Le parti de gauche
- El Fredo
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Re: Le parti de gauche
C'est triste, c'était sans doute le cadre FdG le plus solide intellectuellement parlant. J'avais beaucoup plus de respect pour lui que pour Mélenchon.
If the radiance of a thousand suns were to burst into the sky, that would be like the splendor of the Mighty One— I am become Death, the shatterer of Worlds.
- wesker
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Re: Le parti de gauche
Dans une construction politique, El Fredo, chacun apporte ses compétences, sa contribution et ses analyses. Le front de gauche s'est développé, par les participations de chacun et les capacités individuelles qui ont permis à ce collectif de mobiliser et fédérer un électorat qui allait au delà des limites des seuls électorats traditionnels qui composent cette bannière.
Re: Le parti de gauche
Samedi à 16h30, à la fête de l'Huma, au stand du Parti de Gauche, débat "Pour un plan B en Europe" avec Oskar Lafontaine, Yanis Varoufakis et Jean-Luc Mélenchon.
« le capitalisme est cette croyance stupéfiante que les pires des hommes feront les pires choses pour le plus grand bien de tout le monde » (Keynes)
- wesker
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Re: Le parti de gauche
Il est légitime, pour celles et ceux qui souhaitent construire l'autre gauche d'organiser des tables rondes, et des réflexions, constructives sur l'alternative à l'austérité et aux limites qui furent posées lors des négociations entre la Grèce et ses partenaires.
Cette autre gauche, si elle est légitime et nécessaire doit parvenir à concilier des objectifs assez contradictoires mais c'est à ce prix qu'elle parviendra à convaincre une majorité de citoyens ou à tout le moins d'avoir une influence suffisante pour être en mesure d'instaurer de nouveaux rapports de force.
Les équilibres budgétaires n'étant pas incompatible avec les ambitions sociales de cette autre gauche, le plan B doit parvenir à récuser le fonctionnement du modèle actuel et ses dérives tout en étant convaincant sur le plan économique, c'est, encore l'une des difficultés de cette famille politique qui, aussi séduisante soit elle ne parvient à rassurer sur la faisabilité d'un projet jugé, par des citoyens nombreux, regressifs.
Cette autre gauche, si elle est légitime et nécessaire doit parvenir à concilier des objectifs assez contradictoires mais c'est à ce prix qu'elle parviendra à convaincre une majorité de citoyens ou à tout le moins d'avoir une influence suffisante pour être en mesure d'instaurer de nouveaux rapports de force.
Les équilibres budgétaires n'étant pas incompatible avec les ambitions sociales de cette autre gauche, le plan B doit parvenir à récuser le fonctionnement du modèle actuel et ses dérives tout en étant convaincant sur le plan économique, c'est, encore l'une des difficultés de cette famille politique qui, aussi séduisante soit elle ne parvient à rassurer sur la faisabilité d'un projet jugé, par des citoyens nombreux, regressifs.
Re: Le parti de gauche
Débat avec Jean-Luc Mélenchon, Yanis Varoufakis, Oskar Lafontaine et Stefano Fassina
EN DIRECT : Pour un plan B en Europe – Samedi 12 septembre à 16h30
Le samedi 12 septembre à 16h30, au stand du Parti de Gauche à la Fête de l'Humanité, venez assister au débat « Pour un plan B en Europe » avec :
- Jean-Luc Mélenchon, député européen
- Yanis Varoufakis, ancien ministre des Finances en Grèce,
- Oskar Lafontaine, ancien ministre des Finances en Allemagne,
- Stefano Fassina, ancien ministre des Finances en Italie
Pour en savoir plus sur le plan B, découvrez la tribune signée par Jean-Luc Mélenchon, Yanis Varoufakis, Oskar Lafontaine, Stefano Fassina et Zoe Konstantopoulou, présidente du Parlement hellénique (Grèce) en cliquant ici.
Pour celles et ceux qui ne peuvent se joindre à nous samedi, le débat sera diffusé en direct sur le blog de Jean-Luc Mélenchon et sur la chaîne Dailymotion du Parti de Gauche.
EN DIRECT : Pour un plan B en Europe – Samedi 12 septembre à 16h30
Le samedi 12 septembre à 16h30, au stand du Parti de Gauche à la Fête de l'Humanité, venez assister au débat « Pour un plan B en Europe » avec :
- Jean-Luc Mélenchon, député européen
- Yanis Varoufakis, ancien ministre des Finances en Grèce,
- Oskar Lafontaine, ancien ministre des Finances en Allemagne,
- Stefano Fassina, ancien ministre des Finances en Italie
Pour en savoir plus sur le plan B, découvrez la tribune signée par Jean-Luc Mélenchon, Yanis Varoufakis, Oskar Lafontaine, Stefano Fassina et Zoe Konstantopoulou, présidente du Parlement hellénique (Grèce) en cliquant ici.
Pour celles et ceux qui ne peuvent se joindre à nous samedi, le débat sera diffusé en direct sur le blog de Jean-Luc Mélenchon et sur la chaîne Dailymotion du Parti de Gauche.
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Re: Le parti de gauche
Depuis qu'Alexis Corbière s'est dégonflé face aux questions des membres d'Actu-Politique et après que Mélenchon eût décliné l'invitation de Chevènement, on sait à quoi s'en tenir de ce parti, fermé au dialogue et sectaire.
- wesker
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Re: Le parti de gauche
Ramdams
Cette famille politique a des positions interessantes, notamment les propositions que Mélenchon a porté sur l'économie de la mer, son analyse sur le fonctionnement actuel de l'Europe et sa volonté de faire prévaloir la souveraineté populaire sur les injonctions des institutions européennes qui prônent l'austérité.
Mais, en se voulant résolument internationaliste et tiers mondiste, sur certaines questions, elle s'éloigne de l'électorat populaire, soumis, à la différence des fonctionnaires, à la dureté de la concurrence internationale, aux préoccupations quotidiennes etc....et ne parvient pas à convaincre, non plus un électorat entrepreneuriat, mais lucide sur les questions budgétaires. C'est à cet axe que le front de gauche devrait travailler, peut être en s'éloignant de certaines options préconisées par le PCF, pour oser une authentique alternative dont la gauche, avec l'émergence d'une politique de démocrate décomplexé, assumé offre à cette autre gauche qui ne soit pas s'enfermer dans l'extrême gauche !
Cette famille politique a des positions interessantes, notamment les propositions que Mélenchon a porté sur l'économie de la mer, son analyse sur le fonctionnement actuel de l'Europe et sa volonté de faire prévaloir la souveraineté populaire sur les injonctions des institutions européennes qui prônent l'austérité.
Mais, en se voulant résolument internationaliste et tiers mondiste, sur certaines questions, elle s'éloigne de l'électorat populaire, soumis, à la différence des fonctionnaires, à la dureté de la concurrence internationale, aux préoccupations quotidiennes etc....et ne parvient pas à convaincre, non plus un électorat entrepreneuriat, mais lucide sur les questions budgétaires. C'est à cet axe que le front de gauche devrait travailler, peut être en s'éloignant de certaines options préconisées par le PCF, pour oser une authentique alternative dont la gauche, avec l'émergence d'une politique de démocrate décomplexé, assumé offre à cette autre gauche qui ne soit pas s'enfermer dans l'extrême gauche !
Re: Le parti de gauche
Ils peuvent proposer tout ce qu'ils veulent, ils ont montré qu'ils ne supportaient pas la contradiction et le débat. Ça me suffit pour me rebuter à vie.
- wesker
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Re: Le parti de gauche
Refuser de débattre n'est pas,effectivement source de confiance, d'inspiration et de réciprocité dans les échanges. Ce sont, pourtant de tels débats qui permettent d'enrichir sa réflexion des analyses et des opinions alternatives, pas forcément hostiles d'ailleurs, qui peuvent permettre de mieux répondre aux attentes et de convaincre des citoyens qui, actuellement cultive davantage la défiance !
Re: Le parti de gauche
Le 12 septembre au stand du Parti de Gauche de la Fête de l'Humanité, Stefano Fassina (député, ancien vice-ministre de l’Economie et des Finances en Italie), Oskar Lafontaine (ancien ministre des Finances en Allemagne, co-fondateur de Die Linke Allemagne), Yanis Varoufakis (député, ancien ministre des Finances en Grèce) et Jean-Luc Mélenchon (député européen) organisaient un débat pour un plan B en Europe. Voici la vidéo :
[BBvideo 600,350]http://www.youtube.com/watch?v=c4lGeGqG ... e=youtu.be[/BBvideo]
[BBvideo 600,350]http://www.youtube.com/watch?v=c4lGeGqG ... e=youtu.be[/BBvideo]
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Re: Le parti de gauche
Est-ce qu'ils envisagent de bosser avec le Labour de Jeremy Corbyn ?
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Re: Le parti de gauche
Oskar Lafontaine s’est réjoui de la victoire de Jeremy Corbyn, et son nom a été applaudi par l’assistance (ce qui est assez surréaliste si l’on y réfléchit bien : applaudir un travailliste anglais à la fête de l’Huma !) Oui, il y a sans doute l’espoir de pouvoir travailler avec lui si c'est possible.
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- wesker
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Re: Le parti de gauche
L'autre gauche, à la suite des compromis auxquels Tsipras dû se rendre, a réalisé qu'il fallait, au sein de l'Europe parvenir à construire des accords, avec des familles politiques partageant le même socle idéologique. C'est la condition afin d'instaurer de nouveaux rapports de force, et ainsi parvenir à faire avancer leurs idées.
Cette autre gauche si elle intéresse et a des propositions intéressantes, se veut alternative à l'austérité pratiquée par la droite mais aussi par les sociaux démocrates, il ne lui reste qu'à travailler les questions budgétaires, à convaincre sur ses capacités à ne pas paralyser une activité économique, dont l'immense majorité des citoyens a conscience de la nécessité, et, enfin, elle parviendra à s'imposer. Dans le cas inverse, elle ne serait, au mieux qu'une force d'influence au pire qu'une force contestataire, marginalisée et ignorée. C'est, actuellement le risque encourue par cette gauche alternative qui, à l'instar de la droite gaulliste, sociale et gestionnaire finirait par quasiment disparaître, au profit de primaires larges, rendant la diversité des formations politiques, inutiles !
Cette autre gauche si elle intéresse et a des propositions intéressantes, se veut alternative à l'austérité pratiquée par la droite mais aussi par les sociaux démocrates, il ne lui reste qu'à travailler les questions budgétaires, à convaincre sur ses capacités à ne pas paralyser une activité économique, dont l'immense majorité des citoyens a conscience de la nécessité, et, enfin, elle parviendra à s'imposer. Dans le cas inverse, elle ne serait, au mieux qu'une force d'influence au pire qu'une force contestataire, marginalisée et ignorée. C'est, actuellement le risque encourue par cette gauche alternative qui, à l'instar de la droite gaulliste, sociale et gestionnaire finirait par quasiment disparaître, au profit de primaires larges, rendant la diversité des formations politiques, inutiles !
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