"Citoyen de seconde zone". On avait déjà entendu les représentants du lobby gay se qualifier de "citoyens de seconde zone" au motif qu'ils n'avaient pas le droit au mariage et à l'adoption. Maintenant, ce sont le représentants de ce bled paumé qui utilisent cette expression. C'est manifestement le nouvel argument à la mode pour justifier n'importe quelle revendication.Privés de haut débit, ils refusent de payer leurs impôts
Des habitants de Haute-Vienne protestent contre le coût d'installation des paraboles leur permettant d'avoir accès au haut débit.
Pas de haut débit, pas d'impôts. Afin de manifester leur mécontentement de ne pas avoir accès à un débit Internet supérieur à 512k, les habitants de Bussy, un hameau situé sur la commune de Sainte-Anne-Saint-Priest en Haute-Vienne, ont décidé de ne plus s'acquitter de leurs impôts. «On a décidé de ne plus payer nos impôts parce qu'on est considérés comme des citoyens de seconde zone», explique Thierry Musette au micro de France 3. Se plaignant de ne pas avoir «les mêmes moyens de télécommunications que tout le monde», les habitants de Bussy s'octroient ainsi «un crédit d'impôt» pour financer la parabole nécessaire à un accès Internet via satellite.
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L'accès au haut débit n'est pas un droit que l'Etat devrait garantir. Quand on habite dans un petit village de campagne, il y a des avantages (immobilier pas cher, facilités pour circuler en voiture, pas de pollution atmosphérique, etc.), il faut aussi accepter les inconvénients qui en résultent (relatif isolement).