Oui, je suis d'accord, j'ai un peu plus d'épaisseur que toi.Lancelot, tu es vraiment épais !
Ha la déjà, tu vois, tu reviens sur ton discours d'avant (je vais pas le citer, c'est fatiguant à la longue) qui disait en substance que les crises minoraient les suivantes. Pour moi, les crises, car tu as raison sur ce point, nous en connaissons de plus en plus, a tel point que les situations hors crises, deviennent des exceptions. Cela démontre clairement l'inefficacité des mesures prises, mais cela confirme l'inflation de crises.D'une part, il y a la crise (un phénomène aigu et de courte durée) : nous en avons connues quelques unes, toutes différentes, et qui a chaque fois entraîne des mesures intéressantes pour éviter que les mêmesphénomènes entraînenent les mêmes causes. Ce qui n'exclut as de nouvelles causes, bien entendu.
Le dernier exemple est la crise financière : on sauve la finance et elle se remet a nous bouffer le bras 2 ans après .... Dans ce cas, compte tenu du discours des dirigeants de l'époque, et du tien également, on aurait été en droit (moral, bien sur) de s'attendre à un comportement plus civil des acteurs économiques.
Non ..., les responsables de la crise systémique deviennent les acteurs d'une crise monétaire et créent une nouvelle crise dont les remèdes connus et mis en place à ce jour nourrissent eux mêmes les spéculations sur les monnaies dont l'euro.
La position que tu défends est donc bien erronée :
- les phénomènes si ils sont plus aigus ne sont plus de courte durée : les crises sont plus nombreuses et plus violentes. Les bulles se dégonflent et l'économie réelle finance les pertes.
- pour le reste, a savoir la situation sociale, elle ne cesse de se dégrader et pas en faveur des plus démunis, hélas. Bon, bien sur, tous ceux qui en pâtissent sont certainement des fainéants qui n' ont pas eu de nurse anglaise. C'est un handicap certain .... :lol:
- Pour la tendance lourde, ici, elle va le devenir, c'est sur.
La, je m'abstiendrais. D'ailleurs qu'y a t'il a comprendre ?Pigé ?