Les recettes de Gérard Larcher pour sauver la droite

[Jeff Van Planet]

absolument pas, puis qu'il n'y a rien de binaire dans mon propos, c'est donc une simple tentative de discréditer le porteur du message. Tentative aussi ridicule que gratuite. Comme d'hab.

[politicien]

On se calme messieurs, le sujet ne prête pas à autant d'invective.

Merci,

[Jeff Van Planet]

Revenons à G. Larcher car c'est lui le sujet:

G Larcher veut une union de la droite et du centre. Union qui rend les électeurs modérés orphelins car le programme est dicté par la droite et non pas par le centre. Alors pourquoi ce monsieur veut-il que le centre soit associé à la droite? La réponse est toute simple: il cherche à se placer lui même et oit surtout sa carrière. Que les électeurs soient "cocus" il n'en a que faire, temps que lui est élu par un jeu d'alliances et qu'il a la soussoupe à sa table.

ça me donne envie de cracher par terre en disant des gros mots. Bien sûr j'exagère en disant ça

[Spartiate]

Le paysage politique ne peut pas se limiter à des candidats d'extrême-centre de toute manière. LR voit bien que l'UDI, qui n'a jamais d'ailleurs existé par elle-même, a changé de suzerain (même si elle l'a fait pour des raisons électorales plus que par idéologie). Donc, LR n'a plus qu'à devenir le "Parti conservateur" officiel de France à l'instar du PP espagnol.

De toute façon, ne pas être centriste ne l'empêchera pas de gagner. Sarkozy en son temps n'a pas gagné sur un programme centriste.

[Jeff Van Planet]

tout à fait et je rajouterait que c'est bien fait pour leurs tronches pour parler poliment.

Sarkozy a surtout gagné parce qu'on entendait parlé que de lui pendant 5 ans.

[wesker]

Il y en a encore qui fonctionne avec le vieux logiciel de la gauche et la droite qui seraient dans une opposition dont nous savons, aujourd'hui qu'avec les compromis nécessaires à trouver au niveau européen, est largement artificielle.

En revanche, qu'il y ait des propositions pour les membres d'une formation, sur les orientations, la réforme interne à mener est à mon sens partie intégrante du débat démocratique aux partis politiques. Mais oui la droite a abandonné les valeur travail, justice, efforts, méritocratie républicaine, au profit de thèses conservatrices, identitaires, néolibérales avec les conséquences électorales que l'on connaît. Certains, au sein de cette formation souhaite poursuivre en ce sens et d'autres ont perçu la nécessité de se repositionné. Mais il est vrai que la majorité actuelle, sur les questions économiques, fiscales, etc...occupe et parvient à convaincre une partie importante de l'électorat de droite.