Tu parlais des régimes qui dans l'histoire se sont qualifiés de "communistes".
Ben oui désolé de t'apprendre qu'en URSS par exemple ce n'était pas le "peuple" qui exerçait le pouvoir.
Oui j'avais bien compris. Et je te répondais que si c'était ce facteur qui prévalait il ne toucherait pas le secteur public.je dis qu'ils sous sous représentés car ils n'ont pas la possibilité de perdre leur emploi et de le retrouver ensuite.
Dans lequel même un employé peut retrouver son emploi. Or on voit bien que cette sous-représentativité des "CSP-" est générale, secteurs public et privé confondus.
Oui et non. Évidemment il faut quand même avoir un certain niveau de culture, de réflexion et de communication pour être élu.Cela dit, je pense quand même qu'il faut un bon niveau d'instruction, une excellente compréhension des textes et des lois, sans doute aussi des qualités humaines, pour représenter ses concitoyens et parler en leur nom. C'est bien ça le rôle d'un député ?
Et quand il s'agit de piloter des commissions, des missions, etc. ceux qui ont un domaine d'expertise seront en première ligne.
Raison d'ailleurs pour laquelle les syndicats et les partis sont sensés avoir des "écoles de formation".
Mais encore une fois la première mission du député est politique, pas technique. Un député notaire doit pouvoir se prononcer
sur le nucléaire en France. Et un ingénieur nucléaire sur une réforme juridique. En sachant dégager les choix politiques derrière
les aspects techniques. L'essence du politique, c'est l'arbitrage entre différents choix de société, principes moraux, priorités économiques ou sociales...