72 %..
non ce n'est pas la cote de confiance d'un politique mais correspondrait aux candidats qui exagèrent (sur leur CV) leurs responsabilités réelles si l'on en croit une étude commentée dans le Figaro.fr.
Je crois que ce thème est intéressant pour la question de la semaine..
Enjoliver ses expériences ou passer sous silence une période d'inactivité est parfois très tentant. Nombreux sont les candidats qui succombent à cette pratique, soit qu'ils évitent de clarifier certains éléments de leur CV, soit, plus rare, qu'ils mentent effrontément sur une ou plusieurs de leurs expériences. (...)
«Le mensonge est toujours inacceptable»
Pourtant, si répandue soit-elle, cette pratique n'est pas sans risque. Car les réactions des recruteurs sont difficilement prévisibles. Pour certains, l'existence d'un doute sur la véracité des informations transmises est pardonnable, si le candidat joue la carte de la
transparence en entretien.
(...) la mention d'un faux diplôme, ou d'un titre de poste loin de la réalité sont éliminatoires.
Lisez l'article intégral sur Le Figaro.fr
Sinon, j'ai parcouru également cet article sur la vérification de cv..
(...)la vérification systématique des candidatures n'est pas encore entrée dans les mœurs des recruteurs français, et demeure une habitude très anglo-saxonne..
l'article sur le Figaro.fr
Pour la définition du CV :
..document détaillant le parcours et autres compétences acquises d'un individu..
voyez wikipédia
Et là un lien sur Comment booster son cv sans mentir.
Et donc la question de la semaine : Entre vérités et arrangements, comment rédiger un CV ? .