Le philosophe Alain avait coutume de dire : "Il faut vouloir être heureux et y mettre du sien. Si l’on reste dans la position du spectateur impartial, laissant seulement entrée au bonheur et portes ouvertes, c’est la tristesse qui
entrera." Il est toujours plus facile, moins coûteux en énergie psychologique, de se laisser aller au malheur. A l’inverse, faire durer le bien-être nécessite des efforts. Je partage ce point de vue. La vie peut être longue, autant cultiver le bonheur, plutôt que de s'attarder sur nos malheurs.
Qu'en pensez vous ?