Cohérent. On est d'accord.Jeff Van Planet a écrit : ↑05 août 2018, 11:13:28
Bien sûr que dans cette affaire la culpabilité est plutôt évidente, même plus que pour les pilotes "d'air cocaïne", c'est dire! Mais dans ce genre de cas (ou de votre exemple du vol) le responsable du personnel mets dans la balance d'un coté les services rendus (passé présent et future) et de l'autre coté les inconvénients que pourraient causer de le garder.
Dans le cas Benalla les inconvénients étaient inférieurs jusqu'à l'emballement médiatique qui ont changé la balance de coté et ont pousser ce personnage à la porte.
en ce qui concerne la dernière phrase: j'ai toujours pensé que les gens de pouvoir sont des gens comme les autres, avec les mêmes défaut et qualités que les autres, et de part leurs nature humaines on ne peut pas s'attendre à des réactions surhumaines de leurs parts.
Vous montrez par là qu'il y a pu y avoir de la part du dircab de l'Elysée une réaction humaine du genre: ce type nous a rendu service, je le sanctionne mais on le garde.
Ce qui m'étonne est que certains ont réussi à en faire une toute autre histoire: les opposants (je dirais que c'est de bonne guerre même s'il n'y a pas de "bonne guerre") et les journalistes et c'est le point le plus grave puisque des journalistes sérieux ont agi comme le feraient des paparazzis de France Dimanche ou ici Paris.
Et à ce sujet je reprendrai l'expression d'un journaliste: la profusion des chaînes d'information a tout changé: il faut nourrir la bête.