Le racisme anti-blanc : une réalité dans les banlieues
Re: Le racisme anti-blanc : une réalité dans les banlieues
Un cas bien particulier que celui de Fameck, une commune qui n’est pas la banlieue d’une grande ville mais qui à elle seule peut s’assimiler à une cité « difficile », trois anciens villages qui comptent environ 2000 habitants et des immeubles qui abritent une population d'environ 11000habitants.
Sur les 13000 habitants il y a environ 3000 étrangers répartis en une quarantaine de nationalités et 6 à 7000 habitants d’origine étrangère, en majorité des Maghrébins, c’est dire que la population française de souche est faible.
Les turbulences qui agite l’ES Fameck ne datent pas d’hier et elles ne peuvent s’inscrire dans un « racisme anti-blanc» car des dissensions existent à l’intérieur même des communautés d'origine étrangères.
Actuellement se déroule un festival du film Arabe dans cette ville.
Sur les 13000 habitants il y a environ 3000 étrangers répartis en une quarantaine de nationalités et 6 à 7000 habitants d’origine étrangère, en majorité des Maghrébins, c’est dire que la population française de souche est faible.
Les turbulences qui agite l’ES Fameck ne datent pas d’hier et elles ne peuvent s’inscrire dans un « racisme anti-blanc» car des dissensions existent à l’intérieur même des communautés d'origine étrangères.
Actuellement se déroule un festival du film Arabe dans cette ville.
Modifié en dernier par Vincendix le 02 nov. 2011, 09:04:04, modifié 1 fois.
Comme un collier de joyaux rares dont le fil rompu laisse lentement tomber des gouttes de lumière, la vie égrène nos jours.Georges Clemenceau
Re: Le racisme anti-blanc : une réalité dans les banlieues
Tiens, j'ai vu hier qu'une allumée musulmane, qui semble avoir inventé les "souschiens", sera la première à répondre devant la Cour de "racisme anti-français".
Enfin !
Enfin !
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
Re: Le racisme anti-blanc : une réalité dans les banlieues
Copé dénonce l'existence d'un racisme anti-blanc
Copé n'a fait que dénoncer une évidence. Mais manifestement, certaines vierges effarouchées sont choquées...
Copé n'a fait que dénoncer une évidence. Mais manifestement, certaines vierges effarouchées sont choquées...
Re: Le racisme anti-blanc : une réalité dans les banlieues
Je suis contre ce terme, comme je suis contre le terme racisme anti-noir ou racisme anti-arabe etc...
C'est du racisme tout court.
C'est du racisme tout court.
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI.
Re: Le racisme anti-blanc : une réalité dans les banlieues
En fait, on use et abuse du terme racisme, qui consiste à ne juger une personne que sur ses signes ethniques visibles. Pas une preuve d'intelligence.
Mais la personne qui couine sur les "bougnouls" mais fait toute confiance à son chirurgien tunisien, n'est pas "raciste".
Elle manifeste un phénomène naturel, qui est celui de l'in-group/out-group.
Elle n'aime pas les loubards, comme les supporters de Paris St Germain n'aiment pas les gens de Manchester, ou les prolos marxistes n'apprécient guère les jeunes de Neuilly (qui le leur rendent bien).
Chacun n'est que la somme des groupes auxquels il appartient. Cela n'a rien à voir avec le racisme.
Mais ces "sentiments" ne doivent pas donner lieu à de l'agressivité, ou à un préjugé inepte.
Je peux détester le foot et ceux que cela passionne, mais aimer la cuisine d'une supporter enragée.
Mais la personne qui couine sur les "bougnouls" mais fait toute confiance à son chirurgien tunisien, n'est pas "raciste".
Elle manifeste un phénomène naturel, qui est celui de l'in-group/out-group.
Elle n'aime pas les loubards, comme les supporters de Paris St Germain n'aiment pas les gens de Manchester, ou les prolos marxistes n'apprécient guère les jeunes de Neuilly (qui le leur rendent bien).
Chacun n'est que la somme des groupes auxquels il appartient. Cela n'a rien à voir avec le racisme.
Mais ces "sentiments" ne doivent pas donner lieu à de l'agressivité, ou à un préjugé inepte.
Je peux détester le foot et ceux que cela passionne, mais aimer la cuisine d'une supporter enragée.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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Re: Le racisme anti-blanc : une réalité dans les banlieues
Bonjour,
Un racisme anti-Blanc se développe bien dans les quartiers des grandes villes pour 56% des Français et ils sont 51% à penser que le secrétaire général de l'UMP, Jean-François Copé, a eu raison d'en parler, selon un sondage TNS-Sofres pour i<Télé.
Pour 56% des Français, l'UMP et le Front national sont en désaccord sur l'essentiel mais partagent certaines idées, un sentiment répandu chez les sympathisants UMP (77%) et FN (68%). L'idée exprimée par Jean-François Copé dans un livre intitulé "Manifeste pour un droite décomplexée" selon laquelle se développe dans les cités une animosité envers les Blancs, qualifiés de "gaulois", est partagée par 56% des Français, et 84% des sympathisants de droite, contre 27% qui ne sont pas d'accord avec cette affirmation.
http://www.europe1.fr/France/Le-racisme ... 6-1255839/
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire »
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Re: Le racisme anti-blanc : une réalité dans les banlieues
La formule est maladroite mais on sait très bien de quoi l'on parle. Il n'y a pas de mots plus percutants. Ceux qui réfutent l'idée d'un racisme anti-blanc en s'engageant dans un débat sémantique sont de mauvaise foi.
Cela dit, Copé devrait éviter d'écouter Buisson, la dernière personnalité que ce type a conseillé a perdu.
Cela dit, Copé devrait éviter d'écouter Buisson, la dernière personnalité que ce type a conseillé a perdu.
Re: Le racisme anti-blanc : une réalité dans les banlieues
Je ne réfute pas l'idée mais le terme Mouarfs et pas que pour les blancs. Le racisme est une konnerie universelle.
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI.
Re: Le racisme anti-blanc : une réalité dans les banlieues
Je l'avais bien compris mais on ne répond pas au "racisme anti-blanc" de la même façon que l'on répond au "racisme anti-Noir" ou "anti-Maghrébin", d'où la nécessité - sans doute - de les classer et catégoriser.
Re: Le racisme anti-blanc : une réalité dans les banlieues
Pourquoi n'y répondrait-on pas de la même façon ? La réponse judiciaire devrait être la même pour tous ces abrutis qui se sentent les plus forts car majoritaires, peu importe la couleur de peau des protagonistes. Quand à la réponse sociale, je n'y crois pas trop, le racisme ça s'incruste bien profondément dans le cerveau.
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI.
Re: Le racisme anti-blanc : une réalité dans les banlieues
Je parlais moins de la réponse judiciaire que de la façon de communiquer sur ces formes de racisme. Chacune de ces formes est motivée différemment.
Re: Le racisme anti-blanc : une réalité dans les banlieues
Ok. Mais en faisant une communication universelle, on peut aller dans le sens d'une communauté humaine qui répond à la haine sans catégoriser. Il me paraitrait moins populiste de dire qu'on a trop fait d'angélisme sur les autres cultures par rapport au racisme que de parler de racisme "anti-blanc", terme qui sent bon le "communautarisme blanc" justement.
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI.
Re: Le racisme anti-blanc : une réalité dans les banlieues
Un nouvel exemple du racisme anti-blanc :
Carcassonne. Le chef Michel del Burgo agressé à la Conte
Comment décrire l'état d'esprit qui est celui, actuel, de Michel del Burgo ? Colère ? Dégoût ? Incompréhension ? C'est un peu tout à la fois. Mardi soir, vers 18 h 30, le grand chef cuisinier qui s'apprête à ouvrir un restaurant de grand prestige à Carcassonne a été victime d'une agression qu'il ne s'explique pas. Et qui le rend malade. Il raconte.
«Je sortais de mon établissement et me rendais en centre-ville en voiture en passant par le quartier la Conte. Je me suis arrêté à hauteur du bureau de tabac, de l'autre côté de la chaussée, pour répondre à un appel téléphonique… Tandis que je discutais, j'ai entendu des cris : «casse-toi de là, sale Français. T'es pas chez toi ici, casse toi !», raconte-t-il. «Sur le moment, ajoute-t-il, je n'ai pas pris ces invectives pour moi». Et de poursuivre sa conversation… «Tout d'un coup, une pierre est venue briser la vitre latérale du véhicule utilitaire, un petit camion frigo. Et puis une seconde a fait exploser le pare-brise», raconte Michel Del Burgo qui n'a eu d'autre choix que de démarrer et partir.
suite
Re: Le racisme anti-blanc : une réalité dans les banlieues
Un exemple d'agression raciste tout court
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI.
Re: Le racisme anti-blanc : une réalité dans les banlieues
" Racisme anti-Blanc " : M. Copé, je suis Arabe, laissez-moi vous expliquer le racisme
Modifié le 28-09 Mohamed du Val d'Oise, Arabe - Édité et parrainé par Hélène Decommer
LE PLUS. "Un racisme anti-Blanc se développe", dixit Jean-François Copé, candidat à la présidence de l'UMP. Un de ceux qui entraînent une discrimination à l'école, des contrôles de police sans motif et des difficultés accrues pour trouver du travail ? Parce que c'est celui-là que connaît bien Mohamed (prénom d'emprunt), qui livre ses anecdotes.
(...)
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