Pourquoi Covoiturage.fr est devenu payant

[Nico37]

L'offre alléchante de la SNCF avec iDVroom pour contrer Blablacar Laure-Emmanuelle HUSSON 10/12

iDVroom, filiale de SNCF, propose de rembourser les trajets effectués en covoiturage pour les usagers du Transilien et du RER C dont le trafic est réduit pour cause de travaux.

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[politicien]

Est-ce que vous utilisez régulièrement le covoiturage ?

[Narbonne]

J'en ai fait 10 ans avec un collègue de travail.

[Nico37]

environ une fois par mois.

[freeze]

a chaque sortie je fais une offre ........

[Baltorupec]

Je viens d'utiliser 3 fois covoiturage.fr, je trouve que le paiement en ligne est une bonne chose car cela évite les désistements de dernière minute pour le conducteur et d'être stressé par le fric une fois en voiture pour le co voituré.

[politicien]

Bonjour,

Ça l’amuse: «Lorsque j’ai investi en 2010 dans BlaBlaCar, qui s’appelait à l’époque Covoiturage.fr, des confrères m’ont écrit “tu fais des deals baba cools”, raconte Jean-David Chamboredon, président du fonds ISAI. Ils y voyaient une sorte d’auto-stop numérique pour des gens avec des bandeaux dans les cheveux!».

Cinq ans plus tard, beaucoup d’investisseurs aimeraient avoir eu son flair. La dernière levée de fonds de 73 millions d'euros, en juillet, laisse penser que la start-up vaudra bientôt 1 milliard d'euros. D’autant que BlaBlaCar, leader mondial du covoiturage de longue distance, a racheté mi-avril son seul véritable concurrent européen, l’allemand Carpooling, pour atteindre 20 millions de membres.

Pourquoi le Mexique?
Aujourd’hui, le site a annoncé qu’il se lançait au Mexique, son 19e marché et le 1er en Amérique. Une implantation surprenante? Pas vraiment. La suppression des subventions à l’essence en 2010 y a fait grimper les prix à la pompe de 72% en 5 ans. De surcroît, le Mexique manque d’infrastructures ferroviaires pour relier ses 14 villes de plus d’1 million d’habitants. Le potentiel était là. Il a suffi à BlaBlaCar de mettre la main sur un acteur local, la start-up Rides, via une stratégie d’acquisition déjà éprouvée dans plusieurs pays, pour s’implanter.

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Des levées de fonds régulières (voir graphique) ont alimenté la croissance exponentielle du site, et contribué à l’amélioration du produit, du recrutement, et surtout, de l’internationalisation, via la marque BlaBlaCar adoptée en 2013. Des augmentations de capital nécessaires, car en dehors de la France et l’Espagne, le service reste gratuit afin de construire rapidement une communauté d’utilisateurs.

A ce jour, BlaBlaCar, qui ne communique pas son chiffre d’affaires, ne dégage toujours pas de bénéfice. Mais avec 290 salariés, ce n’est plus une jeune pousse. En mars, elle a signé un partenariat avec Vinci: sur les autoroutes, des parkings et des péages seront bientôt réservés aux membres de BlaBlaCar.

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L'intégralité de cet article à lire sur challenges.fr

Qu'en pensez vous ?

[Nombrilist]

"En mars, elle a signé un partenariat avec Vinci: sur les autoroutes, des parkings et des péages seront bientôt réservés aux membres de BlaBlaCar."

Vinci a le droit de faire ça sur les autoroutes et les péages ?

[Nico37]

Les concessions de service public laissent tout faire à l'exploitant...