"Il n'est pire aveugle que celui qui ne veut point voir"
On va donc faire appel à une source extérieure reconnue comme compétente pour juger de l'influence de Ribery sur l'EdF: l'Equipe.
Les statistiques confirment Ribéry en patron de l'équipe de France.
Franck Ribéry a été le maillon fort de l'équipe de France durant les éliminatoires de la Coupe du monde 2014, qui prendront vraiment fin avec les barrages.
C'est ce que confirment les statistiques des Bleus au terme des huit matches disputés dans le groupe I.
Le plus décisif : Ribéry
Avec cinq buts inscrits et quatre passes décisives, Franck Ribéry a terminé meilleur marqueur et co-meilleur passeur de l'équipe de France durant ces éliminatoires de la Coupe du monde 2014.
Mardi, lors de l'ultime journée du groupe I, contre la Finlande (3-0), le candidat déclaré au Ballon d'Or a encore démontré son efficacité et son importance.
Il a ouvert le score d'une frappe superbe puis a permis à Karim Benzema de signer un deuxième but en deux matches.
Ribéry est impliqué sur 60% des quinze buts inscrits par l'équipe de France durant ces huit matches de qualification.
Ramdams » 12 Juil 2014, 11:06:07 a écrit :
Ribéry n'est pas indispensable dans cette équipe et preuve en est, la France est arrivée en quarts sans lui. Avec ou sans lui, elle n'aurait pas eu le potentiel pour aller plus loin, les autres nations étant plus fortes.
Libre à toi de penser que, contre l'Allemagne, Griezmann a fait preuve d'autant de capacités de débordements et de déstabilisation de la défense que celles dont est capable un Ribéry (en pleine forme physique) comme il nous l'a montré aussi bien en sélection qu'en club.
Ceci dit, une chose est sure, c'est que si l'on décide de ne plus sélectionner nos meilleurs joueurs pour des raisons n'ayant aucun rapport avec leur talent et leurs performances sportives, les autres nations qui, elles, ne se préoccupent pas de supposés "problèmes comportementaux" de leurs meilleurs joueurs vont être "plus fortes" pendant un bon paquet de temps, rires !
Enfin ...
Jusqu'à ce que les sponsors de l'Edf (et principaux financeurs de la presse sportive) décident que "l'image" de l'EdF, c'est bien mais les résultats, c'est mieux.