Michel Drucker : le nerf de la guerre
- FIFE
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C'était il y a 8 ans, quand les profs avaient envoyé leurs élèves dans les rues pour faire peur à ceux qui étaient FN....mais je pense que les choses ont changé....
De plus, ce que tu viens de dire, je l'aurais bien entendu du temps de l'URSS! Tu es sûre que ton rêve n'est pas de nous mettre dans des hôpitaux psychiatriques, comme au bon vieux temps ?
De plus, ce que tu viens de dire, je l'aurais bien entendu du temps de l'URSS! Tu es sûre que ton rêve n'est pas de nous mettre dans des hôpitaux psychiatriques, comme au bon vieux temps ?
FIFE a écrit :Pour qui ? je me le demande ? Au début du post, tu disais le contraire de ce que tu dis maintenant......... icon_mrgreen
Oui,il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis donc j'ai acquis au cour de la journée la conviction que puisque les choses se doivent d'être démocratique, la majorité exècre ce parti,il n'a pas à être invité. icon_mrgreen
- Nombrilist
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- keserasera
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Pour en revenir à Michel Drucker, il faut bien le constater: ses invités sont en majorités trés critiques vis à vis de la "Droite" ! Ce ne sont pas les quelques personnalités de l'UMP ou du Centre qu'on pourrait compter sur les doigts d'une main qu'il fait venir sur son canapé qui pourront prouver son impartialité. Drucker a ses copains et il leur sert la soupe tous les Dimanches. Imaginons le contraire... J'entends les hurlements de la faune socialiste de l'audio visuel "public" (sic) !
Ce type me débecte. Il pue l'agent du show-biz friqué !
Ce type me débecte. Il pue l'agent du show-biz friqué !
"je me suis souvent demandé et me le demande souvent encore, ce qui peut bien différencier une mauvaise bronchite d'une bonne" Pierre Dac
- Libre Plume
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Ce passage cite Michel Drucker, tel qu'il est un homme sensible qui s'exprime sur le décès de Ferrat : «C'est une partie de la France, toute une génération qui a beaucoup de chagrin aujourd'hui", a-t-il dit sur France Info. "Il y avait (Jacques) Brel, (Georges) Brassens, (Léo) Ferré et puis il y avait Jean, c'était le dernier des mohicans».racaille a écrit :Au-delà du simple cas de Marine Le Pen, je trouve assez hallucinant que ce type d'émission fasse désormais partie du parcours obligé de tout politicard tête d'affiche. Certes un passage chez Drucker peut rendre humain le dernier des monstres froids forgé à l'école de la politique républicaine. Mais comment prétendre réellement, en tant que téléspectateur, connaitre mieux tel ou tel lorsque les questions posées par le sieur Drucker ne se focalisent que sur le consensuel et le politiquement correct ?
- Libre Plume
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Désolée, je retire ma question. icon_biggrin
Si cela ne perturbe pas ce sujet, laissons place à la poésie de Jean Ferrat.
De plaines en forêts de vallons en collines
Du printemps qui va naître à tes mortes saisons
De ce que j'ai vécu à ce que j'imagine
Je n'en finirais pas d'écrire ta chanson
Ma France
Au grand soleil d'été qui courbe la Provence
Des genêts de Bretagne aux bruyères d'Ardèche
Quelque chose dans l'air a cette transparence
Et ce goût du bonheur qui rend ma lèvre sèche
Ma France
Cet air de liberté au-delà des frontières
Aux peuples étrangers qui donnaient le vertige
Et dont vous usurpez aujourd'hui le prestige
Elle répond toujours du nom de Robespierre
Ma France
Celle du vieil Hugo tonnant de son exil
Des enfants de cinq ans travaillant dans les mines
Celle qui construisit de ses mains vos usines
Celle dont monsieur Thiers a dit qu'on la fusille
Ma France
Picasso tient le monde au bout de sa palette
Des lèvres d'Éluard s'envolent des colombes
Ils n'en finissent pas tes artistes prophètes
De dire qu'il est temps que le malheur succombe
Ma France
Leurs voix se multiplient à n'en plus faire qu'une
Celle qui paie toujours vos crimes vos erreurs
En remplissant l'histoire et ses fosses communes
Que je chante à jamais celle des travailleurs
Ma France
Celle qui ne possède en or que ses nuits blanches
Pour la lutte obstinée de ce temps quotidien
Du journal que l'on vend le matin d'un dimanche
A l'affiche qu'on colle au mur du lendemain
Ma France
Qu'elle monte des mines descende des collines
Celle qui chante en moi la belle la rebelle
Elle tient l'avenir, serré dans ses mains fines
Celle de trente-six à soixante-huit chandelles
Ma France
Si cela ne perturbe pas ce sujet, laissons place à la poésie de Jean Ferrat.
De plaines en forêts de vallons en collines
Du printemps qui va naître à tes mortes saisons
De ce que j'ai vécu à ce que j'imagine
Je n'en finirais pas d'écrire ta chanson
Ma France
Au grand soleil d'été qui courbe la Provence
Des genêts de Bretagne aux bruyères d'Ardèche
Quelque chose dans l'air a cette transparence
Et ce goût du bonheur qui rend ma lèvre sèche
Ma France
Cet air de liberté au-delà des frontières
Aux peuples étrangers qui donnaient le vertige
Et dont vous usurpez aujourd'hui le prestige
Elle répond toujours du nom de Robespierre
Ma France
Celle du vieil Hugo tonnant de son exil
Des enfants de cinq ans travaillant dans les mines
Celle qui construisit de ses mains vos usines
Celle dont monsieur Thiers a dit qu'on la fusille
Ma France
Picasso tient le monde au bout de sa palette
Des lèvres d'Éluard s'envolent des colombes
Ils n'en finissent pas tes artistes prophètes
De dire qu'il est temps que le malheur succombe
Ma France
Leurs voix se multiplient à n'en plus faire qu'une
Celle qui paie toujours vos crimes vos erreurs
En remplissant l'histoire et ses fosses communes
Que je chante à jamais celle des travailleurs
Ma France
Celle qui ne possède en or que ses nuits blanches
Pour la lutte obstinée de ce temps quotidien
Du journal que l'on vend le matin d'un dimanche
A l'affiche qu'on colle au mur du lendemain
Ma France
Qu'elle monte des mines descende des collines
Celle qui chante en moi la belle la rebelle
Elle tient l'avenir, serré dans ses mains fines
Celle de trente-six à soixante-huit chandelles
Ma France
- keserasera
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Nous parlons ici de Drucker et quelque soit le talent de Jean Ferrat (qui vivait une "France" qui n'existe plus) il n'en demeure pas moins que cet "animateur" du show-biz friqué n'a rien à faire sur les plateaux d'une télévision du service public !
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- Libre Plume
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