Ce que cache l'épouvantail du Front National
- wesker
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Je suis hostile à l'Europe technocratique de Bruxelles qui méprise, ignore la voix des peuples qui s'expriment par le biais de leur bulletin de vote.
Préférant la coopération sur des sujets fondamentaux qui permirent d'ailleurs les succès industriels de l'Europe ainsi que l'attachement aux libertés des peuples, je conteste à l'architecture actuelle son fonctionnement peu démocratique et surtout peu adapté à des situations complexes et evolutives qui demandent de la réactivité et de l'anticipation.
Préférant la coopération sur des sujets fondamentaux qui permirent d'ailleurs les succès industriels de l'Europe ainsi que l'attachement aux libertés des peuples, je conteste à l'architecture actuelle son fonctionnement peu démocratique et surtout peu adapté à des situations complexes et evolutives qui demandent de la réactivité et de l'anticipation.
- Libre Plume
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L’Europe s’est construite avec son histoire ...
La signature du président socialiste orne nombre de traités fondamentaux de l’Union européenne. François Mitterrand signe l’Acte Unique de 1986 et surtout le traité de Maastricht de 1992. Ce texte, qui transforme la CEE en Union européenne à part entière, est le fruit du travail commun de Mitterrand été du chancelier allemand Helmut Kohl. Un travail qui s’accélère avec la réunification allemande de 1990, que la France soutient, même en sachant qu'elle se paiera d'une année de récession économique.
http://www.lefigaro.fr/elections-europe ... europe.php
Pourquoi l’euro? http://ec.europa.eu/economy_finance/eur ... dex_fr.htm
Je pense qu’une coordination souple des politiques économiques nationales est plus facile à dire qu'à réaliser, mais je comprends votre point de vue.
D’autre part, Bruxelles considère la solidarité et le niveau de vie comme les objectifs mêmes d'une société civile, contrairement à ceux qui rejettent les propositions qui vont dans le sens du progrès social.
La signature du président socialiste orne nombre de traités fondamentaux de l’Union européenne. François Mitterrand signe l’Acte Unique de 1986 et surtout le traité de Maastricht de 1992. Ce texte, qui transforme la CEE en Union européenne à part entière, est le fruit du travail commun de Mitterrand été du chancelier allemand Helmut Kohl. Un travail qui s’accélère avec la réunification allemande de 1990, que la France soutient, même en sachant qu'elle se paiera d'une année de récession économique.
http://www.lefigaro.fr/elections-europe ... europe.php
Pourquoi l’euro? http://ec.europa.eu/economy_finance/eur ... dex_fr.htm
Je pense qu’une coordination souple des politiques économiques nationales est plus facile à dire qu'à réaliser, mais je comprends votre point de vue.
D’autre part, Bruxelles considère la solidarité et le niveau de vie comme les objectifs mêmes d'une société civile, contrairement à ceux qui rejettent les propositions qui vont dans le sens du progrès social.
A priori on se fiche de savoir si Bruxelles est progressiste ou réactionnaire. Son rôle devrait se cantonner à un rôle technique d'exécutant, ne tenant compte que de l'opinion des citoyens européens souverains. Normalement c'est comme ça que fonctionne une démocratie digne de ce nom.Libre Plume a écrit :D’autre part, Bruxelles considère la solidarité et le niveau de vie comme les objectifs mêmes d'une société civile, contrairement à ceux qui rejettent les propositions qui vont dans le sens du progrès social.
Ce qui distingue principalement l'ère nouvelle de l'ère ancienne, c'est que le fouet commence à se croire génial. K M
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Normal, ils se déplacent pour rien à chaque fois, étant donné qu'en fin de compte Barroso est toujours en poste, que les députés européens sont systématiquement mis hors-jeu, etc. Pas étonnant que le rejet soit consommé. il faut impérativement donner un nouveau souffle à cette construction et cela ne peut passer que par un sursaut de démocratie dans les instances.
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Tout ça est bien trop indirect ; le message donné par les citoyens européens est dilué en cours de route. C'est du billard à trois bandes : je vote pour untel pour qu'il nomme untel afin que untel soit coopté. C'est du délire !
Ce qui distingue principalement l'ère nouvelle de l'ère ancienne, c'est que le fouet commence à se croire génial. K M
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- wesker
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C'est gentil de rappeler que l'Europe sociala voulue d'ailleurs par les sociaux démocrates, longtemps majoritaires au Parlement Européen a causé tant de dégâts sociaux qui n'en sont d'ailleurs qu'à leurs débuts.
Livré à la concurrence sauvage, nos entreprises sont et seront acculées à la ruine, aux délocalisations, entrainant la baisse des prix et des niveaux de vie des français. C'est cela que les européistes de gauche et de droite sociaux liberaux ou liberaux sociaux ont préparé et poursuivent.
Livré à la concurrence sauvage, nos entreprises sont et seront acculées à la ruine, aux délocalisations, entrainant la baisse des prix et des niveaux de vie des français. C'est cela que les européistes de gauche et de droite sociaux liberaux ou liberaux sociaux ont préparé et poursuivent.
Ce qui est surtout gênant c'est qu'on puisse à la fois se réclamer du socialisme et de la concurrence sauvage !
Je suis assez d'accord avec toi Wesker, surtout dans la manière où tu rends hommage en creux à l'extrême-gauche - qui ne correspond en rien à la description de la "gauche européiste" que tu nous livres
Je suis assez d'accord avec toi Wesker, surtout dans la manière où tu rends hommage en creux à l'extrême-gauche - qui ne correspond en rien à la description de la "gauche européiste" que tu nous livres
Ce qui distingue principalement l'ère nouvelle de l'ère ancienne, c'est que le fouet commence à se croire génial. K M
- wesker
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BEn en réalité...La gauche radicala n'a cessé de cmbattre l'Union Européenne que nous préparait conjointement l'UMP, le PS, le Modem, le Nouveau Centre les Verts, les radicaux...Bref, ceux qui se partagent les responsabilités
En revanche, je conteste à cette gauche radicale le raisonnement encore faussé de "gauche/droite".
En effet, pour être plus concret, la gauche radicale conteste l'union des sociaux libéraux pour promouvoir une europe plus dirigiste encore qui s'impose aux Etats. Accomplissant ainsi l'objectif d'internationalisme alors que l'Europe que defend les nationaux est exactement l'inverse. Privilégiant les coopérations libres et la liberté des peuples, ils refusent un super Etat supranational.
En revanche, je conteste à cette gauche radicale le raisonnement encore faussé de "gauche/droite".
En effet, pour être plus concret, la gauche radicale conteste l'union des sociaux libéraux pour promouvoir une europe plus dirigiste encore qui s'impose aux Etats. Accomplissant ainsi l'objectif d'internationalisme alors que l'Europe que defend les nationaux est exactement l'inverse. Privilégiant les coopérations libres et la liberté des peuples, ils refusent un super Etat supranational.
Effectivement l'extrême-gauche et l'extrême-droite, globalement, ne partagent pas les mêmes idées sur l'Europe. Seul le constat de l'échec de l'Europe soviétique bruxelloise les rapproche.
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- Libre Plume
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http://www.taurillon.org/L-Europe-c-est-nousracaille a écrit :A priori on se fiche de savoir si Bruxelles est progressiste ou réactionnaire. Son rôle devrait se cantonner à un rôle technique d'exécutant, ne tenant compte que de l'opinion des citoyens européens souverains. Normalement c'est comme ça que fonctionne une démocratie digne de ce nom.Libre Plume a écrit :D’autre part, Bruxelles considère la solidarité et le niveau de vie comme les objectifs mêmes d'une société civile, contrairement à ceux qui rejettent les propositions qui vont dans le sens du progrès social.
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