Ni de droite ni de gauche, je veux bien, c'est d'ailleurs ce que je dis fréquemment.Nombrilist » 01 Oct 2015, 20:25:16 a écrit :Si ça se limite à cela, je pense qu'en France, la constitution remplit déjà tous ces critères. Donc ce libéralisme ne serait ni de droite ni de gauche.Jeff Van Planet » Jeu 1 Oct 2015 - 19:05 a écrit :Liberté d'expression qui ne peut pas être limitée sans passer du coté obscure de la politique (dictature ou presque) liberté de circulation. Liberté d'entreprendre (sinon le peuple est aux mains du souverain, c'est à dire esclave) résistance à l'oppression (voilà pourquoi la liberté d'expression et de mouvements) déjà en priorité.
D'autres questions? Remarques?
Dans la première phrase s'est glissée une erreur: je n'ai jamais ni dit ni insinué que le libéralisme pourrait nous sauver de quoi que ce soit.François de S. » 01 Oct 2015, 20:58:33 a écrit :Certes vous avez raison, vous ne parlez pas de la France mais du libéralisme et de quoi il nous sauverait. Néanmoins, je suppose fortement que vos paradigmes ne sont pas dus qu'au seul hasard, ce qui fait que si n'est pas de la France dont vous parlez, à quel autre modèle pourriez-vous bien penser pour être aussi concis et précis : restriction des libertés d'expression, de circulation, d'entreprise, de résistance à l'oppression ?Jeff Van Planet » 01 Oct 2015, 20:18 a écrit :Mon pauvre François c'est bien dommage de tomber aussi bas. Je répndais à Nombrilist (avec qui je discute depuis le début de ce fil) qui me demandais quelles pouvaient être ces libertés. Ceci s'intègre dans une conversation qui en aucuns cas ne fait référence à une quelconque france qui serait une quelconque dictature.
Je vous donne votre poids en michokos si vous arrivez à prouver le contraire.
Je ne suis pas amateur de bonbons, sauf s'ils sont offerts avec générosité.
Quant à la partie finale du message relève d'une sur-interprétation. Nombrilist m'à demandé quelles liberté pourraient être au dessus de toute décision de tout souverain, je lui ait donné une liste. Je ne vois objectivement pas non plus ce qui pousse à flairer un piège qui serait relié à une quelconque France.
Pour être honnête, cette sur-interprétation de la part de quelqu'un qui ne me connais pas me fait sentir comme très prévisible et dépourvu de nuances, et ça c'est très insultant. J'espère bien que l'intention n'était pas celle-ci, mais le résultat est là.
Une dernière chose: les bombons n'étaient pas offerts mais gagnés en cas de preuves apportées. Nuances importante
@Johanono (pas de citation, c'est trop long^^ )
Effectivement, je ne parle pas de "libéralisme économique" car pour moi ça n'à aucuns sens, je parle de libéralisme dans son ensemble. Je ne vois pas pourquoi je devrait diviser libéralisme en deux parties (économique et politique)
si de nos jours dominent les débats économiques, c'est pour une simple raison: la liberté d'expression et autres liberté politique sont plutôt bien établies en europe, et les gens ne ressentent pas le besoin de défendre ou de luter pour les liberté politiques. Voilà pourquoi l'économique domine le débat. Ce qui ne veut pas dire que le libéralisme se limite à l'économie.
En ce qui ocncerne le droite/gauche, pour moi à droite se situent les conservateurs qui se trouvent plutôt bien comme on est et qui voient très mal le changement (ie la manif pour tous) et à gauche les gens qui seraient plutôt favorables à u changement car ils ne se retrouvent pas totalement dans la situation actuelle. Les deux ayant des variantes avec leurs extrêmes: extrême gauche veut tout changer (révolutionnaires) alors que les gens de gauche voudraient simplement altérer certaines choses. A droite les conservateurs (ils se complaisent dans la situation actuelle) alors qu'à l'ED se trouveraient les gens qui pensent que c'était mieux avant (réactionnaires)
Selon cette définition (que l'on peut qualifié de personnel mais c'est autre chose) le libéralisme en 1789 était clairement d'EG mais avec le temps il fut petit à petit accepté puis est devenu de gauche puis de droite puis d'ED puis, actuellement à totalement disparu de notre scène politique national depuis quelques décennies.
Dans le cas de Macron, qui, suite à un constat simple: les choses ne marchent pas du feu de dieux (c'est le moins que l'on puisse dire) cherche à faire bouger les choses afin qu'elles marchent mieux, est de gauche (changements, réformes, progrès) et puisque ses réformes sont qualifiées de libérales (dans un sens c'est pas faux mais simpliste) il est de gauche et libéral. C'est un raccourcis un peu hasardeux mais qui n'est pas totalement faux.
@Fredo
oui j'aime aussi le diagramme de Nolan qui est bien plus parlant qu'un axe droite/gauche, mais l'idée est exactement la même.