C'est beaucoup trop mou. Je préconise:Pour tous les prétendants à la fonction présidentielle, les centrales syndicales sont aujourd'hui beaucoup trop politisées et sont devenues, au fil du temps, «des bloqueurs de réforme». À commencer par la CGT et FO qui ont multiplié au printemps les appels à la grève et à la mobilisation contre une loi El Khomri qui avait pourtant énormément perdu de son ambition depuis sa présentation initiale en février.
- la dissolution des syndicats qui se réfèrent à La Charte d'Amiens ( soit CGT, FO et SUD). Il faut en finir avec ces hommes et ces idées préhistoriques.
- la délégation unique de 50 à 500 salariés
- l'obligation aux salariés de se syndiquer
- la libéralisation totale de la création de nouveaux syndicats (foin de la la notion de représentativité tout à fait arbitraire)
- le référendum systématique dans l'entreprise
- la fin du système des expertises qui ne sert qu'à ralentir les décisions et à financer les syndicats
- la mise sous tutelle des CE des grands groupes aux budgets toujours obscurs
- la nationalisation de l'UNEDIC effectivement.