puis de moins en moins par tranches successives (Le monde diplomatique). Nous pourrions dire : " Enfin un endroit dans le monde ou les salauds de pauvres commencent à devenir généreux avec les riches " , mais ils peuvent encore mieux faire.
    Les Paradis fiscaux font courir à un certain nombre d’entre nous des risques sans que nous le sachions.
    Les hedge funds gèrent de manière directe, mais aussi indirecte, une partie importante de l’épargne retraite des particuliers, c’est à dire une partie de la notre.
    Alors attention, ces fonds ne sont pas réglementés, ils ne sont soumis ni aux obligations de transparence, ni à l’obligation de publication d’information. C’est ainsi que des retraités se retrouvent sans rien, parce que la société à laquelle ils avaient durant des années confié leurs économies n’était pas soumises à certaines obligations pourtant nécessaires.
    Ces sociétés sont souvent des hedge funds qui preprésentent une force financière considérable, 8000 sociétés gèrent 2 000 milliards de dollars (10% des actifs détenus par les investisseurs institutionnels dans le monde) et qui sont pour la plupart localisés dans les P.F, ce qui revient à dire qu’en s’assurant sur la vie, ou en épargnant pour se constituer une autre retraite, nous participons, au financement des P.F. Un exemple (80% des Hedge Funds sont domiciliées aux Iles Caïmans (comme pour mieux nous croquer).
    Maintenant dépassons les paradis fiscaux qui ne sont pas les seuls à bénéficier de la déréglementation pour organiser des institutions parallèles. Les Bourses, pourtant chargées d’animer les marchés régulés, créent des plateformes « alternatives » Nyse Euronext par exemple, a créé un pool traitant des blocs d’actions, où les échanges sont anonymes et même chose pour un autre marché hors zone, euronext (source le monde).
    Mais aussi, les CDS, (marché de crédit défaut swaps (échanges) qui réalisent un C.A de 40 000 milliards d’euros, n’offrent aucune transparence et ce marché n’est pas encadré. C’est une horreur, une somme correspondant à la presque totalité du PIB mondial échappe à tout contrôle.
    Ces marchés opaques et non réglementés sont donc des « trous noirs » dans la finance mondiale, les mêmes que les Paradis fiscaux.
    Nous pouvons ajouter à ces manoeuvres, les investissements étrangers directs, qui se servent des paradis fiscaux comme centres de transit, les mafias n’avaient pas à se déplacer très loin pour découvrir comment frauder et surtout blanchir leur argent. La manoeuvre est aisée, vous déclarez un investissement en direction des iles Caïmans, un compte y est effectivement crédité officiellement, mais ensuite l’argent file dans d’autres lieux : Nous possédons un chiffre ces IED représentent 60 fois le PNB des ïles vierges, 20 fois en moyenne pour les autres paradis fiscaux Rappelons que voit transiter beaucoup d’IED qui filent ensuite vers la Chine continentale. C’est une source pour les délocalisations qu’il faut tarir au plus vite, car nos retraites financent tout à la fois, les paradis fiscaux qui mettent nos biens en péril et la Chine qui détruit nos emplois.
    Ou se situent les Paradis fiscaux ?
    Image d’abord en Europe, ensuite aux Caraïbes puis en Asie, Trois Etats des USA, l’Afrique débute dans ce sport avec le Ghana et le Libéria.
    Europe : Suisse, Liechtenstein, Autriche, Luxembourg, Monaco, Andorre, San-Marin, les ïles anglo-Normandes, l’ïle de Man et Gibraltar. (j’y ajouterai la Belgique pour son secret bancaire).
    USA : Le Delaware (très prisé des Français) le Nevada et le Wyoming.
    Ce petit travail étant effectué, grâce surtout au rapport d’information n° 1834 « EN FINIR AVEC LES TROUS NOIRS DE LA FINANCE MONDIALE » il nous reste à connaître l’organisme, les personnalités, les lois qui combattent ces paradis fiscaux pour remettre l’argent qui s’y cache dans le circuit officiel. Il s’agit maintenant de savoir qui va enfin s’occuper de l’argent sale qui se légalise en transitant par ces paradis fiscaux ?
    Le G20 devait en traiter, nous devons constater que les Présidents et Chefs de Gouvernement présents au G20 ont certainement, par manque de temps, oublié de légiférer en la matière, ou ont traîné en énonçant quelques principes très gênés. Le paradis fiscal a encore de beaux jours devant lui, mais il serait inconvenant que le FPF ne s’en mêle pas, car il y va de l’indépendance financières des nations et que notre indépendance soit brimée, nous ne le supportons pas, mais surtout à terme, les nations en général et laé France en particulier ne le supporteraient pas
    Que Faire ?
    Les normes qui désignent les paradis fiscaux sont dictées, des listes qui restent peut-être à peaufiner, mais ou sont désignés les principaux acteurs sont établies. Les paradis fiscaux, sont connus, répertoriés, ainsi que ceux qui permettent le blanchiment de l’argent et qui suscitent la fraude fiscale.
    Il reste à combattre cette fraude mondialisée et organisée contre les nations. Les listes : Doivent être prises en compte, les listes établies par le FMI, l’OCDE, le GAFI, le FSF (il faut le savoir, lors des derniers G20, seule la liste de l’OCDE a été utilisée) une vision d’ensemble et détaillée sur chaque secteur est pourtant nécessaire pour traiter le Fiscal, le bancaire et le pénal.
    Il existe un Conseil de stabilité financière : « FSB » c’est donc à lui qu’il doit incomber, de réunir, de présenter et d’utiliser toutes les listes sur lesquelles figurent les établissements qui représentent un risque pour la stabilité monétaire.
    Ce sont ensuite les Etats, mais tous ensemble, qui doivent interdire à leurs banques nationales d’établir des filiales ou des succursales dans les Paradis fiscaux. Il suffit ensuite de prendre contre les Etats qui ne satisferaient pas à cette injonction, une sanction : interdiction de s’établir, de travailler dans les autres Etats et avec les banques de ces derniers.
    France : Nous devons une fois de plus montrer l’exemple : Pour les banques françaises qui voudraient rester dans les paradis fiscaux, même en changeant de nom, de statut ou de n’importe quoi, la menace de la nationalisation du siège et des établissements installés dans l’hexagone devrait suffire.
    Pour les banques étrangères sur lesquelles la France ne possède aucun droit, l’interdiction de travailler, sous quelque forme que ce soit, en France et avec tous les établissements bancaires, financiers et surtout avec les compagnies d’assurances, devrait réinstaller quelques valeurs dans la finance .
    Pour les sociétés écrans connues et reconnues, françaises ou pas, il suffit là aussi d’interdire de travailler avec ces sociétés et d’ interdire l’installation de toute filiale, ou succursale sur le territoire. Il s’agit pas là d’une vue de l’esprit, le bénéfice réalisé par les cies est souvent du aux quelques derniers chiffres réalisés, il suffit donc de menacer pour que les derniers chiffres ne soient pas atteints, et ainsi les bénéfices disparaissent.
    La liberté de mouvement des capitaux doit être revue et corrigée. Tant qu’une autorité désignée et acceptée de tous, ne pourra regarder, réprimander, canaliser les flux, rien ne sera possible.
    La France devrait se lancer dans une série d’accords bilatéraux pour rendre obligatoire la transparence en matière financière, quelques-uns ont déjà été signés, mais on peut se demander pourquoi avec seulement des paradis fiscaux, c’est surtout avec les Etats sains, qu’il faut signer des accords afin d’éradiquer le problème.
    L’autorité chargée de la « supervision » et de la régulation doit établir l’évaluation des progrès sur l’application des conventions, à l’échelon mondial ou sur les accords bilatéraux.
    Il faut aussi établir une coopération pénale au niveau mondial pour ce qui concerne les P.F et tous les blanchiments.
    C’est au niveau des politiques que tout cela est possible, l’affaire sera difficile, la liste des Paradis Fiscaux établit clairement que les grands pays industrialisés et maintenant des pays émergents se servent et même favorisent ces P.F. Il est évident qu’un seul pays ne peut rien et même n’a pas intérêt à éliminer ces P.F si les autres pays maintiennent les leurs. Il s’agit d’une décision politique commune devant déboucher, non seulement sur la disparition des PF, mais aussi sur une refondation de tout le système financier, avec le retour d’une régulation décidée et appliquée par les Etats.
    Nous pouvons aujourd’hui le constater, le G20 transformé en G2, n’a pas pris les décisions nécessaires. Nous avions prévu que la montagne accoucherait d’une souris. Mais, même si quelques décisions avaient été prises, l’argent des mafias aurait peut être été traité (peut-être), mais le dumping fiscal, social et monétaire ? Qu’est qu’un PF à coté du yoyo institutionnalisé du dollar, à coté de la sous évaluation du yuan – C’est donc bien tout le SMI qu’il faut remettre à plat.
    Maintenant se pose LE problème, après l’étude du rapport d’information n° 1834, il s’avère qu’avec Maastricht et ses directives, l’Etat-nation ne peut plus rien contre les paradis fiscaux et qu’il lui faut se soumettre aux directives européennes : troisième directive anti blanchiment : tirer parti des possibilités offertes par le traité de Lisbonne pour aboutir à une véritable espace judiciaire pénal européen. Le projet en cours : attendre la prochain sommet européen de Stockholm et si jamais le traité de Lisbonne était ratifié par tous, il s’ensuivrait une attentre d’un nouveau traité.
    Le Forum Pour la France ne peut accepter cette politique européenne qui ne sert à rien et qui dessert au contraire, il constate que rien n’a été véritablement été fait lors du G20 pour combattre ce fléau que forment les Paradis fiscaux.
    Le FPF constate que 27 pays en Europe attendent que des directives venant de Bruxelles via Washington, traitent du problème, ce que le FPF traduit par rien ne se fera jamais.
    Qu’en conséquence, la France doit reprendre souveraineté et indépendance en matière financière et monétaire, qu’elle devra ensuite et une fois de plus montrer le chemin de la raison. Débarrasser les nations, c’est à dire les territoires et les hommes qui vivent dessus des conséquences de ces pratiques mafieuses, qui les privent de leurs usines, des emplois et de toutes les richesses dont ils ont besoin, uniquement pour vivre.
     

Cobalt

Message non lu par Cobalt » 24 oct. 2010, 14:13:00

Pour moi ,mais je l'ai déjà dit que ce soit la gauche ou la droite ne travaillera pas sur ce projet ambitieux,ou alors qu'elle le dise ! j'ai mon exemple personnel pour prouver que la gauche mitterand n'a rien fait à l'affaire.

Georges
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Message non lu par Georges » 24 oct. 2010, 16:18:00

Cobalt a écrit :Pour moi ,mais je l'ai déjà dit que ce soit la gauche ou la droite ne travaillera pas sur ce projet ambitieux,ou alors qu'elle le dise ! j'ai mon exemple personnel pour prouver que la gauche mitterand n'a rien fait à l'affaire.
Evidemment puisque la gauche sociale démocrate est pour le capitalisme.

Cobalt

Message non lu par Cobalt » 24 oct. 2010, 16:21:00

Je me tue à le dire icon_biggrin

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