Violences domestiques : la loi du silence

[mps]

Oui, et beaucoup en meurent icon_evil

D'où la nécessité de développer chez les filles des critères mentaux et physiques leur permettant de na pas subir n'importe quoi.

[Vilaine]

Là tu soulèves une vague de fond et c'est complique.

Il faut aussi tenir compte d'un paramètre important, parfois les femmes adoptent ces comportements passifs aussi par necessite financière, ou bien par peur d'être abandonnee sur un plan affectif car elles n'ont personne d'autre dans leur vie (j'en ai connu une). S'en prendre à la source est complexe je pense. Une societe ne peut, de toutes façons, pas fermer ses portes à des personnes en situation de danger, car c'est bien de cela dont on parle.

[mps]

Bien entendu qu'il est difficile pour une mère de famille de déguerpir, de risquer qu'on lui confisque ses gosses, de devoir assurer soudain toute la matérielle, de risquer que ses gosses lui reprochent le divorce, d'avoir l'air d'une cloche, etc.

C'est pourquoi elle a besoin essentiellement :

- de ne pas se laisser taper dessus (et là, crois-moi, les cogneurs ne sont pas de courageux, et q'ils prennent le rouleau à tarte en travers de leur sale face de cake, ils se tiendront à carreau)
- avoir assez de formation pour pouvoir assurer leur auto-suffisance.
- avor un lieu de repli et des conseils juridiques musclés, rôle que jouent souvent très bien des associations.

[Vilaine]

Pas mieux.

Les cogneurs sont des impuissants et des lâches. Les autres, des alcolo. Sic.

[mps]

Toute corbeille de mariée devrait comprendre une batte de baseball icon_confused

[Nico37]

Un portable d’urgence pour lutter contre les violences conjugales Gaëlle Rolin 13/07

Le téléphone d’urgence pour les femmes en très grand danger, déjà pilote dans trois départements français, est lancé à Paris ce vendredi

Faire baisser le nombre de femmes qui meurent sous les coups de leur conjoint, c’est l’objectif de cet outil. Après avoir été expérimenté en Seine-Saint-Denis, dans le Val-d’Oise et le Bas-Rhin, le téléphone d’urgence est lancé dans la capitale. Le point sur son fonctionnement et les conditions de son attribution avec Pascal Paris, responsable des marchés télécoms chez Mondial Assistance, qui coordonne le dispositif.

(...)

[mps]

Cela pourra contribuer à sauver quelques vies.

Mais tant qu'une femme n'a pas compris que la séparation était la seule solution (et beaucoup ne peuvent s'y résoudre pour différentes raisons), elles hésiteront à se plaindre de leur grand mâle dominant, craignant de dérouiller ensuite.

J'ai eu chez moi une exquise petite concierge mauricienne, qui servait de punching ball à son compagnon. J'ai tenté de m'interposer, prenant la fille chez moi, et virant le type. Puis, je me suis attachée à tout mettre en place pour que la victime n'ait aucun problème financier, et soit bien entourée par ses soeurs vivant dans les environs, et lui ai installé un "bouton de panique" dans la conciergerie, mitoyenne de ma maison. Je croyais l'avoir tirée d'affaire. Un mois plus tard, elle nous quittait ... pour se remettre en ménage avec cette ordure !

Après un an, je l'ai revue dans le parking du super-marché, poussant un landeau, et avec deux yeux au beurre noir :evil:

[Gis]

Bonsoir,

Dans le cadre du 3ème plan national interministériel 2011/2013 de prévention et de lutte contre les violences faites aux femmes, une nouvelle campagne de communication intitulée « Violences faites aux femmes – Osez en parler » est lancée en Loire-Atlantique.

La politique de l’Etat s’est notamment traduite par l’adoption d'un nouveau plan triennal interministériel pour la période 2011-2013. Il vise à renforcer les actions mises en œuvre depuis 2005 dans le champ des violences au sein du couple mais également à les amplifier en les élargissant à l'ensemble des violences faites aux femmes (viols, prostitution, violences au travail…)."

L'article en entier sur les services de l'Etat en L.A.

Je suppose que la même campagne est lancée dans chez vous..

[mps]

Bonsoir,

Dans le cadre du 3ème plan national interministériel 2011/2013 de prévention et de lutte contre les violences faites aux femmes, une nouvelle campagne de communication intitulée « Violences faites aux femmes – Osez en parler » est lancée en Loire-Atlantique.

La politique de l’Etat s’est notamment traduite par l’adoption d'un nouveau plan triennal interministériel pour la période 2011-2013. Il vise à renforcer les actions mises en œuvre depuis 2005 dans le champ des violences au sein du couple mais également à les amplifier en les élargissant à l'ensemble des violences faites aux femmes (viols, prostitution, violences au travail…)."

L'article en entier sur les services de l'Etat en L.A.

Je suppose que la même campagne est lancée dans chez vous..

Non. Chez nous, on est pratique ! Et on sait que ces campagnes ne servent strictement à rien. On a donc pris des mesures, nous

- intervention prioritaire de la police 24/24. Si les faits sont constatés, le type est embarqué (bonne nuit, Madame).
- un service spécialisé contacte la victime dès le lendemain : séparation ? divorce ? moyens d'existence ? enfants ? tout y passe.
- si la dame veut sa séparation, avocat, services sociaux si besoin, et psys à sa disposition.
- si elle hésite, le type est relâché avec interdiction des zones fréquentées par sa femme, et traitement psychologique, pour des durées de 3 mois à 1 an.

Note encore que les chiffres avancés par Amnesty sont totalement fantaisistes


http://www.lespapas.com/violence%20conjugale.htm

[politicien]

Bonjour,

À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes, le gouvernement a présenté un plan de lutte, via une circulaire rédigée par le ministère de la Justice et que Le Parisien a pu consulter. Mesure essentielle du dispositif de lutte : encourager le dépôt de plainte, ce qui déclenche automatiquement une enquête, contrairement aux mains courantes, souvent de mise dans ce genre d'affaires. Ces dernières doivent devenir "très exceptionnelles", a précisé la garde des Sceaux.

Chaque année, plus de 216 000 femmes sont victimes de violences commises par leur partenaire, selon des chiffres du gouvernement. Parmi ces victimes, seules 16 % déposent une plainte. En outre, 86 000 femmes rapportent avoir été victimes de viols ou de tentatives de viol et seulement 10 % d'entre elles portent plainte, selon le ministère des Affaires sociales et des Droits des femmes.

(...)

L'intégralité de cet article à lire sur Le Point.fr

Qu'en pensez vous ?

[Nico37]

[mode Johanono]Ce sont des délires féministes[/mode Johanono]