Alors je sais, je suis un homme, je ne peux donc pas mesurer l'atroce souffrance que représente, pour les femmes, le fait d'avoir des règles chaque mois.Règles : les députés ne s’en tamponnent plus
Toxicité des protections hygiéniques, précarité menstruelle… La question des règles, sujet tabou et ignoré jusqu’à peu par le débat politique, fait l’objet d’un rapport inédit remis mardi à l’Assemblée nationale.
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Mais en fait, je suis très partagé...
Ce qui me gêne, c'est qu'on parle d'un sujet très personnel à chacune. Appartient-il à l’État, aux pouvoirs publics, d'intervenir sur un sujet qui relève à ce point de l'intimité de chaque personne concernée ?
D'un autre côté, je préfère que des féministes se battent sur un sujet comme ça, pour améliorer les conditions de vie des femmes concernées, plutôt que sur des gadgets comme la féminisation des titre, l'usage du "Mademoiselle" dans les formulaires, ou l'emploi du rose dans certains livres...