Yakiv a écrit : ↑28 déc. 2021, 12:32:25
Je ne comprend vraiment pas de quelle planète provient ce genre de polémique.
Il y a simplement quelques notions simples de valeur humaine à appliquer.
L'adage dit "les femmes et les enfants d'abord". Quand il y a un péril mortel et qu'il faut choisir entre les vieux et les enfants, ça ne me choque pas qu'on choisisse de sauver les enfants.
Mais on ne parle pas du tout de ça. On parle d'un choix qui réside entre la vie / mort et l'inconfort. Face à ce type de choix, il n'y a plus de considérations jeunes, vieux qui tiennent. La vie est toujours prioritaire.
On nous explique donc qu'il faudrait laisser les vieux crever pour éviter aux enfants de porter le masque par exemple ?
Moi j'appelle ça du nazisme.
Ne pas tout mélanger. Dans le nazisme, il y a une volonté d'exterminer une partie de la population. Or là, personne n'a dit qu'il fallait exterminer les vieux. Là, on on se demande simplement jusqu'à quel point il faut sacrifier une partie de la population (les jeunes) pour en sauver une autre (les vieux ou moins vieux qui ne se sont pas fait vacciner).
Le problème posé par le masque n'est pas qu'un problème d'inconfort. Le masque nuit au développement des enfants, plusieurs études l'ont montré.
Nombrilist a écrit : ↑28 déc. 2021, 13:48:50
Disons qu'après deux ans, dont un an de possibilité pour être vacciné, l'effort demandé aux 11- devrait être réduit et l'effort demandé aux adultes devrait être drastique, mettant de côté les "libertés" à la noix de coco qui ne font jamais que mettre davantage de pression sur les jeunes. Or, c'est le contraire qui est fait. On laisse les non vaccinés faire n'importe quoi, y compris ne pas porter le masque dans les locaux accueillant du monde. Maintenant, il faut siffler la fin de la récré et aller vacciner les quelques millions d'antivax en allant les chercher jusque dans les chiottes.
Tout à fait.
Par ailleurs, il faut avoir conscience que cette pandémie est partie pour durer. L'auteur du texte a raison de vouloir se projeter dans l'avenir. L'auteur de l'article a raison de souligner que l'argument selon lequel le masque à l'école permet de protéger les plus fragiles (et aussi les irresponsables, parce qu'il s'agit bien de ça) cet argument risque de rester valable à jamais.