Ce n'est pas une question d'échelle. Serieusement si j'avais 100000 euros à prêter à un pote j'lui demanderai pas plus d'intérêts que si c'était 100 euros, dans quel monde tu vis sérieusement ? Même l'amitié tu connais pas ? C'est pire que ce que je croyais.
Et par exemple pour la Grèce je demanderai pas un centime d'euro d'intérêts alors qu'il s'agit de disaine de milliards d'euros ...
On ne t'a jamais appris ça ? On ne vend pas des actes d'amitié ou de solidarité. Ce sont des principes de base du savoir vivre ensemble.
De ce magnifique élan, je conclus que tu n'as aucune responsabilité, et que tu confonds les moyens d'existence d'une famille ou d'une sociégté avec ton argent de poche. Pour reprendre le cas précis que j'évoquais, tu obligeais ton fils à arrêter ses études, ou tu ferais saisir le logement familial en cours d'acquisition pour obliger un copain ?
Pour Pierre :
C'est vrai que tu mets la somme à ton débit, mais tu mets également la reconnaissance de dette à ton crédit. De plus, cet argent est mis à la disposition du débiteur qui va pouvoir l'utiliser.
Ce que tu décris en matière d'inscription, c'est simplement une balance carrée, obligatoire en comptabilité. Mais un autre principe de comptabilité veut que l'on mette au débit toute somme engagée (même encore non versée) et au crédit uniquement les sommes effectivement rentrées. Ta second phrase m'échappe totalement : évidemment que la somme est mise à disposition du débiteur, sinon il n'y aurait pas de prêt ! Pourquoi "en plus" ? icon_biggrin
Retour à Logan:
J'voudrais que les banques payent pour leur attaque spéculative et la façon dont elles ont détourné de leur objectif les aides qu'elles ont reçu.
Tu cafouilles ferme, là ! Les banques ne font nulles "attaques spéculatives", ce sont les grands stock brokers. Et ces banques n'ont reçu aucune aide, mais des crédits de pont pendant les jours de crise de liquidité, où la méfiance avait suspendu les indispensables prêts inter-bancaires.
Mon conseil : laissez tomber vos "liens" pêchés n'importe où et mal interprêtés, et consacrez quelques heures de votre vie à étudier quelques notions de base :
- un bon cours de comptabilité ;
- une étude sérieuse de la Loi bancaire ;
- etc.
vous serez alors aptes à critiquer les idioties que vous lisez, et non "la société", par principe. Mais cela demande un effort intellectuel minimal.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)