Quelques mots de Joëlle Brunerie-Kauffmann relatifs à l'ivg, ont retenu mon attention
et puis réaction à l'amendement :"...rien n'est jamais acquis, surtout dans le domaine des droits des femmes."
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...des députés PS ont choisi de supprimer en commission cette notion de "situation de détresse", considérant qu'une femme enceinte qui, tout simplement, "ne veut pas poursuivre une grossesse", peut "demander à un médecin l'interruption de grossesse".
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Dans un contexte explosif ravivé par les débats qui agitent actuellement l'Espagne, les anti-IVG se sont ainsi donné rendez-vous dimanche 19 janvier place Denfert-Rochereau à Paris, vers 14 heures, pour manifester contre ce changement du texte. Qui risque, selon eux, de générer "une banalisation de l'avortement".
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On en parle aussi sur le forum, avec impact de la loi sur l'égalité homme-femme, sur ce sujet :Mini-miss, IVG, ce que le projet de loi sur l'égalité homme-femme peut changer.
Que pensez-vous des mots de Joëlle Brunerie-Kauffmann à propos de l'ivg ?En France, (grâce à la loi Veil datant de 1975), une IVG peut être pratiquée avant la fin de la douzième semaine de grossesse, soit avant la fin de la quatorzième semaine après le début des dernières règles (14 semaines d’aménorrhée)40. Le droit français préserve en outre une clause de conscience pour permettre aux personnel médical de se soustraire à la pratique de l'IVG.
(source wikipédia)
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