En France, les actionnaires profitent moins de la création de richesses que les salariés depuis la crise

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wesker
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Re: En France, les actionnaires profitent moins de la création de richesses que les salariés depuis la crise

Message non lu par wesker » 26 janv. 2019, 00:29:06

Oui enfin, l'administration fiscale peut parfaitement comparer les revenus des uns et des autres, et, objectivement, maintenir des gens qui bossent avec des bas salaires est néfaste pour l'économie puisqu'ils ne gagnent pas assez pour être assujettis à la fiscalité directe, quand ceux qui gagnent trop ont les moyens de s'extraire de cette dernière par l'intervention d'avocats fiscalistes.

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Jeff Van Planet
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Re: En France, les actionnaires profitent moins de la création de richesses que les salariés depuis la crise

Message non lu par Jeff Van Planet » 26 janv. 2019, 09:05:03

Nombrilist a écrit :
22 janv. 2019, 21:46:54
OSEF qu'une partie du capital, plus ou moins petite, soit détenue par les salariés car à mon avis, ce sont les hauts cadres, pas les techniciens en bas de l'échelle, qui en détiennent la majeure partie. Moi-même j'ai des actions, mais je m'en fous. Je préfèrerais du salaire. En masse financière, l'actionnariat, c'est le CAC40, pas la boulangerie du coin.
Le capital c'est la liberté, le salaria c'est la laisse.
Le grand problème de notre système démocratique c'est qu'il permet de faire démocratiquement des choses non démocratiques.
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Re: En France, les actionnaires profitent moins de la création de richesses que les salariés depuis la crise

Message non lu par Jeff Van Planet » 26 janv. 2019, 09:06:43

Papibilou a écrit :
25 janv. 2019, 10:18:30
Mesurer la progression des salaires et du capital dans une période de difficultés financières mondiale est partiel et partial. A l'inverse il suffit de regarder une période de prospérité économique pour s'apercevoir du contraire, et ce serait tout aussi partiel et partial. Ou l'illustration de comment faire dire aux chiffres ce que l'on veut.
Tout à fait, et le pire ce serait de faire l'amalgame entre "cours de la bourse" et dividendes. Les cours de la bourse (ou valeur des boites) ne rentrent pas en ligne de compte dans la répartition des richesses.
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Narbonne
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Re: En France, les actionnaires profitent moins de la création de richesses que les salariés depuis la crise

Message non lu par Narbonne » 26 janv. 2019, 11:31:59

Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait.

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Re: En France, les actionnaires profitent moins de la création de richesses que les salariés depuis la crise

Message non lu par Papibilou » 26 janv. 2019, 11:40:51

Jeff Van Planet a écrit :
26 janv. 2019, 09:06:43
Papibilou a écrit :
25 janv. 2019, 10:18:30
Mesurer la progression des salaires et du capital dans une période de difficultés financières mondiale est partiel et partial. A l'inverse il suffit de regarder une période de prospérité économique pour s'apercevoir du contraire, et ce serait tout aussi partiel et partial. Ou l'illustration de comment faire dire aux chiffres ce que l'on veut.
Tout à fait, et le pire ce serait de faire l'amalgame entre "cours de la bourse" et dividendes. Les cours de la bourse (ou valeur des boites) ne rentrent pas en ligne de compte dans la répartition des richesses.
Si on se fit aux cours de bourse de 2018, pauvres capitalistes !!!! Ils en ont prix plein la tête, mais pas plein le portefeuille de valeurs.

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Jeff Van Planet
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Re: En France, les actionnaires profitent moins de la création de richesses que les salariés depuis la crise

Message non lu par Jeff Van Planet » 26 janv. 2019, 14:25:37

Narbonne a écrit :
26 janv. 2019, 11:31:59
Près de 260.000 Français sont devenus millionnaires en dollars en 2018, soit l'équivalent de la ville de Bordeaux. La plus forte progression au monde après les Etats-Unis.
Il serait intéressant de connaître le % de salariés dans les 2,14 millions de millionnaires en France
Probablement aucuns ou alors très peu car ces classements se basent sur la valeur des biens.

-------------
Papibilou a écrit :
26 janv. 2019, 11:40:51
Jeff Van Planet a écrit :
26 janv. 2019, 09:06:43
Papibilou a écrit :
25 janv. 2019, 10:18:30
Mesurer la progression des salaires et du capital dans une période de difficultés financières mondiale est partiel et partial. A l'inverse il suffit de regarder une période de prospérité économique pour s'apercevoir du contraire, et ce serait tout aussi partiel et partial. Ou l'illustration de comment faire dire aux chiffres ce que l'on veut.
Tout à fait, et le pire ce serait de faire l'amalgame entre "cours de la bourse" et dividendes. Les cours de la bourse (ou valeur des boites) ne rentrent pas en ligne de compte dans la répartition des richesses.
Si on se fit aux cours de bourse de 2018, pauvres capitalistes !!!! Ils en ont prix plein la tête, mais pas plein le portefeuille de valeurs.
J'expliquais simplement que les cours de la bourse ou les valeurs des entreprises ne rentrent pas en compte dans la répartition des richesses. Je ne comprends pas le pourquoi cette ironie.
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Re: En France, les actionnaires profitent moins de la création de richesses que les salariés depuis la crise

Message non lu par Papibilou » 26 janv. 2019, 15:09:11

Jeff Van Planet a écrit :
26 janv. 2019, 14:25:37

J'expliquais simplement que les cours de la bourse ou les valeurs des entreprises ne rentrent pas en compte dans la répartition des richesses. Je ne comprends pas le pourquoi cette ironie.
Il ne s'agit pas d'ironie. - 10.95% pour le CAC 40 en 2018.
https://www.latribune.fr/bourse/bourses ... 02472.html

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Re: En France, les actionnaires profitent moins de la création de richesses que les salariés depuis la crise

Message non lu par Nombrilist » 26 janv. 2019, 17:32:17

Papibilou a écrit :
26 janv. 2019, 15:09:11
Jeff Van Planet a écrit :
26 janv. 2019, 14:25:37

J'expliquais simplement que les cours de la bourse ou les valeurs des entreprises ne rentrent pas en compte dans la répartition des richesses. Je ne comprends pas le pourquoi cette ironie.
Il ne s'agit pas d'ironie. - 10.95% pour le CAC 40 en 2018.
https://www.latribune.fr/bourse/bourses ... 02472.html
Si on parle des dividendes et des salaires des hauts-cadres, c'est plutôt +10%.

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Jeff Van Planet
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Re: En France, les actionnaires profitent moins de la création de richesses que les salariés depuis la crise

Message non lu par Jeff Van Planet » 26 janv. 2019, 18:05:20

Comme je l'ai dit les dividendes font partie des rémunération, les valeurs des actions les valeurs des voitures les valeurs des maisons (etc) ou même les plus values issues de leurs ventes ne rentrent pas dans la production de richesses. Ils ne rentrent donc pas dans ce qui est décrit dans le première article.
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Re: En France, les actionnaires profitent moins de la création de richesses que les salariés depuis la crise

Message non lu par pierre30 » 27 janv. 2019, 09:19:58

Hector a écrit :
23 janv. 2019, 21:50:41
L'actionnariat salarié est une bonne chose tant qu'il demeure minoritaire au capital. Au delà, on est dans la coopérative, modèle qui n'a jamais fait d'étincelles. Je suis actionnaire de la boite où je bosse, tant par des achats réservés aux salariés que par mes investissements personnels en bourse.
Le problème des coopératives est qu'il permet difficilement une augmentation de capital. Dans l'agriculture il s' agit d'une association de micro-entreprises qui ont chacune leur gestion propre et pas vraiment de politique commune. Il est par conséquent compliqué de faire des choix audacieux. A l'inverse une SA est complètement dirigée par certains protagonistes (les investisseurs) et ignore d'autres protagonistes (les salaries). En gros il lui manque une patte pour bien avancer.
Il faut donc inventer une 3eme structure d'entreprise .

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Re: En France, les actionnaires profitent moins de la création de richesses que les salariés depuis la crise

Message non lu par johanono » 27 janv. 2019, 09:24:03

wesker a écrit :
23 janv. 2019, 23:43:45
L'actionnariat salarié est une bonne chose mais il n'est possible que dans une minorité d'entreprises....L'immense majorité des boîtes ne comptant que moins de 20 salariés ne disposent pas de la possibilité d'instaurer ce dispositif.
Et l'immense majorité de ces boites est loin de réaliser les profits sur lesquels tant de Français fantasment. Au contraire, l'immense majorité de ces boites est confrontée à de récurrents problèmes de trésorerie.

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Jeff Van Planet
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Re: En France, les actionnaires profitent moins de la création de richesses que les salariés depuis la crise

Message non lu par Jeff Van Planet » 27 janv. 2019, 10:01:26

pierre30 a écrit :
27 janv. 2019, 09:19:58
Hector a écrit :
23 janv. 2019, 21:50:41
L'actionnariat salarié est une bonne chose tant qu'il demeure minoritaire au capital. Au delà, on est dans la coopérative, modèle qui n'a jamais fait d'étincelles. Je suis actionnaire de la boite où je bosse, tant par des achats réservés aux salariés que par mes investissements personnels en bourse.
Le problème des coopératives est qu'il permet difficilement une augmentation de capital. Dans l'agriculture il s' agit d'une association de micro-entreprises qui ont chacune leur gestion propre et pas vraiment de politique commune. Il est par conséquent compliqué de faire des choix audacieux. A l'inverse une SA est complètement dirigée par certains protagonistes (les investisseurs) et ignore d'autres protagonistes (les salaries). En gros il lui manque une patte pour bien avancer.
Il faut donc inventer une 3eme structure d'entreprise .
Ou alors que les syndicats achètent avec une partie de leurs cotisations (et subventions) des actions des boites, de cette façons les salariés auraient des votes sur les décisions des boites.

Et je dis ça sachant que je suis contre le faite que les salariés aient un vote sur les décisions des entreprises, s'ils veulent un vote qu'ils achètent des actions, d'où ma proposition du paragraphe précédent.
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Re: En France, les actionnaires profitent moins de la création de richesses que les salariés depuis la crise

Message non lu par pierre30 » 27 janv. 2019, 11:13:41

Voilà un exemple qui montre que d'autres structures peuvent fonctionner.
Au départ c'est une association de viticulteurs qui commercialisent ensemble. Elle est créée dans la région de Minerves.
Ensuite plusieurs CICA fusionnent. Et aujourd'hui c'est un groupe puissant dont le directeur a été M Barsalou, qui était aussi président du Crédit Agricole et possédait des vignes qu'il exploitait lui même. Il a donné l'impulsion au développement du groupe. Le groupe a connu par la suite des difficultés et des succès comme toute entreprise dynamique.
Mais au conseil d'administration il y a toujours des viticulteurs qui siègent au côté d'investisseurs et ça fonctionne plutôt bien.
Le groupe s' appelle aujourd'hui VINADEIS et est devenu une SA à directoire.
Val d'Orbieu : portait d'un géant du vin

mer. 18 févr. 2015 - 10:21

11 caves coopératives et 60 domaines, 17 000 ha de vignes, 3 millions d'hectolitres commercialisés : le 3ème producteur négociant français, derrière Castel et Grands Chais de France, est un géant…

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11 caves coopératives et 60 domaines, 17 000 ha de vignes, 3 millions d’hectolitres commercialisés : le 3ème producteur négociant français, derrière Castel et Grands Chais de France, est un géant discret du nom de Val d’Orbieu.


Basé à Narbonne, le groupe Val d’Orbieu est très polyvalent grâce à sa taille, capable de produire de gros volumes de vins de table (de France ou de la Communauté Européenne) comme d’isoler, chez ses adhérents, les parcelles qui expriment le plus fidèlement leur terroir spécifique.


Histoire d’une renaissance


Le groupe affiche en 2014 une insolente santé financière et commerciale… Et revient de loin. Après des années de difficultés, Bertrand Girard est recruté en 2010 pour diriger une réforme drastique et mettre en œuvre un plan ambitieux de retour à la croissance. Manager visionnaire, spécialiste des marchés asiatiques, Bertrand Girard n’est pas issu de la coopération et est fort d’un parcours international, dans la promotion et le commerce de produits agroalimentaires chez Danone, puis à la Sopexa.
Val d’Orbieu avait réalisé en 2010 un chiffre d’affaires de 170 millions d’euros. En 2014, ce chiffre est monté à 280 millions. Le groupe doit cette progression à ses achats autant qu’à la progression de ses ventes. Côté fusions, en 2012 Val d’Orbieu a absorbé la cave UCCOAR (75 M€ CA) et pris une participation majoritaire au capital de Grand Terroir (11 M€ CA en 2011). Côté ventes, elles sont en hausse, en particulier à l’export, où elles triplent en trois ans, avec des filiales ouvertes aux États-Unis et en Chine.


Val d’Orbieu vend davantage en volume, dans un contexte de hausse des cours du vin de 40 à 50 % sur trois ans, dont Bertrand Girard revendique une part de responsabilité : « Nous n’avons pas cédé sur les prix dans les négociations commerciales. Et compte tenu des volumes que nous traitons, cela pèse. Cela nous a coûté des marchés quand des concurrents, eux, ont choisi de céder. Mais nous avons tenu le cap et cette hausse des prix nous permet aujourd’hui de rémunérer décemment nos adhérents. »


Black Réserve


Bertrand Girard revendique le statut de Val d’Orbieu : producteur marketeur de vins du Languedoc, et plus largement du sud de la France, première winery de France, avec une équipe technique capable de produire des vins de marques comme des cuvées parcellaires de caractère, en travaillant notamment avec des domaines particuliers.


Car la particularité de cette structure coopérative est de rassembler, en plus des onze caves coopératives, soixante domaines et châteaux. Depuis le millésime 2012, Val d’Orbieu propose une collection Black Reserve, « les diamants noirs du Languedoc », précise Bertrand Girard : une série de sélections parcellaires effectuées dans les domaines partenaires, main dans la main avec les propriétaires, des cuvées peu à peu mises en marché.


Le faiseur de vins, Olivier Dauga, fort d’une expérience aussi riche qu’internationale après des directions techniques à Bordeaux (Sociando-Mallet, La Tour Carnet, Rolland de By) supervise cette collection avec la complicité de l’œnologue du groupe . « Je suis un œnologue qui n’est pas allé à l’école… Moi, au départ, j’ai fait de la danse classique… », explique ce créatif pur jus, doublé d’un aventurier, « travailler avec Val d’Orbieu c’est disposer de toute la palette extraordinaire des terroirs du Languedoc, aux expressions si marquées. » Et Bertrand Girard de conclure : « l’idée est de faire des flacons exceptionnels, qui expriment la mosaïque des terroirs du Languedoc-Roussillon, des Aspres au Minervois. Et de positionner ces vins sur le segment à 15 euros et plus alors qu’ils n’y sont pas attendus. On attend le Languedoc-Roussillon sur la bonne affaire en entrée et cœur de gamme, pas sur le cru de terroir premium, mais cela change et cela va continuer à changer ! »


Innovations


Avec un objectif de 7 millions de bouteilles, la collection Black Reserve sera loin de représenter le gros de la production de Val d’Orbieu. A l’heure actuelle, la marque emblématique du groupe reste la Cuvée Mythique en IGP Pays d’Oc et La Mythique Languedoc en AOP Languedoc. La première a adopté le système de bouchage Hélix, bouchon de liège à vis développé par le bouchonnier Amorim et le verrier O-I pour son client néerlandais Albert Heijn. La seconde a désormais une version bio.


Autre nouveauté pleine de charme : la gamme Les Petits Carreaux, vins de cépages fruités et faciles à boire, se dote également de deux eaux minérales, gazeuse ou plate.
Enfin, Roland Girard annonce les prochains chantiers à suivre pour le groupe : le développement de l’oenotourisme, auprès des caves comme des domaines. Là encore, Val d’Orbieu pourra tirer avantage de sa taille et de la variété inouïe de ses terroirs.


En photo :
Aux côtés de la cuvée Mythique en mode Twist and Taste avec le bouchage Helix, la sélection Black Reserve Cuvée 1437 du Château de Pouzols, propriété de la famille du Baron Francois-Régis de Fournas depuis 1437, l’un des domaines les plus anciennement détenus par la même famille dans la région. Un vin remarquable de concentration et de complexité, avec un nez entre mûre et framboise, des notes de garrigues, de réglisse et de poivre noir et un boisé bien intégré, qui parle du Minervois dont il est issu.



Article complet sur http://www.terredevins.com/actualites/v ... nt-du-vin/

Papibilou
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Re: En France, les actionnaires profitent moins de la création de richesses que les salariés depuis la crise

Message non lu par Papibilou » 27 janv. 2019, 12:12:01

Nombrilist a écrit :
26 janv. 2019, 17:32:17
Papibilou a écrit :
26 janv. 2019, 15:09:11
Jeff Van Planet a écrit :
26 janv. 2019, 14:25:37

J'expliquais simplement que les cours de la bourse ou les valeurs des entreprises ne rentrent pas en compte dans la répartition des richesses. Je ne comprends pas le pourquoi cette ironie.
Il ne s'agit pas d'ironie. - 10.95% pour le CAC 40 en 2018.
https://www.latribune.fr/bourse/bourses ... 02472.html
Si on parle des dividendes et des salaires des hauts-cadres, c'est plutôt +10%.
Vous parlez surtout du CAC 40.

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Jeff Van Planet
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Re: En France, les actionnaires profitent moins de la création de richesses que les salariés depuis la crise

Message non lu par Jeff Van Planet » 27 janv. 2019, 15:38:13

Papibilou a écrit :
27 janv. 2019, 12:12:01
Nombrilist a écrit :
26 janv. 2019, 17:32:17
Papibilou a écrit :
26 janv. 2019, 15:09:11
Jeff Van Planet a écrit :
26 janv. 2019, 14:25:37

J'expliquais simplement que les cours de la bourse ou les valeurs des entreprises ne rentrent pas en compte dans la répartition des richesses. Je ne comprends pas le pourquoi cette ironie.
Il ne s'agit pas d'ironie. - 10.95% pour le CAC 40 en 2018.
https://www.latribune.fr/bourse/bourses ... 02472.html
Si on parle des dividendes et des salaires des hauts-cadres, c'est plutôt +10%.
Vous parlez surtout du CAC 40.
il parle de valeur du patrimoine ce qui n'a absolument rien a voir avec le sujet.
Le grand problème de notre système démocratique c'est qu'il permet de faire démocratiquement des choses non démocratiques.
J.Saramago

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