Mais qui vous dit que ces tags et banderoles sont ceux des Black Blocs ?
1er-Mai : qui sera dans la rue ?
Re: 1er-Mai : qui sera dans la rue ?
« le capitalisme est cette croyance stupéfiante que les pires des hommes feront les pires choses pour le plus grand bien de tout le monde » (Keynes)
Re: 1er-Mai : qui sera dans la rue ?
Ils étaient là, les Black Blocs, oui ou non ? Serais-tu le seul à ne pas les avoir vus ?
- wesker
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Re: 1er-Mai : qui sera dans la rue ?
Les auteurs de ces violences, ces ces dégradations nuisent à la crédibilité de notre pays et discrédite, aussi une manifestation qui essaye, aussi, d'exprimer des motivations légitimes d'oppositions à une politique libérale démocrates, si exigeante pour beaucoup, pour des résultats qui tardent à se démontrer et qui se montre si généreuse envers quelques uns qui,curieusement gravitent socialement ou professionnellement dans les milieux dont sont issus les responsables de la majorité
- Jeff Van Planet
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Re: 1er-Mai : qui sera dans la rue ?
il faut rappeller que c'est la Stasi qui a donné le nom de black blocks à ces groupes d'EG, ça à peine 29 ans que la stasi n'existe plus, il faut donner le temps à cette info d'atteindre les gens, un peu de patience @johanonojohanono a écrit : ↑05 mai 2018, 12:06:00Les slogans, tags, banderoles, que l'on a pu voir, sont suffisamment édifiants. Donc oui, ces violences sont signées de l'extrême-gauche. Et personne n'a jamais dit que ces vandales étaient encartés à LFI : l'extrême-gauche ne se réduit pas à LFI.
On remarquera encore que le gouvernement est mis en difficulté par ces violences, car il se voit reprocher l'incurie de la police. Ce n'est pas forcément l'intérêt du gouvernement de laisser faire.
Le grand problème de notre système démocratique c'est qu'il permet de faire démocratiquement des choses non démocratiques.
J.Saramago
J.Saramago
Re: 1er-Mai : qui sera dans la rue ?
Ingénieur, fils de chercheur, directrice de production : les profils inattendus des prévenus du 1er-Mai
SOCIÉTÉ - Les six premiers prévenus à passer devant la justice jeudi pour les violences lors du défilé syndical du 1er-Mai à Paris ont des profils loin des clichés supposés des militants...
DANS LA SALLE D'AUDIENCE
De l’étudiant en anthropologie à l’ingénieur : les premières personnes à avoir comparu jeudi pour les violences du 1er-Mai à Paris ont des profils pour le moins étonnants et disparates. Les six prévenus étaient présentés au tribunal de Paris pour "participation à un groupement formé en vue de commettre des violences ou des dégradations". Leur procès a été reporté pour la plupart au 30 mai, tous ayant demandé du temps pour préparer leur défense.
4.000 euros de salaire mensuel. Dans le box des accusés, le plus âgé a 29 ans. T-shirt blanc et barbe de trois jours, cet homme est un ancien élève de l’École d’ingénieur centrale de Lille. Il travaille aujourd’hui comme consultant en opération industrielle, avec un salaire de 4.200 euros par mois. Le prévenu, au casier judiciaire vierge, a affirmé se trouver dans le cortège parisien pour prendre des photos. Il a été laissé libre dans l’attente du procès.
Directrice et intermittent. À ses côtés, une femme de 26 ans et un homme de 24 ans, aux casiers judiciaires également vides. Ils ont reconnu tous deux avoir donné de fausses identités pendant leur garde à vue "sous le coup de la panique". Fille de directeur financier, la jeune femme est titulaire d’un master en droit international et exerce aujourd’hui comme directrice de production dans le cinéma. Elle doit être jugée en juin à Bordeaux pour une autre affaire, accusée de s’être interposée lors d’interpellations. L’homme est quant à lui titulaire d’une licence de sociologie et fils de chercheur au CNRS. Alors qu’il vit du RSA, il revendique "un mode de vie alternatif" et se dit intermittent du spectacle. Tous deux ont été maintenus en détention provisoire, en raison de leurs mensonges sur leur identité.
Étudiant en anthropologie ou en menuiserie. Le plus jeune des prévenus, âgé de 22 ans, placé sous contrôle judiciaire, est pour sa part étudiant en première année d’anthropologie à l’université du Mirail à Toulouse, et a un casier judiciaire vierge. Parmi les autres personnes ayant comparu jeudi, et laissées libre sous contrôle judiciaire : un jeune au RSA de 26 ans qui doit entreprendre une formation en menuiserie et un autre homme de 24 ans souffrant d’importants troubles psychologiques.
Ces toutes premières comparutions immédiates pour les violences du défilé syndical du 1er-Mai doivent être suivies d’une douzaine d’autres vendredi et sept suspects sont également présentés à un juge en vue d’une éventuelle mise en examen. Au total, 34 personnes étaient encore entre les mains de la justice vendredi matin sur les 102 personnes placées en garde à vue mardi à l’issue d’une journée marquée par les violences d’un millier de "black blocs".
Par M.Be avec Pauline Jacot et AFP
Article complet sur http://www.europe1.fr/societe/ingenieur ... ai-3643523
Re: 1er-Mai : qui sera dans la rue ?
Un arbre qui cache la forêt ?
- wesker
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Re: 1er-Mai : qui sera dans la rue ?
Effectivement,si les classes moyennes s'unissaient aux plus modestes, et faisaient prévaloir leurs intérêts communs, au lieu de s'égarer dans l'illusion néo libérale d'un enrichissement illimitée et un consumérisme devant apporter le bonheur aux individus, les gouvernants n'auraient d'autres choix, en démocratie que d'accepter de modifier la trajectoire de réformes qui visent, uniquement à se mettre au niveau des standards libéraux démocrates pratiqués dans les pays européens. Peut être, d'ailleurs, pourraient ils exiger un bilan de ces politiques, pas toujours en Allemagne, pour des raisons si particulières....Ces politiques ne sont pas,partout des succés, d'une part et d'autres parts des citoyens peuvent, à juste titre imaginés concevoir une société quine se réduise pas à l'addition d'intérêts catégoriels, individuels etc...
Les services publics, par exemple appartiennent à l'ensemble des citoyens, quand les faveurs fiscales, pourtant coûteuses sur le plan budgétaires ne correspondent qu'à quelques uns, les classes moyennes peuvent, légitiment, y être attachés bien qu'ils bénéficient,aussi à des citoyens plus modestes, mais c'est la fierté et ce qui permets,à la France de se distinguer.
Les plus riches qui ont réussi, en parti, aussi, grâce aux efforts de la France n'ont pas à se soustraire à leurs responsabilités au prétexte qu'ils auraient oubliés, aussi ce que la France a fait pour eux en terme d'investissements, d'efforts pour la qualité de structures, la stabilité et la lisibilité que bien d'autres pays, moins stables ne peuvent garantir....même si des idéologues prétendront qu'ils ne doivent rien à la France ou que le consumérisme est l'avenir de l'humanité, le seul horizon possible pour permettre de progresser.
Les services publics, par exemple appartiennent à l'ensemble des citoyens, quand les faveurs fiscales, pourtant coûteuses sur le plan budgétaires ne correspondent qu'à quelques uns, les classes moyennes peuvent, légitiment, y être attachés bien qu'ils bénéficient,aussi à des citoyens plus modestes, mais c'est la fierté et ce qui permets,à la France de se distinguer.
Les plus riches qui ont réussi, en parti, aussi, grâce aux efforts de la France n'ont pas à se soustraire à leurs responsabilités au prétexte qu'ils auraient oubliés, aussi ce que la France a fait pour eux en terme d'investissements, d'efforts pour la qualité de structures, la stabilité et la lisibilité que bien d'autres pays, moins stables ne peuvent garantir....même si des idéologues prétendront qu'ils ne doivent rien à la France ou que le consumérisme est l'avenir de l'humanité, le seul horizon possible pour permettre de progresser.
- Jeff Van Planet
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Re: 1er-Mai : qui sera dans la rue ?
Je me demande en quoi ça peut être important la caste sociale de ces gens...
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J.Saramago
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