L'état providence et les inégalités sociales, une relation symbolique - Introduction.

[Baltorupec]

Le concept même de la loi n'est pas remis en cause, c'est son usage abusif pour tout et n'importe quoi qui l'est.

Le consommateur n'est pas demandeur d'acides gras trans. Par contre, une loi antilibérale et liberticide par excellence consiste à surtaxer des produits à forte demande (tabac, sodas...).

Parce que l'état gère la sécu et les gros et les fumeurs coûtent chers.

[Albedo]

C'est la conséquence logique du constructivisme. Les législations antérieures nécessitent pour leur correction ou leur adaptation à une situation changeante de faire de nouvelles législations, et ce ad vitam eternam.

[Baltorupec]

Oui, mais là quelque soit le système.

[Albedo]

La justice peut apparaitre sous cet angle là parfois. Le droit découvert évolue avec les nouvelles situations. Ce que je veux dire, c'est que quand une organisation comme le gouvernement veut atteindre un objectif quel qu'il soit, la législation qui va avec à forcément tendance à gonfler et vers des situations de plus en plus intrusives.

On pourrait imaginer une "loi" obligeant les fumeurs à faire du sport en conséquence de l'incapacité de la précédente à traiter le problème ou pour palier à un défaut de conception.

[Incognito]

Pour un peu foutre le bordel sur ce fil: What Do Rich Countries Have in Common? Big Government!
http://www.bloombergview.com/articles/2 ... o-get-rich

According to Acemoglu -- who is one of the most respected economists in the business, and who specializes in development and growth economics – it’s weak states, not overbearing ones, that hold back growth in much of the developing world.

Acemoglu marshals an impressive array of evidence in support of his claim. For example, he cites evidence that countries in Africa with a history of centralized tribal institutions are richer today, and research showing that countries with a longer tradition of big government developed faster.

He then weaves a theory to explain the evidence. The theory isn't very complicated, and relies on the simple idea that public goods boost economic activity. Governments that are more effectively able to tax and regulate economic activity -- an ability that Acemoglu calls “state capacity” -- are able to provide more public goods, and therefore to outgrow countries with weak states.