Emmanuel Macron plaide pour un « New Deal » européen

[Narbonne]

La France demande 48 milliards et les allemands 89.
C'est quoi encore, cette manip ?

[Nombrilist]

Nos politiques sont des boulets. Les deux tiers des 48 milliards sont des dépenses et non de véritables investissements au sens de Bruxelles. Mais pourquoi rien sur la transition énergétique ? Alors là je ne comprends pas.

[Narbonne]

" nos politiques sont des boulets", c'est tout.

[El Fredo]

La France demande 48 milliards et les allemands 89.
C'est quoi encore, cette manip ?

Non, c'est une liste de projets dont le total fait 48 ou 89 Md€, rien ne dit qu'ils seront tous mis en place.

@Nombrilist : il y a des programmes sur l'isolation thermique des logements, ça fait partie de la transition énergétique (c'est même un gisement énorme d'économies). Je ne sais pas combien ça peut représenter mais si on additionne les projets mentionnés dans l'article on arrive à 28 Md€, il en reste 20.

[Nombrilist]

Pour l'isolation, je suis d'accord, ça fait partie de la transition énergétique au sens large du terme. Mais je doute que Bruxelles prenne ça de la même manière. La transition énergétique, c'est avant tout aller chercher d'autres sources d'énergie que le carbone fossile ou le nucléaire. Pour ma part, j'aurais plutôt lancé le programme d'isolation sur les deniers français et proposé la captation d'autres sources d'énergie comme investissement à Bruxelles.

[El Fredo]

Oui c'est vrai que de ce point de vue ça manque d'ambition.

[politicien]

Bonjour,

Les États membres de l'UE ont fait part de leurs réticences jeudi pour abonder le fonds destiné à mobiliser 315 milliards d'euros d'investissement sur le continent, malgré les appels du pied du président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker.

"J'entends dire que certains dirigeants se sont exprimés pour dire qu'en terme de volume global, le paquet est très insuffisant. Il y a la possibilité pour les États membres de contribuer au financement du capital, ce sera pris en compte par la Commission dans l'évaluation de la situation budgétaire des différents pays", a affirmé M. Juncker, à son arrivée à un sommet européen à Bruxelles. Pour encourager les États membres à abonder le nouveau fonds, la Commission européenne propose que les sommes versées ne soient pas comptabilisées dans le calcul de leur déficit. "Donc il n'y a pratiquement aucune raison pour ne pas participer au financement", a souligné M. Juncker.

Le président de la Commission a déjà lancé des appels à de maintes reprises aux pays bénéficiant de marges budgétaires, comme l'Allemagne, pour apporter une contribution à ce fonds d'investissement, projet phare du mandat de M. Juncker pour relancer la croissance et l'emploi. "J'attends maintenant des propositions concrètes et pas seulement paroles, paroles. J'ai besoin de money, money, d'argent sonnant et trébuchant", avait-il déclaré mercredi au Parlement européen.

Merkel affiche son scepticisme
Mais la chancelière allemande Angela Merkel s'est contentée d'un soutien a minima jeudi et a préféré insister sur la nécessité de poursuivre les réformes structurelles en Europe. "Nous ne sommes toujours pas dans une situation économique facile, c'est pourquoi nous devons faire trois choses : nous pouvons lancer le plan d'investissement (...) qui doit maintenant se remplir de projets concrets. Par ailleurs, il faut évidemment gagner la confiance, c'est à cela que répond la mise en oeuvre du pacte de stabilité et de croissance", a déclaré Mme Merkel.

(...)

L'intégralité de cet article à lire sur Le Point.fr

Qu'en pensez vous ?

[El Fredo]

L'Histoire sera sévère envers Madame Merkel.