Qui a signé un contrat de travail et accepte une misère quand il pourrait gagner 10 fois plus (enfin, il le croit....) ?Georges » 18 Mai 2016, 14:39:42 a écrit :Qui paie les salariés du privé dont certains touchent une misère ?
Malheureusement pour le salarier, celui-ci n'a pas le choix, il faut bien qu'il prenne ce qu'il trouve.omega95 » Mer 18 Mai 2016 - 13:48 a écrit :Qui a signé un contrat de travail et accepte une misère quand il pourrait gagner 10 fois plus (enfin, il le croit....) ?Georges » 18 Mai 2016, 14:39:42 a écrit :Qui paie les salariés du privé dont certains touchent une misère ?
De mémoire, je ne me rappelle pas avoir vu un seul patron faire signer un contrat de travail avec un pistolet sur la tempe du salarié...
Tout comme le patron, il prend aussi ce qu'il trouve... et rarement ce qu'il veut vraiment, croyez moi !!Georges » 22 Mai 2016, 21:02:32 a écrit :Malheureusement pour le salarier, celui-ci n'a pas le choix, il faut bien qu'il prenne ce qu'il trouve.omega95 » Mer 18 Mai 2016 - 13:48 a écrit : Qui a signé un contrat de travail et accepte une misère quand il pourrait gagner 10 fois plus (enfin, il le croit....) ?
De mémoire, je ne me rappelle pas avoir vu un seul patron faire signer un contrat de travail avec un pistolet sur la tempe du salarié...
Le Fonds monétaire international a relevé à 1,5 % sa prévision de croissance pour 2016. Mais de nombreuses réformes restent à faire pour réduire le chômage et la dette publique.
François Hollande répète à l'envi que « la France va mieux ». Dans son rapport annuel consacré à l'économie française , publié ce mardi, le Fonds monétaire international vient confirmer le sentiment présidentiel par une amélioration sensible des perspectives de croissance. Alors qu'en avril dernier, l'institution multilatérale ne créditait l'Hexagone que d'une maigre hausse de 1,1 % de son produit intérieur brut (PIB) cette année avant 1,3 % l'an prochain, elle a relevé son pronostic à près de 1,5 % pour l'exercice en cours
La croissance atteindra en moyenne 1,75 % dans les cinq années qui suivraient « si l'économie ne subit aucun choc économique majeur, ce qui ne saurait être tenu pour acquis », précise toutefois le Fonds. L'opinion publique aurait tort de croire que la France est sortie d'affaire. Loin de là. « Il reste beaucoup à faire pour stimuler la création d'emplois et assainir les dépenses publiques », souligne l'Institution qui pointe le fait que le chômage reste « obstinément » à un niveau élevé et que le ratio dette/PIB s'approche des 100%.
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http://www.lesechos.fr/economie-france/ ... 000873.php
Ca fait 10 ans que l’on n’a pas connu une telle croissance. On estime aujourd’hui la croissance potentielle de la France à moins de 1 %. Il est assez extraordinaire de croire que l’on puisse faire sur une longue période 1.75 % en moyenne, il faudrait pour y parvenir que la France reconstitue les capacités de production qu’elle avait avant la crise de 2008. La croissance en France repose beaucoup sur la consommation, qui repose elle-même sur la baisse du prix du pétrole. Or le pétrole est en train de remonter.La croissance atteindra en moyenne 1,75 % dans les cinq années qui suivraient « si l'économie ne subit aucun choc économique majeur, ce qui ne saurait être tenu pour acquis », précise toutefois le Fonds.
La banque centrale anticipe une progression du PIB de 1,4% au moins en 2016. L'acquis de croissance s'élevant à 1,1% à la fin du premier trimestre, on peut donc en conclure que l'économie française devrait quasiment stagner jusqu'à la fin de l'année.
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Les données disponibles laissent présager d'un ralentissement de la croissance de la zone euro au deuxième trimestre. Globalement, la reprise semble toujours sans réel entrain.
Jeudi 2 mai, le président de la BCE, Mario Draghi avait prévenu que la croissance de la zone euro devrait ralentir au deuxième trimestre. La vigueur constatée au premier trimestre (0,5 %) de la croissance du PIB des 19 avait pourtant fait croire - enfin ! - à la réalité de l'accélération de la reprise. Jamais en effet depuis sa sortie de récession au deuxième trimestre 2013, la croissance trimestrielle de la région ne s'était montrée si forte. Mais ce ne pourrait être qu'une poussée exceptionnelle.
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« L’emploi reprend. Ce n’est pas le moment de le stopper », annonçait, jeudi 9 juin, Michel Sapin, ministre des finances et des comptes publics, sur France Info. Au même moment, l’Insee publiait un rapport qui confirme la croissance de l’emploi en France : une augmentation de 0,3 % au premier trimestre 2016, et sur un an, une hausse de 1 %.
Globalement, il est vrai que le nombre d’emplois a augmenté, avec 187 000 créations au total sur l’année, dont 159 600 pour le secteur marchand, la plus forte augmentation de création d’emplois depuis 2008.
Le tertiaire grimpe, l’industrie et la construction moins
Le secteur marchand se divise en trois sous-catégories :
- l’industrie, qui représente 3,1 millions d’emplois ;
- la construction, avec 1,3 million ;
- le tertiaire, plus gros secteur, qui cumule 11,5 millions d’emplois.
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http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/art ... 55770.html
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