Le bleu dans l Islam
- Pascale
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Re: Le bleu dans l Islam
Autant je hais tout ce qui a autour de la religion, notamment ses représentants, autant Dieu je n arrive pas à concevoir qu Il n existe pas.
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- Une débauchée, luxurieuse, corrompue, déréglée, voluptueuse, immorale, libertine, dissolue, sensuelle, polissonne, baiseuse, dépravée, impudique, vicieuse...
Louis Calaferte
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Louis Calaferte
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Re: Le bleu dans l Islam
inexistence étant négation d'existence, par la définition de l'indécidable, si l'existence l'est, l'inexistence aussi.Son inexistence aussi.
Est indécidable tout ce qui ne peut être démontré ni dans son affirmation ni dans sa négation.
L'indécidabilité est propre aux langages cohérents (qui se basent sur le principe de non contradiction (non(A) ET A est faux)et d'identité (A <=>A). Dès que tu veux démontrer quelque chose, tu utilises ces langages et donc tu risques de tomber sur des choses indécidables.
'espère que les tradi-catho, alliés de Melle Le Pen, ne passeront pas aux Elections ! On risque d'avoir le même genre de problèmes.
Allez, un petit point godwin à tous les deux.Tu refuseras d'admettre que le réel danger, c'est l'islamisme.
http://zestedesavoir.com une association pour la beauté du zeste.
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Re: Le bleu dans l Islam
On devrait plutôt dire indémontrable.
Indécidable pour un novice comme moi ça veut dire qui ne peut pas se décider.
Donc l' existence de dieu est indécidable ET indémontrable. Mais ça veut pas dire la même chose pour moi. Et je suis très mécontent que le dictionnaire les mettent en synonyme.
Indécidable pour un novice comme moi ça veut dire qui ne peut pas se décider.
Donc l' existence de dieu est indécidable ET indémontrable. Mais ça veut pas dire la même chose pour moi. Et je suis très mécontent que le dictionnaire les mettent en synonyme.
- Pascale
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Re: Le bleu dans l Islam
Si un jour vous allez en Turquie, Arménie ou Jérusalem, je vous conseille vivement de visiter les usines de céramique.
De véritables chefs d oeuvre vous y attendent.
Mise à part celle de Kütahya, une autre manufacture de céramiques, beaucoup plus renommée, existait dans l’Empire ottoman, celle d’Iznik (ancienne Nicée). Toutes deux utilisaient la même sorte de pâte siliceuse à décor polychrome, à la glaçure admirablement transparente, essayant d’imiter la porcelaine chinoise importée à grand prix. Cependant ces céramiques ne sont ni des porcelaines ni des faïences. La seconde moitié du 16ème siècle fut l’heure de gloire des carreaux et poteries d’Iznik, grâce au mécénat des sultans ottomans, mais la production s’effondra à la fin du 17ème siècle, alors que Kütahya devenait le centre majeur, non seulement pour les coupes, tasses, soucoupes, bouteilles, pots, mais également pour les carreaux. Dans le premier quart du 18ème siècle, la production de cette ville explosa littéralement. Ainsi, 9.500 carreaux furent fabriqués en 1709 pour le palais stambouliote de Fatma, fille du sultan Ahmet III, et en 1718-1719 plus de 10 000 carreaux furent créés pour orner le Saint-Sépulcre et la cathédrale arménienne de Saint-Jacques à Jérusalem. C’est à cette époque que les potiers arméniens commencèrent à utiliser un jaune vif déjà en usage en Iran et en Italie. Ils représentèrent des personnages pittoresques.
David Ohannessian et ses deux assistants, Neshan Balian et Mekerditch Karakashian, introduisirent la céramique arménienne en Palestine en 1919. Originaires de Kutahya, en Turquie, ils ouvrirent un atelier dans le quartier musulman pour reconstituer les tuiles du Dôme du Rocher. Durant les années 1920, ils décorèrent les façades et les intérieurs de nombreux bâtiments publics avec leurs tuiles. Ils fondèrent un grand atelier et une usine sur la route de Naplouse, appelé « Poteries palestiniennes » et, au sommet de leur activité, ils employèrent jusqu’à 20 peintres. Cet atelier, qui fonctionna pendant plus de 75 ans, incita d’autres Arméniens à apprendre le métier. Il y a aujourd’hui à Jérusalem cinq grands ateliers de poteries.
De véritables chefs d oeuvre vous y attendent.
Mise à part celle de Kütahya, une autre manufacture de céramiques, beaucoup plus renommée, existait dans l’Empire ottoman, celle d’Iznik (ancienne Nicée). Toutes deux utilisaient la même sorte de pâte siliceuse à décor polychrome, à la glaçure admirablement transparente, essayant d’imiter la porcelaine chinoise importée à grand prix. Cependant ces céramiques ne sont ni des porcelaines ni des faïences. La seconde moitié du 16ème siècle fut l’heure de gloire des carreaux et poteries d’Iznik, grâce au mécénat des sultans ottomans, mais la production s’effondra à la fin du 17ème siècle, alors que Kütahya devenait le centre majeur, non seulement pour les coupes, tasses, soucoupes, bouteilles, pots, mais également pour les carreaux. Dans le premier quart du 18ème siècle, la production de cette ville explosa littéralement. Ainsi, 9.500 carreaux furent fabriqués en 1709 pour le palais stambouliote de Fatma, fille du sultan Ahmet III, et en 1718-1719 plus de 10 000 carreaux furent créés pour orner le Saint-Sépulcre et la cathédrale arménienne de Saint-Jacques à Jérusalem. C’est à cette époque que les potiers arméniens commencèrent à utiliser un jaune vif déjà en usage en Iran et en Italie. Ils représentèrent des personnages pittoresques.
David Ohannessian et ses deux assistants, Neshan Balian et Mekerditch Karakashian, introduisirent la céramique arménienne en Palestine en 1919. Originaires de Kutahya, en Turquie, ils ouvrirent un atelier dans le quartier musulman pour reconstituer les tuiles du Dôme du Rocher. Durant les années 1920, ils décorèrent les façades et les intérieurs de nombreux bâtiments publics avec leurs tuiles. Ils fondèrent un grand atelier et une usine sur la route de Naplouse, appelé « Poteries palestiniennes » et, au sommet de leur activité, ils employèrent jusqu’à 20 peintres. Cet atelier, qui fonctionna pendant plus de 75 ans, incita d’autres Arméniens à apprendre le métier. Il y a aujourd’hui à Jérusalem cinq grands ateliers de poteries.
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Re: Le bleu dans l Islam
En fait c'est justement le sens : on ne peut décider si oui ou non dieu existe car l'existence et l'inexistance sont indémontrables...Indécidable pour un novice comme moi ça veut dire qui ne peut pas se décider.
C'est pas une question de dictionnaire, c'est juste que la nuance de "indémontrable" ne prend pas en compte la négation alors que l'indécidabilité si.
Sinon, revenons au sujet de départ : l'art !
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