François Hollande entend s'attaquer à un État "trop lourd, trop lent, trop cher"

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mordred
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Re: François Hollande entend s'attaquer à un État "trop lourd, trop lent, trop cher"

Message non lu par mordred » 09 janv. 2014, 18:18:59

Comment comprendre qu'il y ait une employée de la poste dans mon agence les jours d'affluence et deux quand c'est calme ?
C'est humain. C'est la connerie humaine.
Il y a du ménage à faire. Et ne demandez pas aux fonctionnaires de le faire eux-mêmes : 90% d'entre eux n'en ont pas les capacités.
"La mer était très forte. Je pense qu'il était bien trop vieux pour aller à la pêche aux maquereaux".
Feu Dédé la fleur; bien souffrant (Ouessant) et Yann Tiersen (mondialement connu).

PatJol
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Re: François Hollande entend s'attaquer à un État "trop lourd, trop lent, trop cher"

Message non lu par PatJol » 09 janv. 2014, 19:19:28

albert » Mar 7 Jan 2014 - 21:44 a écrit :Je ne dis pas qu’il n’y a aucun problème ni aucune économie à faire, ce n’est pas la question.
Mais un tel discours sur l’Etat trop cher, c’est typique de l’idéologie de la droite libérale.
Hollande se bayrouise.

Et alors ?
Si la droite dit quelque chose il faudrait forcément prendre le parti pris inverse ?
Dans une discussion, le difficile, ce n'est pas de défendre son opinion, c'est de la connaître.
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PatJol
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Re: François Hollande entend s'attaquer à un État "trop lourd, trop lent, trop cher"

Message non lu par PatJol » 09 janv. 2014, 19:21:43

Jean » Mer 8 Jan 2014 - 16:51 a écrit :Il se tire une balle dans le pied...????

Chouchou des fonctionnaires serait-il en train de couper la branche où il est assis ???

On marche encore... après deux ans, certains croient encore à ce qu'il dit. Il a encore de beaux jours devant lui...


Concrètement il a bien supprimé le jour de carence des fonctionnaire (supprimant ainsi les 40% de réduction d'arrêts de travail courts) ainsi que la réforme de NS qui devait supprimer plus de deux mille élus locaux (fusion conseiller général et conseiller régional)

Donc pas de problème c'est une simple nouvelle galéjade.

J'ai été fonctionnaire, et franchement les fonctionnaires sont majoritairement favorables à une simplification et une optimisation des processus. Ce qui va dans le sens de l'amélioration du service public va dans le bon sens.
Dans une discussion, le difficile, ce n'est pas de défendre son opinion, c'est de la connaître.
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Re: François Hollande entend s'attaquer à un État "trop lourd, trop lent, trop cher"

Message non lu par Nombrilist » 09 janv. 2014, 20:06:12

Il ne va rien améliorer du tout. D'ailleurs ce n'est pas l'objectif.

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Golgoth
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Re: François Hollande entend s'attaquer à un État "trop lourd, trop lent, trop cher"

Message non lu par Golgoth » 09 janv. 2014, 20:20:36

Migaud veut qu'on baisse les dépenses de la SECU : http://lexpansion.lexpress.fr/economie/ ... 23210.html

Vous pensez que vous aurez moins de paperasse à faire mais en fait c'est juste qu'être malade va vous coûter plus cher.
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI. :mrgreen2:

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merlin
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Re: François Hollande entend s'attaquer à un État "trop lourd, trop lent, trop cher"

Message non lu par merlin » 09 janv. 2014, 20:42:49

Bon ...
Je vais juste exprimer ma pensée (lol) :

- Oui, on peut baisser les dépenses.
- Oui, on peut rationaliser les dépenses.
- Oui, on peut faire prendre conscience qu'il faut faire des efforts ...
- Oui, on peut aussi alléger l'interface ... (pour le bien public)

Après ... que fait on ?

PatJol
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Re: François Hollande entend s'attaquer à un État "trop lourd, trop lent, trop cher"

Message non lu par PatJol » 10 janv. 2014, 14:07:42

Eh oui, dans ce domaine les discours c'est bien, mais attendons de voir les actes...
Dans une discussion, le difficile, ce n'est pas de défendre son opinion, c'est de la connaître.
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Jean
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Re: François Hollande entend s'attaquer à un État "trop lourd, trop lent, trop cher"

Message non lu par Jean » 10 janv. 2014, 19:00:34

PatJol » 09 Jan 2014, 20:21:43 a écrit :
Jean » Mer 8 Jan 2014 - 16:51 a écrit :Il se tire une balle dans le pied...????

Chouchou des fonctionnaires serait-il en train de couper la branche où il est assis ???

On marche encore... après deux ans, certains croient encore à ce qu'il dit. Il a encore de beaux jours devant lui...


Concrètement il a bien supprimé le jour de carence des fonctionnaire (supprimant ainsi les 40% de réduction d'arrêts de travail courts) ainsi que la réforme de NS qui devait supprimer plus de deux mille élus locaux (fusion conseiller général et conseiller régional)

Donc pas de problème c'est une simple nouvelle galéjade.

J'ai été fonctionnaire, et franchement les fonctionnaires sont majoritairement favorables à une simplification et une optimisation des processus. Ce qui va dans le sens de l'amélioration du service public va dans le bon sens.



C'est vrai mais encore faut-il ne pas avoir à recruter de nouveaux fonctionnaires pour mettre en œuvre les processus optimisés.

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Jean
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Re: François Hollande entend s'attaquer à un État "trop lourd, trop lent, trop cher"

Message non lu par Jean » 10 janv. 2014, 19:03:13

Par cette phrase je trouve notre PdR très "louisquatorzien"... J'y lis "L’état c'est moi"

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Lucas
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Re: François Hollande entend s'attaquer à un État "trop lourd, trop lent, trop cher"

Message non lu par Lucas » 11 janv. 2014, 10:13:46

François Hollande est quand même dans la posture, oui l'Etat est trop lourd, trop lent, trop cher, mais que va t-il faire pour réduire cette lourdeur ? Et bien pas grand chose, deux - trois économies à droite et à gauche, mais pas plus.

C'est bien les discours, mais les actes c'est mieux.

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Nombrilist
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Re: François Hollande entend s'attaquer à un État "trop lourd, trop lent, trop cher"

Message non lu par Nombrilist » 11 janv. 2014, 16:27:26

En, quand il parle d'un état trop lourd, trop lent, trop cher, est-ce qu'il ne parle pas tout simplement de lui ?
Qu'il dégage.

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pierre30
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Re: François Hollande entend s'attaquer à un État "trop lourd, trop lent, trop cher"

Message non lu par pierre30 » 02 févr. 2015, 07:46:41

"Un état présent sans être pesant" + la confiance dans la sincérité et l'action des élus : Ce serait l'équilibre idéal.

Il est certain qu'on en est loin ! l'état s'occupe de tout ce qui ne le regarde pas, et quand ce n'est pas l'état, c'est l'UE qui prend le relais. Quand à la confiance dans la sincérité des élus, l'autre jour P. Devedjian sur LCP nous a donné l'exemple du discours politicien qui fait fuir les citoyens dès qu’apparaît une urne à l'horizon. C'était un tissus de banalités et de discours convenus. Pitoyable et scandaleux de platitude !

http://www.challenges.fr/economie/20150 ... ureux.html
Des revenus, un travail, de la confiance, de la solidarité… A quoi reconnaît-on un pays heureux ? La question est à la mode chez les économistes. Petit tour du monde des nations où s’exprime un fort sentiment de bien-être.

En tournée dans les capitales européennes, Manuel Valls a fait étape, le 28 novembre, à Copenhague. A-t-il profité de son entretien avec sa collègue Helle Thorning-Schmidt pour lui demander la recette du bonheur danois ? Car depuis un premier sondage de l’Union européenne en 1973, le Danemark se distingue comme le pays le plus heureux du monde. Peu importent les critères retenus, il caracole sur le podium de la félicité. Un contraste saisissant avec la France qui, invariablement, figure dans les tréfonds des classements, championne du pessimisme. Le Premier ministre français le reconnaît : "Les pays nordiques, avec leur modèle associant protection sociale forte et libéralisme économique, sont des sources d’inspiration."

Parmi les autres ingrédients de l’extase danoise, citons pêle-mêle : une école qui sélectionne moins qu’elle n’encourage ; un Etat sans corruption qui veille sur des citoyens sans incivilités ; une pratique du consensus en politique et du dialogue social en entreprise ; une société progressiste et une cohésion sociale exceptionnelle…

Quelle définition ?

Tout serait donc parfait au royaume du Danemark ? Evidemment non. Là comme ailleurs, la crise a écorné le modèle : la réforme des retraites a repoussé l’âge du départ à 67 ans ; les restrictions financières pèsent sur le système de santé, au point que le Danemark a la plus courte espérance de vie d’Europe de l’Ouest ; la vie chère porte l’endettement des ménages à des sommets. Et si, contrairement à une rumeur tenace, les Danois se suicident moins que les Français, en revanche, ils consomment encore plus d’antidépresseurs !

Pourtant, pas un Danois ne se plaint. "C’est culturel, explique le sociologue danois Peter Gundelach. Nous sommes un peuple pragmatique, simple, sans rêves de grandeur. Si nous sommes moins désabusés qu’ailleurs, c’est que nos attentes sont plus modestes." Il suffit de déambuler dans les rues de Copenhague fin novembre pour s’en convaincre : dans la grisaille sombre, sous le crachin glacial, les locaux circulent à vélo avec le sourire, et les terrasses des bars sont bondées de gens emmitouflés dans des plaids passant un bon moment à la lueur des bougies !

Insaisissable bonheur. Cela a-t-il un sens de vouloir le quantifier quand, à l’évidence, d’une personne, d’une culture à l’autre, sa définition peut être si différente ? Pourtant, l’étude du bonheur est à la mode chez les économistes, pour faire pièce à la phrase de Robert Kennedy en 1968 : "Le PIB mesure tout sauf ce qui fait que la vie vaut d’être vécue." Dès 1972, le roi du Bhoutan inventait un indicateur alternatif, le bonheur national brut, qui, au développement économique, ajoutait la sauvegarde de la culture nationale et de l’environnement, et la qualité de la gouvernance. Et puis, quarante ans plus tard, les dirigeants de ce petit Etat himalayen ont abandonné cet indice, "dont l’utilisation abusive a détourné l’attention des problèmes économiques réels". Comme le rappelle Woody Allen, "l’argent, c’est mieux que la pauvreté, ne serait-ce que pour des raisons financières".

Le PIB ne suffit plus

Mais l’idée que l’argent ne fait pas (tout) le bonheur a été validée par les travaux de l’économiste américain Richard Easterlin : il a montré qu’entre 1947 et 2002 le revenu moyen des Américains a quadruplé sans que leur bonheur ressenti augmente. Le PIB, s’il est capable de répondre à la question de la pauvreté ou de la richesse des nations, ne permet pas d’en savoir plus sur le degré de bien-être des citoyens. Il faut donc d’autres outils de mesure pour mieux orienter les politiques publiques. Ainsi, le Nobel indien Amartya Sen a créé dès 1990 un indice de développement humain fondé sur quatre critères statistiques : le PIB par tête, l’espérance de vie, le niveau de formation et les inégalités. A cette aune, le Danemark ne ressort qu’à la 10e place, et la France à la 20e.

Mais cet indicateur, certes plus complet que le PIB, échoue toujours à capter "ce qu’éprouve le cœur d’un peuple", selon les mots du Nobel américain Daniel Kahneman, pape de l’économie "comportementale". D’où l’essor de sa méthode, basée sur de vastes enquêtes, avec pour interrogation phare "quel est votre niveau de bonheur dans la vie, sur une échelle de 1 à 10 ?", complétée par une longue liste de questions pour cerner les facteurs de bonheur, objectifs (situation familiale, diplôme, emploi, revenus, logement, santé…) et subjectifs (confiance dans les gens, les élites, l’avenir, perceptions de sa sécurité, de sa liberté de choix…).

Depuis une décennie, ces enquêtes géantes se sont multipliées. Parmi les plus renommées, portant sur plus de 100 pays, celles des universités de Leicester, de Rotterdam et du Michigan, ainsi que celle menée par l’institut de sondage Gallup sur qui s’appuient le "World Happiness Report" de l’ONU et le Global Well-Being Index élaboré avec la société de consulting Healthways.

L’indice le plus ambitieux

En France, le sujet a été mis à l’ordre du jour en 2009, quand Nicolas Sarkozy a demandé à Amartya Sen et un autre Nobel, Joseph Stiglitz, de plancher sur "la mesure des performances économiques et du progrès social". Depuis, l’Insee et Eurostat ont développé les enquêtes sur la qualité de vie. Et l’OCDE publie depuis 2011 son Better Life Index, l’indice le plus ambitieux de tous, avec une trentaine de critères (et davantage à venir), mélangeant aux données déclaratives une batterie de statistiques, de la participation électorale à la qualité de l’eau.

Le résultat ? Il pourrait se résumer par ce bon mot de l’écrivain Jules Renard : "Si l’on bâtissait la maison du bonheur, la plus grande pièce serait la salle d’attente !" Mais derrière ce constat mondial se dessinent des contrastes nationaux… ramenant le projecteur sur la béatitude obstinée du Danemark. Tiendrait-elle à ce subtil dosage d’un Etat providence qui sait aider sans assister ? Un exemple : la flexisécurité. Grâce à cette politique du marché du travail, qui allie des procédures de licenciement faciles que compense une assurance-chômage généreuse assortie d’un accompagnement strict des chômeurs, le chômage plafonne à 5%… contre plus du double en France. Or le chômage est un motif reconnu de mal-être. "A revenus égaux, un chômeur est plus malheureux qu’un travailleur, car son estime de soi et son statut social sont dégradés, relève Claudia Senik, chercheuse en économie du bonheur. Et un niveau de chômage élevé est anxiogène pour toute la société."

Les vertus de la flexisécurité

La flexisécurité est le symbole de l’efficacité de ce modèle social dont le Danemark est si fier. Ses contribuables ont beau subir une imposition record – l’impôt sur le revenu dépasse 48% de moyenne, la TVA frappe à 25% –, nul ras-le-bol fiscal. "Ils trouvent normal de payer, car ils ont confiance dans la manière dont les fonds sont utilisés, analyse Xavier Landes, chercheur français au très sérieux think tank Happiness Research Institute de Copenhague. L’Etat assure son rôle redistributif pour tous : le Danemark est l’une des sociétés les plus égalitaires du monde, ce qui supprime frustrations et angoisses."

Les autres pays scandinaves, la Suisse, l’Autriche, les Pays-Bas, appliquant une recette proche, font aussi bonne figure dans les classements du bonheur. Se distinguent également des pays anglo-saxons, plus foncièrement optimistes, et les terres d’immigration du Nouveau Monde, comme le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande, qui semblent tenir la promesse d’une vie meilleure. Les pays d’Europe de l’Est, dont la structure sociale a été bouleversée par la levée du rideau de fer, sont plus malheureux que les autres ; de même les pays nostalgiques d’une grandeur passée, comme l’Italie et la France. L’Asie est quasi absente de la carte du bonheur mondial.

Le paradoxe latino-américain

En revanche, il y a un paradoxe latino-américain : le Panama, la Colombie, le Costa-Rica, voire le Mexique et le Brésil, se propulsent en haut des classements, malgré des conditions de vie difficiles. Revoilà la singularité culturelle : "Dans ces pays, les liens de famille, avec les amis, la communauté, sont puissants, note Richard Layard, économiste britannique, auteur du Prix du bonheur (2007). Cette solidarité est un facteur de bonheur bien plus pérenne que l’augmentation de richesse, dont le plaisir s’éteint avec l’accoutumance."

Le bonheur garde donc sa part de mystère irréductible, insensible aux conditions, aux circonstances… et aux politiques publiques. Mais il semble mieux s’épanouir quand l’Etat est présent sans être pesant. Un objectif qui convient parfaitement à la politique de réformes de Manuel Valls. Helle Thorning-Schmidt lui aurait-elle livré, en novembre dernier, les clés de la félicité ?

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Re: François Hollande entend s'attaquer à un État "trop lourd, trop lent, trop cher"

Message non lu par Nombrilist » 02 févr. 2015, 08:09:45

Ah, les joies de mourir avant même de pouvoir partir en retraite ! Un vrai bonheur ! Le secret de l'équilibre financier ?

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johanono
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Re: François Hollande entend s'attaquer à un État "trop lourd, trop lent, trop cher"

Message non lu par johanono » 02 févr. 2015, 08:12:11

Oui, mais là, on ne parle pas des retraites, mais de la réforme de l’État, Arlésienne de la vie politique française.

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pierre30
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Re: François Hollande entend s'attaquer à un État "trop lourd, trop lent, trop cher"

Message non lu par pierre30 » 02 févr. 2015, 09:28:37

Pour que les politiciens soient sincères il faut commncer par ne pas leur demander des miracles qu'ils ne peuvent pas faire. Le secret, c'est d'être responsable de sa propre vie et de ne pas demander à l'état de la prendre en charge à notre place.

A partir de là on peut juger ceux qui font mieux que les autres, plutôt que ceux qui promettent plus que les autres.


Il faut aussi éviter le clientélisme en s'attachant à l'égalité des droits et des statuts, plutôt que d'avoir en tête l'idée de profiter du système. Et ça c'est pas gagné en France.

Bref, des citoyens dotés d'une éthique.

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