A moins qu'un groupe de députés (pas grand-monde, une vingtaine suffirait) venus du Front de gauche, d'EELV ou même du PS montre les crocs au gouvernement, et là, la majorité éclate. La mystérieuse dissolution de Chirac en 1997 n'était d'ailleurs pas si mystérieuse : il avait une majorité de droite écrasante mais non acquise à sa cause personnelle. On a tendance à oublier qu'en France, avec un président élu au suffrage universel direct, c'est plus une question de personnalité que de courants politiques.Nombrilist » 21 Oct 2013, 10:57:55 a écrit :Pour quoi faire ? Il a déjà la majorité !
Surtout que certains parlementaires ne démordent pas sur le non-cumul des mandats...
Mais il ne faut pas rêver : la dissolution a disparu en même temps que la disparition du septennat.