Lutte Ouvrière (LO)

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Nico37
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Message non lu par Nico37 » 25 avr. 2011, 15:34:00


 
Qui sommes-nous ?

Lutte Ouvrière est une organisation communiste.
Pour nous, le communisme n’a évidemment rien à voir avec les caricatures sanglantes qu’ont été les régimes de Staline, de Mao, ou de la Corée du Nord. Être communiste aujourd’hui signifie défendre l’idée d’un renversement révolutionnaire de la société capitaliste par le prolétariat, pour bâtir un monde dirigé par la population elle-même.
Les maux dont souffre la société humaine - exploitation, oppression, chômage, crises économiques, famine, guerres, racisme, épuisement des ressources... - ne sont dus ni à la fatalité, ni à une impossibilité technique de les résoudre, mais à une organisation économique fondée sur la recherche du profit.
Pour ceux qui dirigent aujourd’hui la planète, les taux de profit sont plus importants que la vie et la mort des millions d’êtres humains. La faim peut frapper des continents entiers ; la guerre peut décimer des populations ; les génocides peuvent faire disparaître des pans entiers de l’humanité ; l’épuisement des ressources peut menacer la survie même de la planète et de ses habitants... qu’importe aux capitalistes, pourvu que d’une année sur l’autre, augmentent leurs profits !
L’état catastrophique dans lequel se trouve la société humaine n’est pas dû à une mauvaise gestion du capitalisme, ou au fait que le capitalisme serait mal contrôlé. Il est dû à l’existence du capitalisme lui-même. Le capitalisme est une société inégalitaire, qui se nourrit de l’exploitation. Même son fonctionnement « normal » représente un gâchis permanent de ressources et surtout de travail humain (le chômage). Et ce gâchis devient catastrophique avec les crises et les guerres.
Comment y mettre fin ? En arrachant le pouvoir économique à ceux qui le possèdent aujourd’hui. Toute autre solution est vouée à l’échec - notamment celles qui passent par la volonté de « convaincre » les maîtres du monde, par de lentes réformes, de se transformer en philanthropes.
Seule une révolution pourra guérir notre société des maux qui la rongent : une révolution, avec ce qu’elle recèle d’élan, d’énergie, d’enthousiasme, de générosité, sera capable de briser la propriété privée des moyens de production ; c’est-à-dire d’arracher des mains des capitalistes la gestion des usines, des banques, des mines, des terres, de l’énergie et des transports. Et de faire en sorte qu’ils appartiennent à la collectivité et soient gérés par elle.
Alors, seulement, il deviendra possible de commencer à réfléchir collectivement à la meilleure manière de gérer l’économie - non plus en fonction des profits et du marché, mais uniquement en fonction des besoins de l’humanité.
Nous ne sommes ni utopistes ni irréalistes : nous ne pensons pas que la révolution va se produire du jour ou lendemain ni éclater comme un coup de tonnerre dans un ciel serein. Mais nous estimons qu’il faut, dès aujourd’hui, réfléchir à la possibilité que se produisent demain de tels événements - pour être non de simples spectateurs de la misère du monde, mais des acteurs conscients de sa transformation.
Lutte Ouvrière est une libre association de femmes et d’hommes, jeunes ou anciens, travailleurs manuels ou intellectuels, qui ne se résignent pas à l’idée que le capitalisme serait le seul avenir possible pour l’humanité. Qui n’acceptent pas les idées reçues selon lesquelles l’individualisme serait le seul comportement responsable, et la loi de la jungle, le chacun pour soi, la règle normale de fonctionnement de l’humanité. Qui ne se résignent pas à l’idée qu’il serait impossible de mettre les fantastiques possibilités offertes par la science et la technique au service de toute l’humanité. Qui ne se résignent pas, en somme, à l’idée que la société inhumaine et barbare dans laquelle nous vivons serait le fin mot de centaines de milliers d’années d’évolution de l’humanité.
Nous voulons changer le monde. Nous restons profondément convaincus que le communisme est l’avenir du genre humain.

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Ilikeyourstyle
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Message non lu par Ilikeyourstyle » 25 avr. 2011, 16:15:00

Lutte Ouvriere ...  icon_biggrin LO ou hello ou sont les militants ? Allons nous avoir un topic pour chaque cabine telephonique de l'EG ? icon_cry

Nico37
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Message non lu par Nico37 » 25 avr. 2011, 16:19:00

Dans les entreprises : http://www.lutte-ouvriere.org/documents ... erviewee-a
Non, je ne ferais pas de sujet pour les organisations de moins de 1.000 militants...

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Ilikeyourstyle
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Message non lu par Ilikeyourstyle » 25 avr. 2011, 16:24:00

D'abord quand tu nous colle des liens, merci de mettre des balises HTML, simple mesure de politesse. Nous sommes peut-etre des bourgeois natios ou je ne sais quoi, mais nous ne sommes pas tes chiens.

Ensuite, LO, on connait. Moi j 'ai commence a voter en 1978 et d'autres ici avant. Alors Arlette, Barca/Hardy et leurs glandus qui distribuent des feuilles vertes (torchons couvert d'injures envers l'encadrement local) on connait.

Par ailleurs, tu te dis communiste-anarchiste, ces gens la sont trotskistes, grosse différence.

Nico37
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Message non lu par Nico37 » 25 avr. 2011, 16:31:00

Je vois pas le pb de mettre ou non les balises HMTL.
Ah tiens, tu es cadre dès le départ, hé bien tout s'explique, merci pour ton honnêteté.
Enfin, je ne défends pas LO, ici c'est un forum de discussion, spécifiquement sur les partis politiques français pour cette section  icon_exclaim

lancelot
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Message non lu par lancelot » 25 avr. 2011, 18:08:00

Ouais ... enfin  Bof .... on va pas faire l'inventaire de tous les partis. Lo est un parti détestable. Aucune liberté la dedans, sauf celle de penser la même chose que les dirigeants. Il n'y a pas plus opaque, alors quand je lis .... que ce micro parti est contre la barbarie, contre la dictature, etc ... etc ...  je me marre.

Arlette venait d'une autre époque, voire d'un autre temps .... on lui pardonnait, mais sa remplaçante .... non merci. Je sais que le singe imite l'homme, mais je ne savais pas que la femme imitait arlette.

On voit très bien le sentiment de liberté qui règne dans cette mouvance, les têtes changent, les époques aussi ... mais pas lo .... (lol)

Nico37
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Message non lu par Nico37 » 25 avr. 2011, 18:42:00

lancelot a écrit :Ouais ... enfin  Bof .... on va pas faire l'inventaire de tous les partis. Lo est un parti détestable. Aucune liberté la dedans, sauf celle de penser la même chose que les dirigeants. Il n'y a pas plus opaque, alors quand je lis .... que ce micro parti est contre la barbarie, contre la dictature, etc ... etc ...  je me marre.

Arlette venait d'une autre époque, voire d'un autre temps .... on lui pardonnait, mais sa remplaçante .... non merci. Je sais que le singe imite l'homme, mais je ne savais pas que la femme imitait arlette.

On voit très bien le sentiment de liberté qui règne dans cette mouvance, les têtes changent, les époques aussi ... mais pas lo .... (lol)
Faire l'inventaire de tous les partis, pas nécessairement si la rubrique est bien centrée sur les partis se présentant aux élections.
Quant à ton tableau, il y a du vrai et du faux. Ce n'est pas avec une critique impressionniste que tu peux convaincre qui que ce soit  icon_exclaim

lancelot
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Message non lu par lancelot » 25 avr. 2011, 21:33:00

Je ne cherches pas a convaincre. Je donne mon point de vue.

Georges
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Message non lu par Georges » 25 avr. 2011, 21:47:00

Je ne jugerais pas ce parti, car je ne le connais pas. Je le trouve juste un peu trop ouvriériste.

Nico37
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Message non lu par Nico37 » 25 avr. 2011, 21:49:00

Georges a écrit :Je ne jugerais pas ce parti, car je ne le connais pas. Je le trouve juste un peu trop ouvriériste.
C'est son objet social, il est possible ici même de discuter de quelle manière son objet social est d'actualité  icon_exclaim

Nico37
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Message non lu par Nico37 » 12 juin 2011, 20:29:00

A Presles, Nathalie Arthaud poursuit son apprentissage présidentiel Par LILIAN ALEMAGNA A Presles (Val-d'Oise) 12/06/2011 À 16H36 (MISE À JOUR À 19H19)


L'héritière d'Arlette Laguiller au porte-parolat de Lutte ouvrière défendait son programme ce dimanche à la traditionnelle fête du parti d'extrême gauche, dans le Val-d'Oise.




       
Comme une grande. Nathalie Arthaud n'a plus besoin d'Arlette Laguiller pour faire son job de porte parole de Lutte ouvrière dans les allées de la traditionnelle fête du parti d'extrême gauche à Presles (Val-d'Oise) qui se termine lundi. Ce dimanche, devant le stand bien rouge de la direction de LO, assise sur des chaises blanches en PVC, la porte parole de 41 ans, souriante, enchaîne les médias, gilet bleu sur les épaules, haut assorti aux motifs indiens, chaussures de randonnée et pantalon blanc cassé.


Elle fait le boulot. Bien même. Après six participations d'affilée d'Arlette Laguiller à la présidentielle (et un record avec 5,72% en 2002), Nathalie Arthaud sera la représentante de LO en 2012, lancée par son parti dès décembre 2010. Mais à l'entendre, cette édition 2011 de la fête de LO, dans un contexte pré-électoral n'a rien de particulier. «On n'est pas sorti de la crise, c'est ça le plus important. Les financiers vont vouloir qu'on passe à la caisse, qu'on paie les dégâts qu'ils ont causés mais aussi pour les cadeaux qu'on leur a fait après!» De cette élection présidentielle, «il n'y a rien à attendre».


Pour elle, le scrutin n'est bon qu'à servir de tribune pour défendre un «programme de luttes». «Les travailleurs vont avoir à se défendre eux-mêmes» mais «pas entreprises par entreprises. Il faut que ce soit un mouvement puissant qui se développe».


«Arlette regarde toutes mes émissions»


Elle croise un «camarade» des licenciés de l'usine Continental de Clairoix. Excédé: «Il reste six mois pour reclasser 800 personnes sur les 1200 virés! C'est impossible!» Arthaud saute sur l'exemple: «Vous voyez: il faudrait que les patrons ne puissent pas cacher pendant des mois, des années leurs sales coups!» Elle enchaîne sur les revendications de son parti: «contrôle des comptes des entreprises et des conseils d'administration, interdiction des licenciements, partage du temps de travail et obligation pour les entreprises d'embaucher...»


Trois ans après avoir pris le relais d'Arlette Laguiller au poste de porte parole, cette professeure d'économie-gestion dans un lycée d'Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) est rodée. Et si Arlette Laguiller ne l'accompagne plus dans ses sorties, Arthaud la voit «tous les jours», au siège du parti à Pantin. «Elle regarde toutes mes émissions, on en discute ensemble...»


Et ça marche. Arthaud est à l'aise avec les micros et les caméras. Suivie d'une équipe de France 3 Ile-de-France, elle s'empresse de rejoindre le stand «La Chorba» du «Groupe LO Citroën» et discute avec deux camarades de l'annonce par la CGT d'une probable intention du groupe PSA de fermer le site d'Aulnay-sous-bois. «Ils vont vous faire travailler plus pour pouvoir vous virer plus vite!», plaisante-t-elle. Puis, face caméra, le sourire disparaît. Le regard et les propos se font agressifs: «C'est l'illustration d'une chose... Ils n'en ont jamais assez! Ils n'ont pas de limites. Notre rôle est de s'organiser car on est tous des licenciés en puissance!» On la lance sur le refus d'Olivier Besancenot d'aller à la présidentielle. Une chance pour elle? Elle élude: «On est favorable à ce que tout le monde se présente. On n'est pas pour le parti unique à l'extrême gauche!» Et puis de toute façon: «On dira que les élections ça ne change pas la vie. On fera le score qu'on fera mais on le dira...»


«Tu mets ça sur You tube!»
 
Elle reprend son tour dans les allées humides mais à l'herbe jaunie du grand parc du château de Presles. S'arrête dire bonjour à une «copine» postière. Discute encore licenciements puis cherche le stand des gaufres picardes, faucille et marteau sur la devanture. Direction les ouvriers de la marque au Losange à «la rôtisserie de sire Renault». «C'est l'industrie ici! Ils ont l'habitude chez Renault. Les cadences, la chaleur... Mais je pense que l'ambiance ici est plus sympathique! C'est un vrai partage du travail!»


Midi. Place Karl Marx, ses camarades bien groupés derrière elle, Arthaud attend le direct de France 3, oreillette en place et face caméra. En fond sonore, les chants de la chorale révolutionnaire. La même assurance. Souriante d'abord, puis un regard noir: «Quand on est à se demander combien de kilos l'un a perdu [François Hollande, ndlr] et quand l'autre va se présenter [Martine Aubry], on est très loin des salaires!» Elle en remet une couche sur PSA puis renvoie gauche et droite dos-à-dos. «Aucun gouvernement n'a empêché un patron de fermer une usine ou d'embaucher. Les salariés ne peuvent compter que sur eux-mêmes». Trois minutes de direct puis grands applaudissements pour leur représentante. On s'arrache des photos auprès d'elle. «Tu mets ça sur You tube!», lance un homme.


Marine Le Pen: « ennemie mortelle de la classe ouvrière »
 
Après la pause déjeuner, la porte parole de LO est sur la grande scène pour l'allocution traditionnelle. Tous les thèmes y passent: des «9000 euros par jour, samedi et dimanche compris», du patron de PSA, le «fléau du chômage», Nicolas Sarkozy le «réactionnaire», «à la botte» des «grands bourgeois» que sont «les Peugeot, les Bouygues, les Arnault, les Michelin, les Bolloré». «Ils ont le droit d'intervenir directement dans la politique des Etats», s'insurge Arthaud. «La politique que propose le PS n'est pas différente de celle que mène la droite», quant aux ouvriers tentés par le Front national, «ils se trompent. La politique de Le Pen, c'est la politique de Sarkozy en pire. Marine Le Pen est la défenseure des riches, de la propriété.» Elle hausse le ton: «Le FN vise à affaiblir les ouvriers! En jetant en pâture les ouvriers immigrés - nos Frères! - elle est une ennemie mortelle de la classe ouvrière!»


Quarante minutes de discours à la vulgate trotkiste très classique mais prononcé toute en assurance devant quelques milliers de personnes. Qu'on se le dise, si prendre le relais d'Arlette Laguiller est difficile, Nathalie Arthaud est prête pour la joute médiatique présidentielle.

Nico37
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Message non lu par Nico37 » 25 juil. 2011, 21:18:00

Une candidate nommée Arthaud Ava Djamshidi | Publié le 24.07.2011, 07h00

Nathalie Arthaud, candidate de Lutte ouvrière à la présidentielle, fait campagne pour présenter son programme… et se faire connaître.

Abbeville (somme), hier. Nathalie Arthaud, la candidate à la présidentielle de Lutte ouvrière, bat la campagne en militante avant tout. |

Sur les pavés, de fines gouttes de pluie. Pas de plage mais des vacances très militantes pour vingt membres de Lutte ouvrière (LO) embarqués sur la sixième étape de la caravane estivale du parti d’extrême gauche. Hier, ils ont fait escale à Abbeville (Somme), commune picarde de 24000 âmes. L’occasion d’aller à la rencontre des habitants du centre-ville pour les interpeller sur les « méfaits du capitalisme ».
Parmi les militants, qui tiennent leur stand en face du Monoprix, une invitée de marque : Nathalie Arthaud, la porte-parole et candidate à la présidentielle.
« C’est qui ? » interroge Edith, 59 ans, en se tordant le cou pour l’apercevoir. « C’est Nathalie Arthaud », répond un militant. « Ah oui, la dame qui fait du bateau! » acquiesce la retraitée. « Mais non, ce n’est pas Florence Arthaud, la navigatrice ! C’est la remplaçante d’Arlette Laguiller », corrige son mari. Plus loin, Georges, responsable local de LO, connaît bien la candidate. « Je suis sur un petit nuage », jubile le retraité en secouant sa queue-de-cheval grise. « Quand on est un militant esseulé, ça fait du bien de voir les camarades. Et surtout d’accueillir Nathalie. » Une distinction à laquelle ne tient pas spécialement la porte-parole du parti trotskiste : « Je ne laboure pas le terrain en tant que candidate. Je ne cours pas après le trône de président. Je me sens avant tout militante. »
Alors, comme ses camarades, l’enseignante en économie échange avec les passants, surtout des sympathisants. « Beaucoup ont le moral dans les chaussettes. Ils ont besoin de savoir que tout le monde n’est pas résigné », souligne-t-elle avant d’engager la conversation avec un couple de partisans. « Le chômage n’est pas une catastrophe naturelle. On peut combattre les fabricants de chômeurs », assure-t-elle, chaleureuse.
Conquis, Pascal et Sylviane la dévorent des yeux. Autour d’eux, les badauds passent sans prêter attention à la candidate à l’Elysée. Pascal, 48 ans, ouvrier dans une fonderie, touche 1200 € par mois. « Ça fait du bien de voir Mme Arthaud. Elle nous défend », soupire-t-il avant de raconter leurs douze années sans vacances et le budget ultraserré où chaque euro compte. « Je sais qu’elle n’est pas trop connue et qu’elle ne va pas gagner, mais je préfère voter pour quelqu’un qui représente honnêtement les travailleurs », confie-t-il, un soupçon d’accent picard dans la voix.
Plus loin, une femme refuse tout net de s’arrêter. « Je n’ai pas de temps à perdre pour des illusions. Et, de toute façon, elle ne sera jamais élue », lâche-t-elle. « L’essentiel, ce n’est pas de gagner, mais de donner de l’espoir avec un programme de lutte », réplique Nathalie Arthaud.

Le Parisien

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Message non lu par Ilikeyourstyle » 25 juil. 2011, 21:27:00

Tu causes tout seul ? 

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Message non lu par wesker » 01 août 2011, 11:19:00

Clairement retrograde et niant les réalités budgétaires, cette organisation n'existerait elle que pour faire vivre une sensibilité idéologique qui existe d'ailleurs au sein d'autres formation (Front de Gauche ou NPA) ou quelques responsables ? Je n'en sais rien, ce que je sais en revanche, c'est que l'application de leurs idées amèneraient àl'augmentation des dépenses publiques, à la collectivisation des moyens de production et à l'absence de visions stratégique à long terme dont les entreprises ont besoin pour se développer.

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Message non lu par Nico37 » 01 août 2011, 22:21:00

wesker a écrit :Clairement retrograde et niant les réalités budgétaires, cette organisation n'existerait elle que pour faire vivre une sensibilité idéologique qui existe d'ailleurs au sein d'autres formation (Front de Gauche ou NPA) ou quelques responsables ? Je n'en sais rien, ce que je sais en revanche, c'est que l'application de leurs idées amèneraient àl'augmentation des dépenses publiques, à la collectivisation des moyens de production et à l'absence de visions stratégique à long terme dont les entreprises ont besoin pour se développer.
Oui à la collectivisation sous contrôle des travailleurs et à l'élimination de la bourgeoisie, situation idéale mais nous en sommes encore loin de la société sans classe ni Etat. En attendant, il est logique de faire de la propagande que de penser/panser les plaies du capitalisme...
Lutte Ouvrière à votre rencontre

Les caravanes d'été de Lutte Ouvrière iront cette année dans près de deux cents villes.
Vous pourrez y rencontrer nos camarades pour y discuter de la politique du gouvernement, des offensives patronales et des moyens de s'y opposer.
Dans cette crise financière qui s'aggrave, le gouvernement socialiste multiplie, comme le précédent, les cadeaux à la bourgeoisie. Après les 20 milliards offerts au titre de la compétitivité, et alors qu'il baissait le taux d'intérêt du livret A, il vient d'étendre à 50 milliards les sommes des livrets A mises à la disposition des banques et des assurances, autant de moins pour la construction d'HLM et des équipements publics !
Alors que les avoirs des 500 plus grosses fortunes du pays ont augmenté officiellement de 25 % l'an dernier, c'est aux retraités que le gouvernement veut s'en prendre à la rentrée en baissant encore les pensions et en augmentant les durées de cotisation.
C'est pour débattre de tout cela, que les militants de Lutte Ouvrière vous invitent à les rencontrer dans les étapes suivantes de nos caravanes.

Jura – Saône-et-Loire

Lundi 29 juillet : Mâcon
Mardi 30 juillet : Le Creusot
Mercredi 31 juillet : Chalon-sur-Saône
Jeudi 1er août : Dole
Vendredi 2 août : Lons-le-Saunier
Samedi 3 août : Beaune

Manche – Mayenne

Lundi 29 juillet : Caen
Mardi 30 juillet : Cherbourg et Coutances
Mercredi 31 juillet : Saint-Lô et Granville
Jeudi 1er août : Mayenne
Vendredi 2 août : Fougères et Vitré
Samedi 3 août : Laval

Loire – Drôme

Lundi 5 août : Roanne
Mardi 6 août : Saint-Chamond
Mercredi 7 août : Saint-Étienne
Jeudi 8 août : Valence
Vendredi 9 août : Romans-sur-Isère
Samedi 10 août : Montélimar

Aisne

Lundi 5 août : Hirson et Fourmies
Mardi 6 août : Saint-Quentin
Mercredi 7 août : Péronne et Bohain
Jeudi 8 août : Laon
Vendredi 9 août : Chauny et Tergnier
Samedi 10 août : Soissons
Modifié en dernier par Nico37 le 29 juil. 2013, 17:59:15, modifié 1 fois.

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