Je n'ai rien contre la mobilité des travailleurs à condition qu'elle ne soit pas trop au détriment de certain pays et au bénéfice essentiel d'un seul, ou alors il faudra une forte péréquation européenne permettant à l'Espagne (ou aux autres) de récupérer une partie importante des ressources qu'elle a dépensée pour la formation.albert a écrit : Etre pour l'Euro et contre la mobilité des travailleurs à l'intérieur de la zone euro, ce n'est pas cohérent, c'est tout ce que je dis.
Déficit : le sursis sous conditions de Bruxelles
Re: Déficit : le sursis sous conditions de Bruxelles
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Re: Déficit : le sursis sous conditions de Bruxelles
Exactement. C'est trop facile de ne pas débourser un kopec et ensuite venir faire la leçon aux autres.
Re: Déficit : le sursis sous conditions de Bruxelles
Oui bon on s'est fait piégé avec l’Europe et l'euro la plus belle escroquerie sur les peuples d’Europe régit par Bruxelles et un gros flamand qui refuse toute protection de nos industries ,facile de critiquer Hollande mais comme Sarko il est un pantin de Bruxelles qui dicte sa loi .On s'est déjà fait plumer le jour ou la royauté a décider de transformer nos louis d'or en papier et l’Europe et la deuxième donc la plus belle escroquerie des peuples .Et c'est vrai qui sont tous ses technocrates de Bruxelles 300 économistes derrière leurs ordinateurs qui scrutent les dépenses publics à chaque minute à elle est belle la France qui se plie devant un flamand roi du business
Re: Déficit : le sursis sous conditions de Bruxelles
Vous vous focalisez sur les dépenses de formation, mais le problème est plus global.Papibilou a écrit :Je n'ai rien contre la mobilité des travailleurs à condition qu'elle ne soit pas trop au détriment de certain pays et au bénéfice essentiel d'un seul, ou alors il faudra une forte péréquation européenne permettant à l'Espagne (ou aux autres) de récupérer une partie importante des ressources qu'elle a dépensée pour la formation.albert a écrit : Etre pour l'Euro et contre la mobilité des travailleurs à l'intérieur de la zone euro, ce n'est pas cohérent, c'est tout ce que je dis.
L’Euro est une monnaie fédérale qui réclame une politique fédérale.
Dans une Europe fédérale, il y a un budget fédéral, alimenté par des impôts fédéraux. Et c’est ce qui n’existe pas avec l’UE dont le budget n’est que de 1 % de PIB et qui dépend des Etats.
Donc, oui, il faudrait une péréquation importante, mais pas pour payer les études des Grecs et des Espagnols qui vont en Allemagne (d’autant qu’ils n’y resteront peut-être pas…)
Seulement nous savons très bien que ça ne se fera pas, c’est pourquoi la question de l’existence de l’Euro se pose.
« le capitalisme est cette croyance stupéfiante que les pires des hommes feront les pires choses pour le plus grand bien de tout le monde » (Keynes)
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Re: Déficit : le sursis sous conditions de Bruxelles
En définitive, oui, il va falloir sortir de l'euro.
Re: Déficit : le sursis sous conditions de Bruxelles
En espérant que ce n'est pas trop tard .Nombrilist a écrit :En définitive, oui, il va falloir sortir de l'euro.
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Re: Déficit : le sursis sous conditions de Bruxelles
Bonjour,
Qu'en pensez vous ?La visite était historique : c'était la première depuis 1997 d'un président français devant la Commission européenne réunie au grand complet. Mais la venue de François Hollande à Bruxelles, mercredi 15 mai, a coïncidé avec la publication des mauvais chiffres économiques de l'Insee. La croissance de l'économie s'est contractée de 0,2 % au premier trimestre 2013, après une baisse de 0,2 % au quatrième trimestre 2012, une succession de deux chiffres négatifs qui signifie que le pays a démarré l'année en récession.
Reconnaissant, avant son déplacement, que "la situation économique est grave", François Hollande s'est engagé, face à José Manuel Barroso, à poursuivre les réformes en faveur de la compétitivité, comme le lui demande la Commission européenne – dont il a salué le "pragmatisme" en échange d'un délai de deux ans pour ramener le déficit public en dessous de 3 %. "En France, nous avons engagé des réformes de compétitivité et nous allons continuer, non parce que l'Europe nous le demanderait mais parce que c'est l'intérêt de la France", a déclaré le président de la République.
"Le problème de l'Europe, ce sont les écarts de compétitivité. Ce sont les déficits de compétitivité qu'il faut rattraper, a assuré le chef de l'Etat. Ma responsabilité [...] est de prendre les décisions pour la croissance et la compétitivité." Se voulant optimiste, François Hollande a assuré que "nous avons passé le moment le plus difficile".
(...)
L'intégralité de cet article à lire sur Le Monde.fr
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Re: Déficit : le sursis sous conditions de Bruxelles
Vraiment c'était quand mieux avant en France ou le Président etait vraiment le chef incontesté des Français ,aujourd'hui nous avons un larbin devant l'épée de Damoclès (La commission Européenne,le Graal Bruxelles).
Pauvre France.... et c..de français...
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Re: Déficit : le sursis sous conditions de Bruxelles
Ca fait froid dans le dos quand même.François Hollande s'est engagé, face à José Manuel Barroso, à poursuivre les réformes en faveur de la compétitivité, comme le lui demande la Commission européenne – dont il a salué le "pragmatisme" en échange d'un délai de deux ans pour ramener le déficit public en dessous de 3 %.
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI.
Re: Déficit : le sursis sous conditions de Bruxelles
Hollande était donc comme un petit élève venu réciter la leçon devant son maître. En effet, c'était mieux quand le Président de la République était le chef incontesté des Français. Aujourd'hui, il n'est plus guère qu'un simple gouverneur. Mais le problème, c'est que les Français eux-mêmes ont accepté ce transfert de compétence...
Re: Déficit : le sursis sous conditions de Bruxelles
Hollande n'est pas un petit élève,il est simplement conscient de ce qu'à fait Merkel pour la zone euro,elle a mis 500 milliards sur la table et fait déjà beaucoup pour qu'on tienne,bien entendu ils profitent d'une certaine situation,sauf que les allemands en on chié sous les réformes de Shoëdrer,même si il n'est pas certain que leur bonne situation dépendante de ces fameuses réformes,dommage qu'on manque d'avis réellement avisé en dehors de toute idéologie de droite comme de gauche.
Re: Déficit : le sursis sous conditions de Bruxelles
On ne peut pas dire cela. Les Français ont voté "non" en 2005 au traité constitutionnel, et Hollande avait promis lors de la campagne qu'il renégocierait le pacte budgétaire et réorienterait l'UE vers la croissance. Certes, je n'y ai personnellement jamais cru, mais je pense que beaucoup d'électeurs ont été dupes.johanono a écrit :Hollande était donc comme un petit élève venu réciter la leçon devant son maître. En effet, c'était mieux quand le Président de la République était le chef incontesté des Français. Aujourd'hui, il n'est plus guère qu'un simple gouverneur. Mais le problème, c'est que les Français eux-mêmes ont accepté ce transfert de compétence...
Par ailleurs, une étude du Pew Research Center montre que c'est chez les Français que l'euroscepticisme a le plus progressé.
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Re: Déficit : le sursis sous conditions de Bruxelles
"il est simplement conscient de ce qu'à fait Merkel pour la zone euro,elle a mis 500 milliards sur la table"
Tu aurais une source pour cette info ?
Tu aurais une source pour cette info ?
Re: Déficit : le sursis sous conditions de Bruxelles
Merkel a mis 500 milliards de sa propre poche parce qu'elle aime beaucoup les Grecs et l'Europe icon_biggrin
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI.
Re: Déficit : le sursis sous conditions de Bruxelles
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