Non pas peu importe la cause. Si on se remet à travailler, il n'y a pas de crise.merlin a écrit :Peu importe la cause, les effets seront les mêmes.
Une société qui ne travaille pas ne peut pas bien se porter, c'est une évidence.
Non pas peu importe la cause. Si on se remet à travailler, il n'y a pas de crise.merlin a écrit :Peu importe la cause, les effets seront les mêmes.
Ce qui est perdu est perdu. Peu importe la cause. Les effets seront donc les mêmes.
Il n'y a (presque) plus d'activité, donc évidemment, tout le monde va morfler, gros et petits. Mais il vaudra toujours mieux-être riche et en bonne santé que pauvre et malade. (Mais ça, ça reste valable avec crise, sans crise, avec virus, sans virus, avec réchauffement climatique, sans etc... etc...)merlin a écrit :C'est partiellement vrai. Mais les marchés amplifient cette tendance. Les mesures de report de charges et autres sont peanuts.
Ce seront les petits qui vont gober (libéraux, indépendants, etc ...), et les petits épargnants aussi ...
Les marchés boursiers, oui. Mais l'économie réelle n'est pas là et c'est dans l'économie réelle que sont les emplois. Et c'est bien pour les sauver et sauver les entreprises que Macron a décidé de mobiliser le pays pour des sommes estimées au bas mot à 20 milliards, une paille.
tu insistes!Nombrilist a écrit : ↑08 mars 2020, 09:26:32Un générique est un produit importé. Budget de la SS ou autre chose, à la fin c'est du déficit des vases communicants du financement public. Il n'y aucune raison (hormis idéologique) de traiter le budget de la SS séparément du déficit des autres budgets. A la fin, c'est le contribuable qui paie.Jeff Van Planet a écrit : ↑08 mars 2020, 09:20:46Quel beau sophisme. tu mélanges importation, générique, budget de la SS et achats en général. Du gloubiboulga en somme.
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