johanono a écrit : ↑21 déc. 2014, 16:06:59
Vite, une loi pour lutter contre ce problème !
J'espère que c'est de l'humour!
Lorsque des lois doivent régir notre comportementalité, et définir quels doivent être nos comportement sociaux, en plus en protégeant soit une race, soit un genre, soit un état (handicapé par exemple), alors c'est que nous touchons le fond, et que la démocratie s'autodétruit: non seulement nous fabriquons des lois "spécistes" défiant les principes de l'universalisme et des égalité, comme une sorte de discrimination positive, mais en plus, comme dans bien des domaines de la médecine, on soigne la douleur, et jamais le mal. C'est un peu comme si on créait un "état d'urgence" ou un "couvre feu", tellement décrié et qualifié de liberticide lorsqu'il s'agit de terrorisme, mais soudain sympathique lorsqu'il s'agit de mœurs. Pathétique.
Alors attention, je déplore et constate, qu'effectivement, le phénomène de harcèlement sexuel dépasse les bornes. J'ai souvent honte que mes congénères masculins se comportent de la sorte. Mais fouillez bien les lois existantes: elles sont déjà suffisantes, et surtout, non sexuée. La loi n'a pas de sexe!!!
Témoignage perso et coup de g...... Ma femme a travaillé dans la compta d'une grande distribution. Equipe mixte, majorité femme. En 12 ans, jamais un homme ne lui a été désagréable. Par contre, elle a démissionné un jour, parce qu'un clan de femmes l'avait prise pour cible, faisait mine d'ouvrir la fenêtre parce que son déodorant n'était pas à leur goût (soit disant), lui posant des "peau de bananes" partout, lui rendant le quotidien impossible. Je voyais son moral sombrer de jour en jour, surtout que l'idée d'avoir un entretient avec son patron à ce sujet lui était insupportable: "je ne veux pas être une victime" disait elle. Même son syndicat ne pouvait rien pour elle: les autres étaient aussi syndiquées. Omerta. Et les hommes du service, pas aveugles, se sont bien gardés d'ouvrir la boîte de pandore d'un débat avec des femmes, qui n'aurait fait qu'attiser le défoulement de ces femmes de peu d'esprit.
Eh bien elle a démissionné silencieusement, et c'est moi qui l'ait embauché. Alors voilà, ma femme, ce n'est pas le frotti frotta des hommes dans le bus qui la dérange, ce sont ses congénères femmes se comportant comme des hyènes qui ont faillit la faire sombrer, alors qu'elle n'est ni grosse ni laide ni bête, et toute lucidité gardée, plutôt charmante et sociable.
Autant dire que chez nous, les misérabilistes et victimistes passent leurs chemin. Je ne conteste pas qu'il y ait du harcèlement vertical (cadres vers les subalternes, hommes vers les femmes), mais le harcèlement horizontal est bien plus installé (femmes entre elles, hommes entre eux, et de même niveau hiérarchique) et plus "massif" (ados entre eux, sans connotation sexiste).
Tous ces tarés (es) ou détraqués (es) du comportement, hommes, femmes, ont eu un père, une mère, une école. Ou est ce que ça a foiré? On se l'avoue?... ou pas?... parce qu'effectivement, si on ne se l'avoue pas, alors, il vaut mieux faire une loi, et remplir des prisons ou des services psychiatriques. Et ne me sortez pas qu'ils ont eu une enfance malheureuse, parce que la psychologisation, ça commence à me gaver! Surtout dans le pays le plus libre et le plus social du monde!!
Les femmes, jeunes et moins jeunes, qui ont harcelé la mienne, avaient toutes un passé de gosse gâté pourrit, d'enfant roi! Dans le milieu rural, on connait tout le monde! Une ou deux suffisent, la meute suit...
Les femmes ne sont pas des anges. Les hommes non plus, mais on le savait déjà. Si vous voulez savoir de quoi sont capables les femmes, consultez moi, j'ai quelques histoires croustillantes et édifiantes en magasin! Elles ont vite appris!... et sont autant prédatrices que victimes.
Mesdames, un conseil, crayonnez en rouge les zones ou tout contact est un viol: on verra qu'il n'y a pas consensus sur les zones. Ça laisse rêveur en terme de dé-patouillage juridique, bon courage les juges.
Ciao!