Spécial débat des primaires

[Nombrilist]

"C'est toi qui le dis...!"

Non, c'est le journal. Il me semble que les intérêts des autres banques représentent 2 milliards. Mais on en perd 6 dans Dexia et probablement davantage maintenant. Evidemment que Sarko ne va pas le claironner ! L'intox marche à fond.

[Narbonne]

La separation depots/affaires ne suffit pas, il faut des textes complementaires.
La France a donné 3 milliards et la belgique 3 milliard (un peu le luxembourg) à Dexia

[Calculette]

Transféré ICI

[Nombrilist]

Post déplacé.

[politicien]

Bonjour,

Je crois que vous êtes hors sujet, et qu'il serait bien de revenir au sujet initial.

J'ai l'impression qu'en ce moment, je demande régulièrement de revenir au sujet initial.

[Calculette]

Tu as parfaitement raison politicien et perso j'en suis désolée.
Cela serait bien plus à sa place sur le topic "PS/UMP sur le déficit public"
Je transfère mon post et invite Nombril à en faire autant s'il le souhaite bien sur :-)

[wesker]

Sur les débats des primaires, je reste interrogatif. Les vainqueurs du premier tour ne furent pas ceux qui avancèrent le plus d'arguments, mais cela est révélateur je crois de la lucidité des français à l'égard des postures. Objectivement, je crois que Hollande l'emportera mais pas de manière aussi marquée que ce les sondages annoncent au vu des prises de positions marquée de Aubry. Ce qui est en revanche évident pour moi c'est qu'aucun de ces deux là ne soit en mesure de mettre ne oeuvre les réformes dont le pays a besoin.

[Baltorupec]

On est d'accord sur le diagnostique Wesker, mais pour le remède à administrer, je crains que ce soit plus houleux.

[Narbonne]

Ce qui est en revanche évident pour moi c'est qu'aucun de ces deux là ne soit en mesure de mettre ne oeuvre les réformes dont le pays a besoin.

C'est tout a fait exact, mais je préfère Hollande/Aubry à Sarkosy. C'est pas plus compliqué que cela.
Ceux qui rêvent Melenchon, Joly... continueront de rever dans 50 ans.
Il faut être pragmatique.

[Nombrilist]

On verra.

[un artisan]

Ce qui m'apparait le plus hilarant dans tout cela ,ce sont les critiques UMP , entendre coppé parler de remettre la république à l'endroit suppose qu'elle soit actuellement à l'envers ,quel clown...Remonter à cheval pour sarkosi ,me parait un fantasme ,un basset suffirait.
J'ai une bonne nouvelle : à compter de (dimanche) soir, nous allons remonter à cheval!" après "cette interminable séquence de la primaire socialiste", a ensuite lancé M. Copé aux quelque 1.500 militants UMP girondins rassemblés sous un chapiteau lors d'un banquet républicain.

"Notre pays a besoin de voir une république à l'endroit", a-t-il encore affirmé, défendant le bilan de Nicolas Sarkozy qui, en pleine crise mondiale, a su prendre les "bonnes décisions" au "bon moment".

[politicien]

Un artisan, lis tu mes messages ? Je ne compte pas répéter.

[wesker]

On est d'accord sur le diagnostique Wesker, mais pour le remède à administrer, je crains que ce soit plus houleux.

Pas nécessairement ! Durant des années, les nationaux émirent un diagnostic et ont prévenu les français des réalités dans lesquelles les orientations les conduisaient. Aujourd'hui, nous sommes nombreux à partager le même diagnostic et je ne peux que m'en réjouir. Evidemment concernant les solutions à appliquer, différentes voies se mettront en débat mais seule la réorientation de la politique dans un sens de restauration de la nation, de nos capacités budgétaires et fiscales sont de natures à parvenir à un résultat.
D'ailleurs, les candidats, mêmes mondialistes ne s'y trompent pas, ils proposent aux français des mesures de prise de contrôle des banques, de fermeté en matière de sécurité, de lucidité en matière fiscale avec des objectifs de long terme convergents avec ceux que les nationaux défendent depuis des années. C'est dans la mise en oeuvre concrète des solutions que les divergences apparaissent, en particulier sur l'utilisation de l'outil fiscal, quels leviers, quelle assiete et quels assujettis que portent les divergences. Pour y remédier, il y a le peuple, ce dernier souhaite rétablir nos comptes publics, notre crédibilité" budgétaire et des marges de manoeuvres qui serviront au soutien à l'investissement, à la croissance mais refuse que certains, sous divers prétextes parviennent à se soustraire de l'effort collectif. Il souhaite aussi que les politiques prennent de la hauteur et soit capable de développer une perspective budgétaire crédible qui ne cède pas nécessairement à la volatilité excessive des marchés.