Islam: l'arbre qui cache la forêt des changements sociétaux?

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GIBET
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Message non lu par GIBET » 25 nov. 2010, 18:18:00

Une information qui devrait nous inciter à nous poser de vraies questions de société plutôt que d'avoir exclusivement un œil sur l'Islam.
L'Église évangélique avance encore plus vite ... et sans bruit!
Qui menace le plus notre culture traditionnelle?
GIBET
Source : http://www.lenouveleconomiste.fr/anges-ou-demons-0097/

24.11.2010

Evangéliques et islamistes prospèrent sur le recul de l’Etat et des courants traditionnels



Les Eglises évangéliques et les mouvements de réislamisation ne connaissent pas la crise de la foi. Leurs temples et leurs mosquées sont pleins et le nombre de leurs fidèles ne cesse de croître, signe d’un recrutement mené avec efficacité. Bien que les cultes soient différents, les stratégies se rejoignent. Les évangéliques comme les islamistes occupent le terrain pour aller, sans relâche, au contact des non-pratiquants ou des déçus des communautés traditionnelles. L’un comme l’autre accordent autant d’importance à l’action sociale qu’à l’action cultuelle… ce qui ne peut que séduire une population touchée de plein fouet par le recul de l’Etat providence. Ce prosélytisme mené tambour battant, s’il ne menace pas directement la sécurité nationale, véhicule néanmoins de véritables risques de comportement sectaire ou de repli communautariste. Or les pouvoirs publics n’y font face que très maladroitement.

Chaque dimanche à Saint- Denis (Seine-Saint-Denis), Nono Pedro fait le plein. 4 à 5 000 fidèles viennent assister à l’un des trois offices de fin de semaine dirigés par ce pasteur, devenu en deux décennies le leader d’une des plus puissantes Eglises évangéliques d’Ile-de-France. “Charisma” compterait au total 10 000 membres, désireux d’écouter religieusement, à la fin de chaque office, un sermon de près de 50 minutes durant lequel l’orateur, en nage, changera plusieurs fois de chemise. Cet engouement serait-il uniquement lié à une personnalité dotée d’une capacité d’entraînement hors du commun ? Loin s’en faut.

Le sociologue Sébastien Fath ausculte depuis plusieurs années les mouvements évangéliques, au point d’en être devenu le spécialiste incontesté en France.

Il observe une montée en puissance continue de ce courant : “Les Eglises évangéliques comptaient 50 000 fidèles après guerre, ils sont 500 000 aujourd’hui. Il se crée, en ce moment, une communauté tous les dix jours.”

Au total, plus de 2 000 lieux de prière sont recensés et une fédération a même été créée pour les représenter au sein du mouvement protestant. Cette croissance repose sur une réelle capacité à recruter régulièrement de nouveaux fidèles, non pratiquants au départ, ou issus d’Eglises traditionnelles.

L’islam connaît, de son côté, la même évolution. Au cours des vingt dernières années, des mouvements orthodoxes, comme le tabligh, le salafisme ou les Frères musulmans ont conquis une réelle audience, plus particulièrement chez les moins de 30 ans. Et cette montée en puissance s’est faite au détriment de ce que les plus radicaux appellent “l’islam de papa”. En clair, la pratique plus discrète qui était le marqueur de la première génération de l’immigration, arrivée en France dans les années 1960. La rupture se serait donc opérée entre les parents et leurs enfants, voire leurs petits-enfants : “Ils sont dans une logique individuelle d’appropriation de la religion, parce qu’ils s’appuient sur un capital scolaire, un accès aux nouvelles technologies de l’information et une capacité d’intellectualisation de la religion dont ne bénéficient pas leurs parents”, relève Claire de Galembert, chercheur au CNRS et auteur de nombreux travaux sur les relations entre municipalités et communautés musulmanes.



Un discours attendu par les fidèles

Au sein de l’Islam de France, c’est sans doute le mouvement tabligh qui, le premier, a mis en place des techniques particulièrement efficaces de recrutement des nouveaux fidèles. D’origine indo-pakistanaise, cette mouvance se fonde sur un grand classique de la communication : la transmission du message d’un émetteur à un récepteur. “Ils organisent régulièrement des conférences dans les mosquées au cours desquelles l’orateur insiste sur l’obligation pour un bon musulman d’aller prêcher la bonne parole”, décrit Samir Amghar, chercheur à l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS) et auteur de l’ouvrage L’Islam militant en Europe à paraître au mois de mars prochain. (Editions Infolion). Le message est ensuite diffusé par une partie de ceux qui ont assisté à ces conférences directement sur le terrain, d’une ville à l’autre. “Les militants qui se déplacent paient d’ailleurs leur billet de train de leur poche”, constate Samir Amghar. Et pour recruter le plus grand nombre, les fidèles du tabligh n’hésitent pas être extrêmement pragmatiques dans leur discours. Notamment à l’égard de jeunes des quartiers défavorisés, souvent dépourvus au départ de toute pratique religieuse. “Il y a une forme de marketing religieux où les jeunes parlent aux jeunes et leur expliquent qu’il n’est pas nécessaire de sacrifier leur vie antérieure. Ils peuvent donc continuer à fréquenter les discothèques, mais doivent aussi aller à la mosquée”, décrypte le sociologue de l’EHESS.

Cette notion de message reformaté pour répondre aux nouvelles attentes des fidèles se retrouve également dans le discours évangélique. A la différence de l’Eglise catholique ou réformée traditionnelle, cette mouvance du protestantisme accorde une place importante au Saint-Esprit et à la lecture quotidienne de la Bible.

“Chez les pentecôtistes notamment, l’accent est mis sur la guérison et le miracle”, note le chercheur Sébastien Fath. Or ce courant qui accorde une grande importance au contact avec le divin connaît un essor mondial. “La planète compte aujourd’hui près de 500 millions de pentecôtistes et si la croissance continue à ce rythme, il y en aura 850 millions en 2025”, note le pasteur Jean-Claude Boutinon. Cet ancien élève du catéchisme illustre la montée en puissance du courant évangélique dans l’Hexagone. Revenu du Burkina Faso en 1976, après y avoir enseigné, il crée à Sarcelles

(Val-d’Oise) l’Union des Eglises chrétiennes évangéliques. Les 35 fidèles d’hier sont aujourd’hui 1 450, répartis sur six communes du département, qui comptent chacune un lieu de prière. L’association cultuelle présidée par le pasteur Boutinon fonctionne avec 5 salariés et un budget de 500 000 euros entièrement alimenté par les dons des fidèles. Et visiblement, la concurrence, représentée par l’Eglise réformée traditionnelle, en souffre.

Le temple protestant sarcellois le plus proche réunit 30 personnes lors de son office hebdomadaire, quand Jean-Claude Boutinon doit organiser trois offices différents, en fin de semaine, pour accueillir 750 fidèles.



Une réponse au

questionnement identitaire

La capacité à séduire de nouveaux fidèles ne repose pas uniquement sur le discours religieux. Les prêcheurs musulmans ou évangéliques savent détecter le besoin d’identité et de reconnaissance de femmes et d’hommes en mal de racines. Claire de Galembert s’est penchée sur l’apparition croissante du voile dans certains quartiers : “Elles finissent par se convaincre de le porter, en se disant qu’elles y sont venues spontanément. Entre une identité d’origine difficile à retrouver et une intégration qui ne tient pas ses promesses, elles cherchent leurs normes.” Or le tabligh, les salafistes ou les frères musulmans ont anticipé ce besoin identitaire. A la tête de l’association Foi et pratique, un des courants du tabligh, Hamadi Amami gère

5 mosquées en région parisienne et revendique 5 000 fidèles. Il estime que son courant répond avant tout à une demande : “Les musulmans issus de l’émigration nord-africaine ont envie d’approfondir leur religion et d’apprendre.” L’imam de la mosquée de Drancy, Hassen Chalgoumi, connu pour ses positions modérées, avance une explication différente : “Les jeunes ne sont pas allés vers la mosquée, mais le tabligh est allé vers eux en leur expliquant que leurs souffrances et leurs problèmes quotidiens étaient dus à leur manque de foi.”



Un prosélytisme festif

Force est de constater que comme pour l’islam, l’engouement suscité par les Eglises évangéliques repose sur un prosélytisme efficace en direction des non-pratiquants mais aussi des déçus du christianisme traditionnel. “Ils sont militants et n’hésitent pas à faire du porte-à-porte ou à créer des lieux de sociabilité dans lesquels on partage des repas”, note Sébastien Fath qui estime que la moitié des fidèles sont d’anciens catholiques. La différenciation se joue également sur la forme. Face à l’austérité traditionnelle du culte protestant ou catholique, les évangéliques ont su créer une atmosphère plus festive. Durant les offices d’abord, souvent célébrés en musique et suivis d’un sermon dans lequel sont abordés sans tabou les problèmes du quotidien. Mais aussi, dans la convivialité qui s’instaure dans le fonctionnement communautaire. En marge des offices, s’instaure un rituel composé de repas, de mécanismes d’entraide, permettant de renforcer la cohésion de fidèles qui ne se retrouvent plus uniquement pour célébrer des offices religieux.

Terrain idéal, les quartiers populaires et les banlieues sensibles Hasard ou coïncidence, le renouveau islamique et les Eglises évangéliques ciblent majoritairement les mêmes territoires de l’Hexagone : les quartiers populaires et les banlieues sensibles. Tablighs et salafistes y trouvent naturellement des sympathisants, mais aussi le terrain idéal pour y mettre en place des actions sociales et éducatives qui les rendent rapidement incontournables. “Nous organisons des cours d’alphabétisation dans les deux sens, arabe/français mais aussi français/arabe. Ils sont dispensés par des bénévoles”, détaille Hamadi Amami de l’association Foi et pratique. “Le tabligh organise aussi bien des colonies de vacances que du soutien scolaire”, renchérit le sociologue Samir Amghar. “La montée en puissance de ces mouvements se fait sur les décombres de la politique de la ville. Nous sommes dans une situation où l’Etat se retire et paralèllement, nous assistons à une montée en puissance du communautarisme”, s’inquiète la sociologue Claire de Galembert. La nature ayant horreur du vide, les évangéliques surfent également sur cette demande d’accompagnement social à laquelle la puissance publique répond de moins en moins. D’autant qu’une bonne partie de leurs sympathisants est afro-antillaise ou issue de l’immigration asiatique, donc souvent démunie de réseau et de connaissance face à la machine administrative. “Les populations migrantes ont besoin de perspective et d’espoir, le mouvement évangélique s’occupe de leur trouver un logement, de leurs démarches en vue d’obtenir un titre de séjour. Ces Eglises fonctionnent comme des welfare churches face aux ratés de l’Etat providence”, constate, lui aussi, le spécialiste de l’évangélisme Sébastien Fath.



Des risques de dérive sectaire

La popularité croissante de ces mouvements n’a pas pour seul effet de renvoyer les ordres religieux traditionnels à de cruelles réalités. Les pouvoirs publics, mais aussi certains leaders religieux modérés, s’inquiètent des dérives, certes minoritaires mais réelles, des plus extrémistes. Deux Eglises évangéliques sont actuellement dans la ligne de mire de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes). L’Eglise évangélique de Pentecôte de Besançon pour l’emprise qu’elle développe sur ses membres. Quant à l’Eglise universelle du rayonnement de Dieu (EURD), d’origine brésilienne, c’est la manière dont est constitué son important patrimoine immobilier qui intéresse la Miviludes. Plus globalement, Sébastien Fath s’inquiète d’un risque “insulaire” qui pourrait conduire certaines Eglises à afficher un complexe de supériorité morale et religieuse et à rejeter ainsi tout ce qui ne fait pas partie de leur monde. “Cela peut entraîner la déscolarisation des enfants au profit de home schools.” Par ailleurs, la plupart des Eglises évangéliques privilégient la légitimité du pasteur, c’est-à-dire d’un seul homme, parfois autoproclamé, plutôt que celle des textes. “A ce moment-là, le risque de mégalomanie, de dérive financière ou d’abus sexuel existe”, prévient Sébastien Fath.



La tentation communautariste

plus que le terrorisme

Du côté de l’Islam, l’inquiétude ne vient pas particulièrement du risque terroriste. Les renseignements généraux (RG) hier, la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) aujourd’hui, ont une bonne connaissance de la plupart des mouvements. C’est d’ailleurs ce qui leur a permis de déjouer, début novembre, un projet d’assassinat contre le recteur de la mosquée de Paris, Dali Boubakheur, chef de file des modérés. En revanche, l’inquiétude demeure quant au risque de repli communautariste et d’endoctrinement de certains fidèles. “Il existe un risque de radicalisation de type sectaire dont le voile intégral est l’élément le plus prégnant. L’objectif devient alors de négocier l’existence d’une identité islamique dans les espaces publics tels que les écoles, les magasins…”, analyse le chercheur Samir Amghar. L’attention se focalise particulièrement sur un mouvement : le salafisme, né en Arabie Saoudite. Il contrôle aujourd’hui une vingtaine de mosquées et compte 10 000 sympathisants. Leur leader est le prédicateur Abdel Ali Doudi qui officie à Marseille. “L’idéologie salafiste est moins accommodante, plus repliée sur elle-même que celle du tabligh et elle s’inscrit dans un recrutement plus élitiste”, détaille Samir Amghar. “Leur technique de recrutement passe par le financement de voyages à La Mecque, ou encore l’organisation de cours à domicile”, décrit un responsable communautaire qui préfère garder l’anonymat. “La plupart des salafistes ont voulu suivre leur copain, c’est une étape transitoire qui ne va pas durer. A 40 ans, ils verront la vie différemment”, tempère l’imam de Bordeaux Tareq Obrou. Reste que pour l’heure, la confrontation entre les traditionnels et les orthodoxes vire à l’orage en région parisienne. “Il y a en ce moment une guerre des mosquées dans laquelle les lieux de prière et les croyants sont pris en otage”, s’inquiète l’imam de Drancy Hassan Chalgoumi. Pour avoir tenu des propos d’ouverture et participé à des réunions interconfessionnelles, ce dignitaire religieux vit aujourd’hui avec une protection rapprochée fournie par le ministère de l’Intérieur. La mosquée dans laquelle il officie a été envahie par des individus qui l’ont insulté et les menaces de mort téléphoniques à son égard l’ont obligé à suspendre sa ligne fixe. Aujourd’hui, plusieurs mosquées comme celles de Guyancourt, de la Courneuve ou de Bondy sont l’objet de luttes de pouvoir entre modérés et radicaux.

Les communautés traditionnelles dépassées Le Conseil français du culte musulman (CFCM), unique instance de représentation de l’Islam en France, n’est pour le moment pas intervenu dans cette guerre des courants. Et pour cause. Le tabligh y est représenté tout comme les Frères musulmans, un courant orthodoxe d’origine égyptienne dont se revendique notamment le très médiatique prédicateur Tariq Ramadan. En France, il est incarné par la puissante Union des organisations islamistes de France (UOIF), l’association la plus structurée de toute l’Ile-de-France. La participation de ces mouvements au CFCM leur impose néanmoins un minimum d’institutionnalisation et l’adhésion à une ligne commune. Ainsi le tabligh a approuvé, certes du bout des lèvres, la loi interdisant le port du voile intégral dans l’espace public.

Dans le monde chrétien, la Fédération protestante a intégré la Confédération nationale des évangéliques de France. Quant à l’Eglise de France, elle semble quelque peu dépassée par ce mouvement. Pour preuve, la montée en puissance des diacres consacrés : “Il s’agit de laïcs qui prennent en charge les besoins des fidèles en l’absence de prêtres. Sans le dire, l’Eglise catholique a mis en place des pasteurs catholiques mariés et ayant une activité professionnelle”, constate le sociologue Sébastien Fath.



Les pouvoirs publics embarrassés

Confronté à l’efficacité de ces nouveaux missionnaires chrétiens ou musulmans, l’Etat, en principe neutre et laïque, se retrouve en position délicate. Pas question d’intervenir, sauf si un véritable trouble à l’ordre public est constaté. Mais surtout, le ministère de l’Intérieur doit composer avec ces courants qui deviennent chaque jour plus représentatifs. Plus d’un ministre a fait le déplacement au Bourget lorsque chaque année, L’UOIF réunit 50 000 personnes pour sa convention annuelle. A l’échelon local, le pragmatisme est souvent encore plus marqué : “Que l’on soit maire ou responsable de la police, il vaut toujours mieux avoir des relais communautaires pour maintenir l’ordre public”, constate, lucide, le chercheur Claire de Galembert.

Faut-il néanmoins y voir un signe ? Après avoir longtemps pratiqué la politique de l’autruche, l’administration pénitentiaire vient tout juste de commanditer une grande enquête sur le prosélytisme religieux en milieu carcéral.



Par Franck Bouaziz
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sarkonaute
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Message non lu par sarkonaute » 25 nov. 2010, 22:50:00

quel foutage de g..... de comparer le développement des communautés chrétiennes pacifiques aux islamistes qui cultivent le séparatisme, la haine et la violence.
Tous ensemble pour un nouveau rêve bleu avec Nicolas Sarkozy en 2012

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El Fredo
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Message non lu par El Fredo » 25 nov. 2010, 23:09:00

L'article compare les stratégies d'expansion, pas les doctrines ou les objectifs.
If the radiance of a thousand suns were to burst into the sky, that would be like the splendor of the Mighty One— I am become Death, the shatterer of Worlds.

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Message non lu par sarkonaute » 25 nov. 2010, 23:11:00

il les mets sur le même pied.
cette comparaison n'a simplement pas lieu d'etre, sauf à vouloir atténuer la barbarie islamiste.
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El Fredo
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Message non lu par El Fredo » 25 nov. 2010, 23:56:00

Quand le sage montre la lune du doigt, l'imbécile regarde le doigt.
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Message non lu par sarkonaute » 26 nov. 2010, 00:04:00

des proverbes à la c.. j'en connais des tas si tu veux.
toujours là quand il, faut défendre l'islam, hein?
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Golgoth
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Message non lu par Golgoth » 26 nov. 2010, 02:32:00

Toujours là pour défendre les tarés, pourvu qu'ils soient blancs et/ou chrétiens, hein ? icon_mrgreen
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI. :mrgreen2:

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Message non lu par El Fredo » 26 nov. 2010, 13:36:00

Donc quand on procède à l'analyse comparative des stratégies publicitaires et de la propagande nazie, on met sur un même plan les vendeurs de yaourts et la Solution Finale ?
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FIFE
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Message non lu par FIFE » 26 nov. 2010, 14:16:00

Golgoth a écrit :Toujours là pour défendre les tarés, pourvu qu'ils soient blancs et/ou chrétiens, hein ? icon_mrgreen
Les Evangélistes sont très souvent noirs !

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Message non lu par El Fredo » 26 nov. 2010, 14:40:00

Ils sont aussi très souvents chrétiens icon_mrgreen
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Message non lu par FIFE » 26 nov. 2010, 16:08:00

Pour moi, un africain chrétien est un frère, un blanc musulman est mon ennemi!

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Message non lu par Golgoth » 26 nov. 2010, 17:08:00

J'ai écris "et/ou" icon_mrgreen
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI. :mrgreen2:

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artragis
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Message non lu par artragis » 26 nov. 2010, 17:26:00

un blanc musulman est mon ennemi!
tu es un guerrier donc.
pas moi.
http://zestedesavoir.com une association pour la beauté du zeste.

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Message non lu par El Fredo » 26 nov. 2010, 17:29:00

Maurice Béjart était donc ton ennemi.
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FIFE
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Message non lu par FIFE » 26 nov. 2010, 17:33:00

El Fredo a écrit :Maurice Béjart était donc ton ennemi.
Malgré son talent oui! Même si son islam était "light" !

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