Je n'ai pas de solution miracle à part ce que j'ai déjà énoncé: il faut mettre en place une évaluation et une notation semestrielle et annuelle des cadres de la fonction avec une part de salaire variable sur objectifs collectifs (budgets, KPIs de santé ou de délinquance, absentéismes, sécurité) et individuels (exécutions de plans d'actions d'amélioration, budget et KPIs du périmètre de gestion), et avec un ranking : les 10% de meilleurs promus et les 10% de plus mauvais virés. En gros ce qui se fait dans toutes les entreprises moyennes et grandes. Il faut y ajouter le fait de virer ceux qui commettent des fautes lourdes et graves et ceux qui font des grosses conneries par incompétence ou manque d'investissement personnel.
On fait comme dans les grands groupes privés: une formation et un chèque et c'est tout. Il faut punir l'incompétence, la foutaise et la paresse sinon les incompétents, foutistes et paresseux se multiplient par l'exemple.Nombrilist a écrit : ↑07 mars 2021, 13:25:19Je finis par me demander si tu n'as pas raison sur certains constats. Je suis encore loin d'adhérer aux solutions parcontre. On en ferait quoi des gens non performants de l'administration? Personne n'en voudrait dans le privé. On les met au RSA anticipé?
Je te rappelle que l'Etat a un surplus de 200 préfets et s-préfets, tous énarques ou écoles illustres placardés/chargés de missions obscures. C'est inadmissible, et c'est très mauvais pour l'exemple. En gros on a 2 préfets en rab pour 100 départements !