Ségolène a attrapé la fièvre acheteuse!

Venez discuter de l'actualité politique.
Répondre
Avatar du membre
Magicfly
Messages : 1599
Enregistré le : 29 juil. 2009, 00:00:00
Localisation : Sud Ouest

Message non lu par Magicfly » 02 avr. 2010, 08:09:00

Après la levée de boucliers des associations d'éducation populaire, la présidente de Désirs d'avenir a décidé de revenir sur sa demande jeudi.
Image
S'il vous prenait l'envie de créer une marque et de l'appeler «fête de la fraternité» ou «ordre juste», c'est trop tard. Ségolène Royal a déposé le 15 janvier dernier ces appellations auprès de l'Institut national de la Propriété industrielle (INPI) pour le compte de son association Désirs d'avenir. L'ex-candidate à la présidentielle s'était également réservée le mot «université populaire» et certaines de ses déclinaisons, avant de finalement se rétracter ce jeudi.
Pourquoi ? Parce que la nouvelle a provoqué un tollé dans la mouvance d'éducation populaire, qui œuvre à diffusion de la connaissance en parallèle de l'enseignement à l'école.
Le secrétaire de l'université populaire des Hauts-de-Seine, Patrice Leclerc, a ainsi interpellé Ségolène Royal dans une lettre ouverte. «De quel droit pouvez-vous «acheter» le label Université populaire ? Appellation qui appartient au patrimoine français de l'éducation populaire», s'est-il ému. Contacté par lefigaro.fr, Patrice Leclerc rappelle que «c'est un mouvement plus que centenaire».
Onfray a cru à un «poisson d'avril»
Michel Onfray, à l'origine de l'«université populaire» de Caen, créée en 2002, a quant à lui cru à un «poisson d'avril». Pour le philosophe, «l'idée que quelqu'un qui vise la présidentielle veuille mettre la main sur une expression qui ne lui appartient pas montre le mépris qu'elle a pour tous ceux qui font ces universités populaires».
Dans le camp de l'ex-candidate, on jure pourtant que la démarche était «motivée par l'éthique». Le secrétaire général de Désirs d'avenir, Kamel Chibli, explique dans un communiqué que cette initiative visait justement à empêcher «l'utilisation commerciale ou peu scrupuleuse de cette appellation».Ségolène Royal a aussi déposé le terme «Espoir à gauche», nom de son courant au moment du congrès de Reims dont Vincent Peillon lui conteste à présent la direction. Sans doute pour éviter une autre utilisation «peu scrupuleuse».


Il paraît qu'elle va acheter le mot "PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE FRANÇAISE" icon_mrgreen icon_mrgreen
Un vrai désir d'avenir pour elle! icon_mrgreen icon_mrgreen icon_mrgreen
JC

"Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi ni à personne..."
Chamfort

Libéral

Message non lu par Libéral » 02 avr. 2010, 11:28:00

Magicfly a écrit :Après la levée de boucliers des associations d'éducation populaire, la présidente de Désirs d'avenir a décidé de revenir sur sa demande jeudi. Image
S'il vous prenait l'envie de créer une marque et de l'appeler «fête de la fraternité» ou «ordre juste», c'est trop tard. Ségolène Royal a déposé le 15 janvier dernier ces appellations auprès de l'Institut national de la Propriété industrielle (INPI) pour le compte de son association Désirs d'avenir. L'ex-candidate à la présidentielle s'était également réservée le mot «université populaire» et certaines de ses déclinaisons, avant de finalement se rétracter ce jeudi.
Pourquoi ? Parce que la nouvelle a provoqué un tollé dans la mouvance d'éducation populaire, qui œuvre à diffusion de la connaissance en parallèle de l'enseignement à l'école.
Le secrétaire de l'université populaire des Hauts-de-Seine, Patrice Leclerc, a ainsi interpellé Ségolène Royal dans une lettre ouverte. «De quel droit pouvez-vous «acheter» le label Université populaire ? Appellation qui appartient au patrimoine français de l'éducation populaire», s'est-il ému. Contacté par lefigaro.fr, Patrice Leclerc rappelle que «c'est un mouvement plus que centenaire».
Onfray a cru à un «poisson d'avril»
Michel Onfray, à l'origine de l'«université populaire» de Caen, créée en 2002, a quant à lui cru à un «poisson d'avril». Pour le philosophe, «l'idée que quelqu'un qui vise la présidentielle veuille mettre la main sur une expression qui ne lui appartient pas montre le mépris qu'elle a pour tous ceux qui font ces universités populaires».
Dans le camp de l'ex-candidate, on jure pourtant que la démarche était «motivée par l'éthique». Le secrétaire général de Désirs d'avenir, Kamel Chibli, explique dans un communiqué que cette initiative visait justement à empêcher «l'utilisation commerciale ou peu scrupuleuse de cette appellation».Ségolène Royal a aussi déposé le terme «Espoir à gauche», nom de son courant au moment du congrès de Reims dont Vincent Peillon lui conteste à présent la direction. Sans doute pour éviter une autre utilisation «peu scrupuleuse».


Il paraît qu'elle va acheter le mot "PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE FRANÇAISE" icon_mrgreen icon_mrgreen
Un vrai désir d'avenir pour elle! icon_mrgreen icon_mrgreen icon_mrgreen
Arrêtez la folle ..

Avatar du membre
racaille
Messages : 8638
Enregistré le : 15 mars 2009, 00:00:00
Localisation : Lemuria

Message non lu par racaille » 02 avr. 2010, 18:00:00

Ouais là ça devient vraiment débile.
Ce qui distingue principalement l'ère nouvelle de l'ère ancienne, c'est que le fouet commence à se croire génial. K M

Libéral

Message non lu par Libéral » 03 avr. 2010, 10:02:00

La fièvre acheteuse, pour Miss Chabichou, c'est normal. icon_biggrin

Avatar du membre
wesker
Messages : 32008
Enregistré le : 18 mai 2009, 00:00:00
Localisation : Proche de celles et ceux qui vivent dans le pays réel

Message non lu par wesker » 05 avr. 2010, 13:44:00

Peut être craint elle de se faire piquer le peu d'idées qu'elle croit avoir par Sarkozy qui, lui n'en a aucune.

Répondre

Retourner vers « L'actualité politique »

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré