Et qui te dit qu'il y a une Escort à l'autre bout du sms ?Jeff Van Planet a écrit : ↑26 déc. 2018, 11:02:38Surtout que le site mets en relation des ESCORTS avec des clients, ce n'est pas la même chose que des réseaux mafieux de prostitution.
Ohlala : naissance du Uber de la prostitution en Allemagne
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Re: Ohlala : naissance du Uber de la prostitution en Allemagne
Re: Ohlala : naissance du Uber de la prostitution en Allemagne
Excellente remarque. On a assez de recul aujourd'hui sur l'économie uberisée pour s'apercevoir qu'on est de plus en plus loin du modèle qu'on nous vend du self-made-particulier qui vend ses services, et davantage vers un réseau de travailleurs freelance qui gravitent autour d'un noyau. Les logements loués sur Airbnb le sont de plus en plus par des investisseurs dont c'est le métier et cette logique peut s'appliquer à "Ohlala". Mine de rien, cela demande beaucoup d'énergie de prospecter les clients (sans avoir la garantie d'en trouver), de planifier des rendez-vous, de faire de la comptabilité. On peut être tenté de déléguer ça à un proxénète.
En soit, le proxénétisme ne me dérange pas quand il s'assume comme tel. C'est rarement le cas.
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Re: Ohlala : naissance du Uber de la prostitution en Allemagne
Nombrilist a écrit : ↑26 déc. 2018, 13:27:17Et qui te dit qu'il y a une Escort à l'autre bout du sms ?Jeff Van Planet a écrit : ↑26 déc. 2018, 11:02:38Surtout que le site mets en relation des ESCORTS avec des clients, ce n'est pas la même chose que des réseaux mafieux de prostitution.
https://www.nouvelobs.com/les-internets ... magne.htmlL'équipe d'Ohlala promet de vérifier chaque profil d’escort via un entretien téléphonique avant de les accepter sur la plateforme. "Nous nous assurons qu’elles savent ce qu’elles font. Si elles ne parlent pas très bien allemand par exemple, nous ne les acceptons pas"
Le grand problème de notre système démocratique c'est qu'il permet de faire démocratiquement des choses non démocratiques.
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Re: Ohlala : naissance du Uber de la prostitution en Allemagne
ça ne prouve absolument rien.Jeff Van Planet a écrit : ↑26 déc. 2018, 19:33:54Nombrilist a écrit : ↑26 déc. 2018, 13:27:17Et qui te dit qu'il y a une Escort à l'autre bout du sms ?Jeff Van Planet a écrit : ↑26 déc. 2018, 11:02:38Surtout que le site mets en relation des ESCORTS avec des clients, ce n'est pas la même chose que des réseaux mafieux de prostitution.https://www.nouvelobs.com/les-internets ... magne.htmlL'équipe d'Ohlala promet de vérifier chaque profil d’escort via un entretien téléphonique avant de les accepter sur la plateforme. "Nous nous assurons qu’elles savent ce qu’elles font. Si elles ne parlent pas très bien allemand par exemple, nous ne les acceptons pas"
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Re: Ohlala : naissance du Uber de la prostitution en Allemagne
ça prouve qu'il font le tri entre celles qui sont là en sachant ce qu'elles font et les victimes des réseaux.
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Re: Ohlala : naissance du Uber de la prostitution en Allemagne
Non, car tu peux mettre n'importe qui au bout d'un téléphone.Jeff Van Planet a écrit : ↑27 déc. 2018, 08:07:50ça prouve qu'il font le tri entre celles qui sont là en sachant ce qu'elles font et les victimes des réseaux.
Re: Ohlala : naissance du Uber de la prostitution en Allemagne
Y crois-tu toi-même ? Ils sont là pour faire du pognon sur la prostitution et vu les difficultés pour pouvoir faire le tri entre une P.... "qui le veut" (???) parce qu'elle "en a envie" (re ???) et la P.... forcée, je ne suis pas sûr qu'ils vont y mettre beaucoup de watts.Jeff Van Planet a écrit : ↑27 déc. 2018, 08:07:50ça prouve qu'il font le tri entre celles qui sont là en sachant ce qu'elles font et les victimes des réseaux.
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Re: Ohlala : naissance du Uber de la prostitution en Allemagne
je suppose qu'il doit y avoir des commentaires et des notes. Peut être un bouton "signaler un faux profile"?Nombrilist a écrit : ↑27 déc. 2018, 15:18:05Non, car tu peux mettre n'importe qui au bout d'un téléphone.Jeff Van Planet a écrit : ↑27 déc. 2018, 08:07:50ça prouve qu'il font le tri entre celles qui sont là en sachant ce qu'elles font et les victimes des réseaux.
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si tu commençais par ne pas les insulter?Nolimits a écrit : ↑27 déc. 2018, 15:22:09Y crois-tu toi-même ? Ils sont là pour faire du pognon sur la prostitution et vu les difficultés pour pouvoir faire le tri entre une P.... "qui le veut" (???) parce qu'elle "en a envie" (re ???) et la P.... forcée, je ne suis pas sûr qu'ils vont y mettre beaucoup de watts.Jeff Van Planet a écrit : ↑27 déc. 2018, 08:07:50ça prouve qu'il font le tri entre celles qui sont là en sachant ce qu'elles font et les victimes des réseaux.
Le grand problème de notre système démocratique c'est qu'il permet de faire démocratiquement des choses non démocratiques.
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Re: Ohlala : naissance du Uber de la prostitution en Allemagne
Une femme qui b.... pour du pognon : c'est bien une p***, non ?
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Re: Ohlala : naissance du Uber de la prostitution en Allemagne
Non. Elle peut être une prostituée ou une escort girl. Le faite d'utiliser des mots orduriers prouvent que tu n'as pas l'esprit clair et que ce sont tes émotions qui parlent. Ce qui implique un manque de recule et te décrédibilise. La preuve: tu n'as même pas pensé aux mères au foyer:
Bonne fin de quoi qu'il reste de 2018.
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Re: Ohlala : naissance du Uber de la prostitution en Allemagne
Il ne faut pas oublier que malheureusement pour elles, ces femmes sont des poisons biologiques en puissance pour ceux qui les "utilisent" (désolé mais du point de vue du konsommateur, c'est comme ça). MST oblige. Les hommes qui font appel à leur services doivent consommer pas mal je pense et donc ils ramassent des trucs qu'ils leur transmettent ensuite et qu'elles transmettent à leur tour. Le préservatif ne protège pas toujours de tout (parcontre il protège très bien des véritables sensations, ce qui à mon avis a largement contribué à la diminution de son usage ces 10 dernières années).
Re: Ohlala : naissance du Uber de la prostitution en Allemagne
Non. Ce n'est pas "ordurier", c'est "vulgaire et péjoratif" (Cf. Définition dans les dictionnaires) et ça tombe bien car c'est exactement le sens que je voulais lui donner.Jeff Van Planet a écrit :Non. Elle peut être une prostituée ou une escort girl. Le faite d'utiliser des mots orduriers prouvent que tu n'as pas l'esprit clair et que ce sont tes émotions qui parlent. Ce qui implique un manque de recule et te décrédibilise. La preuve: tu n'as même pas pensé aux mères au foyer:
Bonne fin de quoi qu'il reste de 2018.
Re: Ohlala : naissance du Uber de la prostitution en Allemagne
Justement, pourquoi recourir à ce sens ?Nolimits a écrit : ↑30 déc. 2018, 12:09:42Non. Ce n'est pas "ordurier", c'est "vulgaire et péjoratif" (Cf. Définition dans les dictionnaires) et ça tombe bien car c'est exactement le sens que je voulais lui donner.Jeff Van Planet a écrit :Non. Elle peut être une prostituée ou une escort girl. Le faite d'utiliser des mots orduriers prouvent que tu n'as pas l'esprit clair et que ce sont tes émotions qui parlent. Ce qui implique un manque de recule et te décrédibilise. La preuve: tu n'as même pas pensé aux mères au foyer:
Bonne fin de quoi qu'il reste de 2018.
C'est du mépris ?
Re: Ohlala : naissance du Uber de la prostitution en Allemagne
@Yakiv mon idée est de montrer qu'il n'y a pas de prostitution "heureuse", l'emploi de ce mot est pour bien montrer ce que deviennent les femmes qui se prostituent : des p***. Terme communément utilisé et qui est totalement péjoratif.
1/ Mépris ? Oui pour celles qui se prostituent de leur propre chef. Pourquoi mépris ? Car ces femmes contreviennent au principe même des Droits de l'Homme en se réduisant elle-même au statut "d'esclave". Les rédacteurs du Code Civil ont toujours pris énormément de précautions pour définir le "travail" : seule la "force de travail" peut se vendre , le reste (organes, louer son sexe...) n'entre dans le circuit de l'échange qu'à des conditions très rigoureuses définies par la loi (raisons médicales le plus souvent). Le faire, hors de ce cadre, c'est aliéner sa personne à une autre : autrement dit : se réduire à l'état d'esclave. Bref, elles remettent en cause une de nos valeurs les plus fortes : la liberté.
(une référence à lire (qui ne traite pas de la prostitution mais du "travail" dans sa globalité) : Chômeurs ou esclaves - le dilemne français - Philippe Simonnot)
2/ De la commisération pour toutes les autres qui subissent simplement l'exploitation de la misère par des réseaux, par la société.
Et au final, du mépris totale envers cette appli 2.0 qui fait du pognon sur l'exploitation de la misère (qu'elle soit financière (forcée) ou sociale (esclavage), symbole du cynisme absolu de ce capitalisme issu de cette révolution numérique.
1/ Mépris ? Oui pour celles qui se prostituent de leur propre chef. Pourquoi mépris ? Car ces femmes contreviennent au principe même des Droits de l'Homme en se réduisant elle-même au statut "d'esclave". Les rédacteurs du Code Civil ont toujours pris énormément de précautions pour définir le "travail" : seule la "force de travail" peut se vendre , le reste (organes, louer son sexe...) n'entre dans le circuit de l'échange qu'à des conditions très rigoureuses définies par la loi (raisons médicales le plus souvent). Le faire, hors de ce cadre, c'est aliéner sa personne à une autre : autrement dit : se réduire à l'état d'esclave. Bref, elles remettent en cause une de nos valeurs les plus fortes : la liberté.
(une référence à lire (qui ne traite pas de la prostitution mais du "travail" dans sa globalité) : Chômeurs ou esclaves - le dilemne français - Philippe Simonnot)
2/ De la commisération pour toutes les autres qui subissent simplement l'exploitation de la misère par des réseaux, par la société.
Et au final, du mépris totale envers cette appli 2.0 qui fait du pognon sur l'exploitation de la misère (qu'elle soit financière (forcée) ou sociale (esclavage), symbole du cynisme absolu de ce capitalisme issu de cette révolution numérique.
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