J'ai remarqué la même chose et ça explique pas mal de choses ! Je me demande si le coût des intermittents du spectacle est dans le budget de la culture !
Les aides sociales (RSA et PA) représentent peu, - 4 % du budget social !
J'ai remarqué la même chose et ça explique pas mal de choses ! Je me demande si le coût des intermittents du spectacle est dans le budget de la culture !
On sait depuis toujours que le chômage est la clé: le retour à l'emploi annule son coût, mais mieux, rend moins cher les retraites et la sécu.Jeff Van Planet a écrit : ↑27 janv. 2019, 11:47:46Fichtre où est le sénat dans cette liste?
Franchement maintenant il faut se demander comment dépenser mieux. Comment faire pour que les retraites coûtent moins cher. Comment faire baisser le chômage et surtout que les chômeurs longue durée retrouvent le chemin de l'emplois.
Héhé, la justice n'est pas culturelle, c'est le moins qu'on puisse dire.
C'est ce que veulent les parents pour leurs enfants !
Il faudrait sortir de notre jacobinisme pour appliquer la subsidiarité !
C'est vrai ça . On a jamais autant produit et on a jamais été aussi productif . Il est donc bien logiqueasterix a écrit : ↑30 janv. 2019, 21:57:22C'est le coût de notre médiocrité montante, et de nos aspirations bourgeoises, comme si le français était une caste qui ne saurait exercer des métiers considérés comme dégradants, et dont l'aspect dégradant est sans cesse reconsidéré dans une trajectoire inflationniste. Socialement parlant, on a beau gagner plein de fric, si on a des cals aux mains et des odeurs de transpiration, on n'est qu'un "bof" ou un plouc. Et puis ce fameux fantasme fondé on se demande sur quoi, qui dit que nos progénitures doivent avoir une vie meilleure que la notre.
Rien a voir: le CICE est une baisse de recettes, comme une baisse de ton salaire, ce n'est pas une dépense, une dépense c'est de l'argent qui te sorts des poches, comme par exemple ton loyer.Nombrilist a écrit : ↑28 janv. 2019, 22:01:03Bah oui. De toute façon, c'est tableau ce sont des % multipliés par 10.
ils n'ont pas intérêt à le faire, sinon on verrait le rapport qualité prix plus que médiocre.Logos a écrit : ↑29 janv. 2019, 02:18:40On ne va pas faire les hypocrites.
Cette présentation vise à amener le lecteur à juger qu'on dépense "trop" pour le social.
De toute façon, c'est un problème récurent en France : on pousse les citoyens à se focaliser sur l'aspect "prélèvement".
Mais assez rarement sur le niveau des prises en charge.
Je vais peut être dire une bêtise, mais il me semble que les dépenses pour les intermittents sont prises en charges par l'unedic.
Être de plus en plus productif passe par l'élimination de l'intervention de l'homme dans la production. Faire travailler l'Homme est devenu un non sens économique. Tellement de salariés n'ont même pas un véritable travail, et sont incapables d'expliquer à quoi ils servent. Ils ont un salaire, cossu parfois, pour des considérations totalement déconnectées de l'aspect de rendement et de rentabilité, juste parce qu'il faut bien remplir les tours des sièges sociaux, et les open spaces. Ils font de la "communication", réfléchissent coment berner la clientèle, comment massacrer les marges des intermédiares, comment atteindre le coût marginal le plus bas. Et ils appellent ça un travail, ce genre de truc dont moi je m'amuserai le week end pour le plaisir. Enfin, chacun comprendra ou je veux en venir, en y mettant un peu de sincérité.Snark a écrit : ↑31 janv. 2019, 07:00:18C'est vrai ça . On a jamais autant produit et on a jamais été aussi productif . Il est donc bien logiqueasterix a écrit : ↑30 janv. 2019, 21:57:22C'est le coût de notre médiocrité montante, et de nos aspirations bourgeoises, comme si le français était une caste qui ne saurait exercer des métiers considérés comme dégradants, et dont l'aspect dégradant est sans cesse reconsidéré dans une trajectoire inflationniste. Socialement parlant, on a beau gagner plein de fric, si on a des cals aux mains et des odeurs de transpiration, on n'est qu'un "bof" ou un plouc. Et puis ce fameux fantasme fondé on se demande sur quoi, qui dit que nos progénitures doivent avoir une vie meilleure que la notre.
que les conditions de vie se dégradent pour une majorité de la population dont l'économie n'a plus guère besoin .
Vive le livreur de pizzas , le magasinier et l'hotesse de caisse toujours plus précaires et mal payés
par des sociétés toujours mieux portantes .
Ce que veulent les parents, lorsqu'ils ont les neuronnes en bon ordre, c'est que leurs enfants vivent d'abord dans un monde viable, autrement dit perpétuellement reconductible. Oserais tu qualifier le notre actuel de perpétuellement reconductible?
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