Les assignats sont arrivés au XIXème siècle et n'étaient pas les premiers pas de la monnaie scripturale.La monnaie scripturale(1) existe depuis un siècle seulement.
Soyons clairs, oui, au global, elles perdent de la valeur car leur augmentation est largement compensée par la dévaluation de la monnaie.Vous êtes dans le sophisme, vous pensez qu'en cas d'inflation les actions perdent de la valeur?
Seul l'achat d'action hors du territoire (par exemple acheter Apple/Google) mènera au pactole puisque leur valeur n'est pas liée à notre monnaie.
Prenons un exemple qui est souvent donné pour la sortie de l'Euro : une dévaluation de 25%. Crois-moi, le CAC ne prendra pas 25% du jour au lendemain car :
->la plupart des entreprises sont banquaires
->les entreprises industrielles sont fortement mondialisée, le regain de consommation en France ne suffira pas à augmenter la valeur de l'entreprise de 25%.
Sauf que l'inflation augmente M ET V car les gens sont plus pressés de dépenser avant que la monnaie ne perde trop de valeur. Tout augmente d'un coup, c'est cool. Mais le capital lui baisse donc les actions aussi, puisqu'elles sont du capital. La plus belle preuve c'est l'exemple Allemand qui refuse une inflation de plus de 2% car sinon les retraités perdraient tout !Votre action ne perd pas de valeur, bien au contraire, vu que la monnaie en perd, les gens achètent plus qu'avant(plus de demande et une offre constate)
TOn article est intéressant mais franchement, tu as regardé les chiffres? Comparer le taux de pauvreté en 1990 et 2009 alors qu'on sait qu'entre 2007 et 2009 la crise a fait monter de 2 à 3% le nombre de pauvres ! Moi j'ai la conclusion inverse : les amortisseurs sociaux ont été si efficaces qu'on n'est pas descendu aussi bas qu'en 1990 !
Pour le RMI : la tautologie est assez énorme : ouvrir le RSA/RMI a plus de monde a fait que plus de monde a eu le RMI/RSA. Bravo ! quel constat d'échec.
Enfin, j'ai vu cet article et j'ai tout de suite compris qu'il allait être faux quand il a parlé d'indicateur. Un indicateur c'est trois choses :
->un but analytique (ce qu'on veut comprendre/analyser)
->des données statistiques
->un calcul analytique (souvent sous la forme Si comparaison alors conclusion)
Or leur "indicateur" n'est qu'en fait que des stats. Comme aucun effort n'est fourni pour indiqué ce qui est démontré et le raisonnement suivi pour le démontrer, toute conclusion est possible.
Non, l'année d'après il paiera 30 cents et ce pendant 5 ans. Sauf qu'avec la richesse créée entre deux, il aura pu obtenir les fonds nécessaire. C'est comme quand on achète une maison...Mais alors l'année d'après il faut payer cette Euro de dette
L'état finance la création de richesse, il n'en crée pas lui même (sauf dans certains services particuliers).Si l'état fait autant de richesse, pourquoi payons nous des impôts?
Comme je l'ai dit, j'ai pendant longtemps eu des doutes à cause de ça : comment peut-on prétendre qu'il y a égalité quand il y a conditionnement?Par contre quand on crée des conditions(2) là on crée artificiellement des "castes"(notez les guillemets) et on n'est plus dans un état de droit(sans S) mais on entre dans un état de droits(avec S).
->le conditionnement s'applique à tous. Donc peu importe qui vous êtes si à un temps T vous êtes dans la situation A vous aurez droit/devoir à ce qui correspond à la situation A. Si votre évolution vous mène à la situation B vous aurez ce qui correspond à ladite situation et si vous revenez à la A vous aurez la A. Le conditionnement n'est donc basé que sur le temps et non pas sur l'identité de la personne.
->Un système d'impôt négatif c'est qu'un système de conditionnement caché sous la forme d'une fonction continue. Certes il n'y a pas apparemment de phénomène de seuil mais tout comme la fonction par palier précédente elle offre un conditionnement.
D'ailleurs mathématiquement, les fonctions sont toutes les deux continues :